Personne : Pichonnet-Andral Marie-Marguerite

Prénom
Marie-Marguerite
Nom
Pichonnet-Andral
Civilité(s)
Mme
Alias
Maguy

Rôles

Enquêteur

Naissance

Date de naissance
1922-05-27
Lieu de naissance

Décès

Date de décès
2004-12-24
Lieu de décès
Biographie

Née d’une mère pianiste, cantatrice et d’un père imprimeur éditeur d’art, qui décédera quelques années plus tard de séquelles de la guerre de 14-18, Marie-Marguerite, dite « Maguy »Pichonnet-Andral est une ethnomusicologue française.
Élève des classes d’analyse, d’esthétique et d’histoire de la musique du Conservatoire national de Paris (elle y obtiendra le Premier prix d’Histoire de la musique) –, c’est en 1945, au décès de sa mère et à l’initiative de Claudie Marcel-Dubois qu’elle rejoindra d’abord bénévolement les « petites mains » de la section de Musicologie du musée des Arts et Traditions populaires créée quelques mois auparavant. En 1946, elle intégre le cnrs en tant que stagiaire et y effectuera l’essentiel de sa carrière comme attachée de recherche en 1949, chargée en 1961 puis maître de recherche en 1970.
Dans ces années de l’après-guerre, M. Andral suivra également les enseignements de paléographie musicale de l’Ecole du Louvre, mais surtout auprès du musicologue roumain Constantin Brailoiu, alors fixé à Paris. Elle acquière avec lui l’essentiel d’une formation aux méthodes d’enquête, à l’analyse et au comparatisme des systèmes musicaux qui lui permettront de renouveler les approches d’une « aire musicale française ».
Travaillant en étroite collaboration avec Claudie Marcel-Dubois, Maguy Andral sera un ingénieur (au sens originel du terme), analyste rigoureux et savant, descripteur précis ainsi qu’un pédagogue subtil et spirituel. Elle sera co-autrice ou autrice d’un bon nombre d’articles et ouvrages sur l’éthnomusicologie et effectuera de nombreux collectages de terrain en France mais aussi à l’étranger.
Cl. Marcel-Dubois et M. Andral dirigeront solidairement les programmes scientifiques et documentaires du département d’Ethnomusicologie-Phonothèque du musée des ATP depuis sa fondation à Chaillot. M. Andral en assurera la direction après le départ à la retraite de Cl. Marcel-Dubois en 1981, jusqu’à sa propre retraite en 1987.

Cheyronnaud, J. (2005). Maguy Andral (1922-2004). Ethnologie française, vol. 35(3), 531-533. https://doi.org/10.3917/ethn.053.0531

URI

Contributions

Enquêteur

Item Description
Information autobiographique de Monsieur Charles Aubrière M. Aubrière évoque son père, son apprentissage du violon, sa pratique musicale et sur son professeur de violon.
Suite de l'information autobiographique de Monsieur Charles Aubrière, enregistrée Sur la famille musicienne de son professeur M. Gabaret, et son cousin violoniste à Chaucre.
A propos des noces et des musiciens lors de celles-ci Témoignage sur le déroulement complet des noces en musique.
A propos du métier de violoneux (doc.) M. Aubrière raconte ses premiers bals.
Une valse (inf.) jouée au violon M. Aubrière joue une valse comprenant quelques chromatismes, modulations. Le violon semble accordé approximativement 3 demi-tons au-dessous du la 440Hz. L’informateur utilise la technique du démanché avec des glissés. Quelques doubles cordes à vide. Il transpose à l'octave supérieure.
Air de Siebel : « Faites-lui mes aveux » (Faust, Ch. Gounod) jouée au violon et fredonnée(doc.) L’informateur tente de jouer au violon et fredonne l'air de Siebel : « Faites-lui mes aveux », issu de l'opéra Faust (1859) de Charles Gounod.
Marche (inf.) jouée au violon Air à 2 parties. Les carnets d'enquête mentionnent "Marches pour noces" et "Marche nuptiale". (Cf. items 2 et 20 de cette enquête).
Viens, poupoule ! (enq.) joué au violon L’informateur joue au violon l’air de la chanson « Viens, poupoule ! » (1902).
Le muet (inf.) joué au violon L'informateur joue à nouveau "Le muet" (cf. item 1). Air à 3 parties de forme [ABAC] joué plusieurs fois, avec fin sur la partie A. L’air reprend le timbre de « Bon voyage Monsieur Dumollet », et module sur la partie C. L’informateur utilise la technique du démanché.
La Fille de la Meunière (enq.) ; Polka piquée (enq.) jouées au violon M. Aubrière joue la mélodie au violon, puis la transpose à l’octave supérieure (difficultés). Le carnet d'enquête de Mlle Bourreau intitule l'air "Polka piquée".
Le gros Pierre (inf.) chanté puis description de la danse M. Aubrière chante un extrait de l'air et décrit sa chorégraphie.
Le gros Pierre (inf.) ; Sans titre (doc.) joués au violon L’informateur joue « Le gros Pierre » au violon, mais dit qu’il ne s’en rappelle plus. Il joue un autre air sur un mouvement de marche. Le carnet d'enquête de Mlle Boudreau précise "ronde de noces" pour "Le gros Pierre". Autre version présente dans : Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest, Bujeaud Jérome, page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers.
La Mattchiche (inf.) jouée au violon L’informateur joue La Mattchiche, et précise : « c’est nouveau, ça date de 1903, par là ».
Le gros Pierre (inf.) joué au violon puis explication de danse L’informateur joue « Le gros Pierre » au violon et décrit le déroulement chorégraphique. Il reprend l’air en le transposant dans l’aigu. Présent dans : Chants et chansons populaires des Provinces de l'Ouest. (2 vol., in-4°, musique) (rééd. Niort, Clouzot, 1864-1865)-Bujeaud (Jérome) (Laffitte Reprints, Marseille-1975), page : t.I, p.153, 1tn, 8 vers.
La Sauce aux lumats ; La Fille de la Meunière ; Une marche (inf.) joués au violon M. Aubrière joue la fin de "La Sauce aux lumats" (d'après le carnet de répertoire des Déjhouqués), puis enchaîne sur "La fille de la meunière" (nommée "Polka piquée" sur le carnet d'enquête de Mlle Bourreau), puis sur "une marche" (cf. items 15 et 16). Il précise à l'item suivant que la marche de noces est tirée de la deuxième figure de quadrille. Il rejoue la même à l'item 28 de l'enquête.
Marche (inf.) joué au violon Témoignage sur l'utilisation en marche de noces de la deuxième figure de quadrille, puis intérprétation d'une marche (Cf. items 2 et 14 de cette enquête)
Air à danser et "Mon Paris" au violon ; Information sur les bals M. Aubrière joue au violon des airs qu'il jouait entre 1926 et 1946. Le premier air est intitulé "Marzurka" par les enquêtrices (chanté à l'item précédent).
Histoire du jambon; Information sur les histoires Valentine Langlade raconte l’histoire du jambon et évoque d’autres histoire et la manière d’en apprendre.transmettre.
Histoire "La Delphine est malade" (enq.) Valentine Langlade raconte l’histoire de La Delphine
Informations sur Goulebenéze Valentine Langlade et Félix Arrivé évoquent l’histoire de vie de Goulebenèze et leurs relations avec lui.
Informations sur Goulebenéze Valentine Langlade témoigne à propos de Goulebenèze.
Félicia nouvelle riche Valentine Langlade interprète une chanson de Goulbenèze
L'histoire du bouc (enq.) Valentine Langlade raconte l’histoire du bouc. Elle précise que ce n'est "pas du par cœur", modifie librement certains passages ou mots.
Marche de noces (inf.); Témoignage sur les marches de noces Valentine Langlade chante et commente un air de marche de noces.
Information sur sa carrière de musicien, sur les bals, sur les groupes folkloriques Albert Maissant témoigne à propos de son apprentisage de la musique, sa vie au régiment, les groupes folkloriques dont il a fait partie ou autour desquels il gravite ainsi que des répertoires de bals.
Information sur sa fonction de trompette de ville, au clairon Albert Maissant évoque son occupation professionnalle : trompette de ville.
Air d'annonce de Ville; Information sur son instrument; Information sur sa carrière Albert Maissant chante et joue un air d'annonce. Il présente son instrument et témoigne de son poste de "chef de musique".
Information sur sa pratique de musicien aux bals, aux noces, aux sociétés de musique Albert Maissant témoigne à propos des groupes des sociétés de musique dont il a fait ou fait partie actuellement, de son apprentissage de la musique et de sa pratique en tant que musicien de noces ou de bals. Il parle également de son instrument.
Marche de mariés (inf.) Marche de noces, jouée de mémoire
Marche de mariés (inf.); Information sur le répertoire des musiciens Marche de noces, jouée de mémoire
Scottish (inf.); Information sur le répertoire des musiciens Scottish, jouée de mémoire et évocation du répertoire de bals qu’il a pu jouer.
Polka russe (inf.); Information sur le répertoire Albert Maissant interprète une polka russe et parle de son répertoire.
Scottish anglaise (inf.); Informations sur le répertoire Albert Maissant interprète une scottish et évoque certaines danses particulières, notamment des figures de quadrille.
Marche de noces (enq.); Informations sur les accordéonistes, sur son poste de professeur d'instrument Albert Maissant interprète une marche de noces et évoque les instruments qui fonctionnent davantage pour les noces. Il parle également des cours.
Information sur la facture de l'instrument modifié d'Albert Maissant Albert Maissant présente son instrument de musique.
Information sur les musiciens de la région Paul Passebon évoque des musiciens qu’il a connu
Information sur la carrière de musicien de Monsieur Paul Passebon Paul Passebon évoque son apprentissage du violon, son professeur et des endroits où il a pu se produire.
Information sur les marches de noces Paul Passebon évoque des moments qu’il a vécus alors qu’il jouait pour des noces, seul ou non.
Information sur les sociétés de musique de la région Paul Passebon évoque les différentes fanfares de son coin.
Information sur la carrière de musicien de Monsieur Paul Passebon (suite de l'information enregistrée à l'item002) Paul Passebon et sa femme témoignent à propos de leur activité d’entrepreneurs de parquets, des occasions de le monter, mais aussi des occasions de bal tout au long de l’année. Paul Passebon évoque la manière dont il a acquis ses violons.
Information sur le déroulement des noces. Paul Passebon témoigne à propos des noces et de leur déroulement pour les musiciens ainsi que de quelques coutumes de noces. On entend sa femme parler.
Information sur la rétribution des musiciens de bal Paul Passebon témoigne à propos du tarif payé à un musicien, de son tivoli, ainsi que de son arrêt du violon. On entend sa femme parler.
Accord du violon. Paul Passebon accorde son violon
Marche nuptiale, essai. Essai d'une marche de noce et accords du violon.
Information sur l'apprentissage et le métier de musicien. Ernest Peluchon témoigne. On entend également parler sa femme.
Information sur sa carrière de musicien de noces et de bals. Ernest Peluchon témoigne. On entend également parler sa femme.
Accord du violon. Ernest Peluchon accorde son violon
Première figure de quadrille, "Le favori des artistes" Ernest Peluchon interprète la première figure du quadrille
Troisième figure du même quadrille Ernest Peluchon interprète la troisième figure du même quadrille
Valse Ernest Peluchon interprète une valse au violon
Marche nuptiale et information sur l'arrêt la clarinette Ernest Peluchon interprète une marche nuptiale et évoque son arrêt de son premier instrument, la clarinette.
Scottish Ernest Peluchon interprète une scottish au violon
Polka de Longueteau (compositeur de La Rochelle) Ernest Peluchon interprète la polka de Longueteau au violon.
Information sur la chanson de "la coucoute" L'informateur témoigne. On entend égelement témoigner sa femme.
Marche nuptiale Ernest Peluchon interprète une marche nuptiale au violon
Marche nuptiale L'informateur joue la marche nuptiale avec des erreurs
Marche nuptiale (reprise de la précédente item 012) et information sur les quadrilles L'informateur joue la même marche nuptiale que la précédente et témoigne au sujet des quadrilles
Quadrille des lanciers, figure "Les visites" Ernest Peluchon interprète la figure Les visites du quadrille des lanciers
Information sur le quadrille Ernest Peluchon parle du quadrille et de sa structuration mélodique
Information sur le répertoire et l'instrument Ernest Peluchon évoque sa connaissance de son instrument et parle du violon sur lequel il joue.
Valse L'informateur joue la valse. On l'entend fraper des pieds.
Valse et information sur cette valse Ernest Peluchon interprète une valse et évoque son apprentissage de cette valse et de son répertoire en général.
La bouteille de Quoi Chante sur l'air de "Au son du biniou" de Théodore Botrel. Ne chante pas toutes les paroles de sa chanson.
Information de Louis Martin sur la composition de ses chansons
Information de Louis Martin sur la première chanson qu'il a composé à dix-sept ans
Suite de l'information de Louis Martin, enregistrée sur l'item 003, sur la première chanson qu'il a composé à dix-sept ans.
Chanson sur le Comité républicain (première chanson composée par Louis Martin) Louis Martin chante quelques couplets de la chanson et donne des informations au sujet de celle-ci et de "C'est moi qui suis son frère" que chantait son père (chantée sur l'item suivant de cette enquête).
C'est moi qui suis son frère Chant "C'est moi qui suis son frère" (interruption et reprise)
Information sur la composition des chansons
Information sur le "théâtre" de Trizay après 1914
Information de Louis Martin sur le choix des airs pour ses chansons
Information de Louis Martin sur les gravures sur obus exécutées pendant la guerre 1914-18.
Information de Louis Martin sur ses souvenirs de la guerre 1914-18.
La Madelon L'informateur chante le premier couplet et le refrain
Information sur une chanson composée sur l'air de "La Madelon".
Encore un coup Chante "Encore un coup" sur l'air de "La Madelon"
Information sur les chansons patoises.
Information sur la composition récente d'une histoire.
Information sur le volume de ses compositions. Louis Martin évoque ses compositions et les marchands de musique.
Information sur les chansons apprises dans les foires.
Il y a quelques temps dans la grande ville
Information sur les musiciens de la vallée.
Information sur les airs de danse en faveur dans sa jeunesse.
Information sur le rhombe.
Information sur la fabrication des sifflets.
Formulette pour fabriquer les sifflets. Formulette pour fabriquer les sifflets (essai) et information sur la femme de Louis Martin présente au moment de l'enquête.
Information sur les jeux de garçons.
Fabrication d'un rhombe par Louis Martin.
Essai du rhombe Essai du rhombe et information sur le bois utilisé
O se savait partout à Trizay L'informateur chante sa chanson. Chanson Interrompue en fin de bobine.
Marche nuptiale (inf.); Information sur l'air joué René Doublet joue en lisant une partition, commente et fredonne une marche nuptiale. Elle aurait été recueillie par M. Bellivier {orth?} en 1896. Le carnet de notes d'enquête de J.-M. Bourreau indique : "déchiffré sur le bulletin de la SEFCO". Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "appris s/ revue".
Marche nuptiale (inf.) René Doublet joue en lisant une partition (même air qu'à l'item précédent). Il demande confirmation aux enquêtrices. Le carnet de notes d'enquête de J.-M. Bourreau indique : "déchiffré sur le bulletin de la SEFCO". Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "appris s/ revue".
En revenant des noces (enq.) René Doublet joue et Emilien Doublet commente. Le carnet de notes d'enquête de M. Pichonnet-Andral indique : "version locale". Même air qu'aux items 4, 28, 29.
En revenant des noces (enq.) René Doublet reprend l'air joué à l'item précédent. Une enquêtrice indique qu'il s'agit de la version de la page 105 du bulletin de juillet-août 1969 {probablement Le Subiet} de la SEFCO - Société d'Ethnologie et de Folklore du Centre-Ouest. Elle indique également la page de la marche nuptiale qu'il a "chanté" précédemment. Émilien Doublet joue l'air à son tour. Même air qu'aux items 3, 28, 29.
Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue une marche nuptiale (essai). Même air qu'aux items 6 et 7. Il précise "on la joue aux noces, celle-ci".
Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue une marche nuptiale (essai). Il mentionne les tonalités de l'accordéon. Même air qu'aux items 5 et 7. Il précise "on la joue aux noces, celle-ci".
Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue une marche nuptiale (en entier). Même air qu'aux items 5 et 6. Il précise "on la joue aux noces, celle-ci".
Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue une marche nuptiale. Il indique : "Une que je jouais aux noces autrefois aussi" (cf. item 7) Même air qu'aux items 9, 10, 23.
Marche nuptiale (enq.) Emilien Doublet reprend la marche nuptiale précédemment jouée par René Doublet. Même air qu'aux items 8, 10, 23.
Marche nuptiale (enq.); Témoignage sur les musiciens de sa famille et sur son apprentissage. René Doublet reprend la marche nuptiale précédemment jouée (cf. items 8, 9, 23). Informations sur les musiciens de sa famille et sur la musique au régiment.
Marche nuptiale (enq.); Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue deux marches nuptiales tenues de ses oncles via des cahiers de musique (cf. item 12). La seconde est reprise aux items 26 et 27.
Marche nuptiale (enq.); Témoignage sur son apprentissage et sur sa pratique de musicien René Doublet joue une marche nuptiale tenue de ses oncles via des cahiers de musique. Témoignage sur son apprentissage et sur sa pratique de musicien.
Information sur les musiques de bal avant 1914. René Doublet évoque le déroulement des bals et le fait de payer au quadrille dansé. Il pouvait y avoir beaucoup de quadrilles dans un bal. Il parle aussi des partitions.
Information sur les compositeurs-marchands de musique. René Doublet évoque la famille Dupeyrat ainsi que d’autre compositeurs de musique de son époque.
Quadrille "Le virtuose", essai; Information sur les compositeurs-marchands de musique. René Doublet joue un air d’avant-deux de quadrille, puis parle des différentes partitions d’éditeurs de musique.
Valse "Souvenir de ..."; Information sur les compositeurs-marchands de musique et son apprentissage René Doublet joue une valse puis évoque les partitions de cet éditeur. Il témoigne de son apprentissage du violon.
Information sur les frères Garnier, et sur les cahiers de musique des professeurs de l'informateur René Doublet évoque les frères Garnier, musiciens reconnus puis les cahiers de ses professeurs de violon.
La Bertoune / La Bortoune (inf.); Information sur les anciens musiciens.
Information sur le violon du père de René Doublet.
Information sur les violons de René et Emilien Doublet; Accord du violon du père de René Doublet.
Valse allemande (jouée sur le violon du père de René Doublet); Information sur son oncle René Doublet joue "une vieille valse allemande qu’on jouait dans le temps".
Valse allemande (jouée sur deux violons différents) René Doublet joue "une vieille valse allemande qu’on jouait dans le temps", sur le violon de son père Victor Doublet, puis un extrait sur le sien. Il commente la différence de sonorité.
Marche nuptiale (enq.) René Doublet reprend une marche de noces précédemment jouée (cf. items 8, 9, 10).
Marche nuptiale (enq.) René Doublet reprend une marche de noces précédemment jouée (cf. item 11). Emilien Doublet mentionne “la marche à Machon”.
Marche nuptiale (enq.) René Doublet joue une marche de noces.
Marche nuptiale (enq.); Information sur la source de ses marches Même air qu'aux items 11 et 27. À part la marche dite de Machon apprise sur disque, René Doublet a appris ses airs de marche de ses oncles, qui les avaient appris d’autres vieux musiciens. [Problème de vitesse de la bande magnétique à la fin de l’item]
Marche nuptiale (enq.) Même air qu'aux items 11 et 26. Le carnet d’enquête de M. Pichonnet-Andral indique “Reprise de la dernière marche de noces [...] car à l’écoute, il ne la trouvait pas “en mesure”. À l’écoute, il est satisfait de cette 2e version.”
Marche nuptiale issue de l'avant-deux du quadrille "Un Souvenir" (inf.); En revenant des noces (enq.) Cette marche nuptiale était également jouée par les oncles de René Doublet. D'après ses souvenirs, c’était l'air de l’avant-deux du quadrille “Un Souvenir”. En revenant des noces (enq.) : même air qu'aux items 3, 4, 29.
En revenant des noces (enq.) René et Emilien Doublet jouent ensemble. Emilien Doublet joue à l'octave grave, René Doublet joue à l'octave aigue. Même air qu'aux items 3, 4, 28.
A la pêche des moules (enq.) Emilien Doublet joue l’air de A la pêche aux moules
A la pêche des moules (enq.) René Doublet reprend l'air à l'accordéon chromatique. Le carnet d'enquête de M. Pichonnet-Andral précise "accordéon chromatique italien".
Information sur les crécelles et sur le Vendredi Saint
Information sur le patois
"Le Bal Breton" ou "L’Entrée de bal de Saintonge" René Doublet joue et indique qu’ils appelaient cet air “le Bal breton”, qui s’est ensuite appelé "L’Entrée de bal de Saintonge" (chanté à l’item suivant).
"Le Bal Breton" ou "L’Entrée de bal de Saintonge" René Doublet indique à l'item précédent qu’ils appelaient cet air “le Bal breton”, qui s’est ensuite appelé "L’Entrée de bal de Saintonge". René Doublet chante et indique les paroles du commentateur, “l’orateur”. Il mentionne “La Boulangère”.
La Boulangère (air du quadrille Février) René Doublet joue La Boulangère, son cousin Emilien Doublet se joint à lui. (Chanté et décrit à l'item suivant).
La Boulangère (air du quadrille Février); Deux autres airs de Boulangères (essais) René Doublet chante l'air joué à l'item précédent, et joue d'autres airs au violon. René et Emilien Doublet donnent des informations sur ces airs et sur la chorégraphie de la Boulangère.
Polkas Le carnet d’enquête de M. Pichonnet-Andral indique “Polka que R. Doublet jouait tjrs après le quadrille des lanciers”. René Doublet semble dire que le début n’est "pas ça". Il y a "peut-être 30 ans {qu’il n’a} pas joué ça".
Polka; Informations sur les airs apportés au groupe folklorique Les Barguenas; Sans titre; Scottish (extrait) Polka jouée à deux violons. René Doublet raconte ses apports au groupe folklorique des Barguenas. Emilien Doublet joue un air qui semble être une polka. René Doublet fredonne une scottish (extrait).
Scottish Scottish jouée à deux violons. Arrivée d’”un petit-fils”. Les deux cousins se préparent à jouer La Bobine, danse pour enfants, à l’accordéon chromatique (René Doublet) et au violon (Emilien Doublet).
La Bobine; Information sur le répertoire de danses de bals et sur Le Muet Les deux cousins jouent La Bobine, danse pour enfants, à l’accordéon chromatique (René Doublet) et au violon (Emilien Doublet). Ils énumère les danses qu'ils connaissaient avant le groupe foklorique.
Information sur la fabrication des sifflets d'écorce (Suite à l'item 43)
Formulette; Information sur la fabrication des sifflets d'écorce ; Informations biographiques (Suite de l'item 42)
Information sur la fabrication des sifflets d'écorce (Suite des items 42 et 43)
Informations les pétoires, les charivaris, les noces, les musiciens
Information par René Doublet sur sa carrière de musicien
Le muet L’ensemble "Les Déjhouqués" interprète Le muet.
Le quadrille, première figure "Les Déjhouqués" inteprètent la première figure du quadrille
Le quadrille, deuxième figure "Les Déjhouqués" inteprètent la première deuxième du quadrille
Le quadrille, troisième figure "Les Déjhouqués" inteprètent la troisième figure du quadrille
Le quadrille, quatrième figure "Les Déjhouqués" inteprètent la quatrième figure du quadrille
Le muet L’ensemble "Les Déjhouqués" interprète Le muet, de nouveau
La Circassienne L'ensemble joue La circassienne. On entend les pas des danseurs.
La sauce aux lumats L'ensemble joue La sauce aux lumats. On entend les pas des danseurs.
Polka piquée L'ensemble joue La polka piquée. On entend les pas des danseurs.
Entrée de bal de Saintonge L'ensemble joue L'Entrée de bal de Saintonge. On entend les pas des danseurs.
La Scottish L'ensemble joue La Scottish. On entend les pas des danseurs.
Information sur l'harmonie de St-Savinien et l'animation d'une noce à la clarinette à Saint-Savinien Robert Boquet témoigne sur son parcours de musicien avant et après guerre.
Information de Robert Boquet, sur son apprentissage de musicien M. Boquet témoigne sur l'apprentissage de la musique et de la clarinette auprès de divers musiciens, sur son parcours de musicien de bal et de noces.
Information de Robert Boquet, sur la musique jouée aux noces Témoignage sur sa pratique musicale aux noces
Information de Robert Boquet, sur les chansons de noces Témoignage sur le répertoire chanté lors des noces
Information de Robert Boquet, sur son répertoire Témoignage sur le répertoire chanté lors des noces
Information de Robert Boquet, sur le choix de son répertoire; Marche de Noces Robert Boquet évoque le répertoire qu’il aimait jouer. Il chante un air au tralala.
Information de Robert Boquet, sur sa clarinette et sur les groupes folkloriques Les Barguenas et Les Batégails Témoignage sur sa clarinette et sur les groupes folkloriques Les Barguenas et Les Batégails
Information de Robert Boquet, sur les marches de noces Extrait chanté et témoignage sur une marche de noces qu'il s'apprête à jouer à la clarinette
Marches de noces (inf.) Air de marche de noces jouée à la clarinette
Marches de noces ou Marche pour mariés (inf.) Air de marche de noces jouée à la clarinette
Information de Robert Boquet, sur le déroulement des noces Robert Boquet évoque le déroulement d’une noce pour le musicien et différentes coutumes s’y rapportant.
Auprès de ma blonde (inf.) L'informateur chante et donne des informations sur l'usage de cette chanson durant les noces.
A combien sont les oignons Marie-Madeleine ? (inf.) L'informateur chante et donne des informations sur l'usage de cette chanson durant les noces.
Information de Robert Boquet, sur les salles de danse Témoignage sur les salles de danse lors des noces, sur le répertoire de danses de bal et les ensembles de musiciens
Information de Robert Boquet, sur les bals de village Témoignage sur les frairies, sur les tarifs des musiciens de bal, sur l'achat de sa clarinette
La pêche aux moules (ch.) (inf.) R. Boquet chante mais ne se rappelle pas de tous les couplets. Il parle de chansons licencieuses.
Entrée de bal de Saintonge (enq.) R. Boquet chante le "début du bal breton", et donne des informations sur l'origine et la modification des paroles
La Circassienne (inf.) R. Boquet chante et commente la chanson de danse "La Circassienne".
Essai de lecture à vue à partir de l'ouvrage de Bujeaud R. Boquet déchiffre un air du recueil de J. Bujeaud en chantant le nom des notes.
En revenant des noces (inf.); Le cabinet de ma grand-mère (inf.) R. Boquet chante "En revenant des noces", ne se rappelle plus bien des paroles. Fin de la piste coupée, enchaîne avec "Le cabinet de ma grand-mère".
Le Brisquet ou Le cabinet à ma grand-mère (inf.) Chant et témoignage sur l'ancienneté présumée de l'air.
En revenant des noces (inf.) R. Boquet chante "En revenant des noces".
Information sur la manière de chanter "au branle de la goule"
Information sur les chants composés d'un seul petit refrain Robert Boquet parle des formes brèves
Information de Robert Boquet sur l'acquisition du répertoire; Extrait de mélodie chantée
En revenant des noces (inf.) R. Boquet chante "En revenant des noces".
Information de Robert Boquet sur les chanteurs de sa famille et leur répertoire, et les activités aux veillées Robert Boquet évoque sa famille de chanteurs, leu répertoire, ainsi que les activités réalisées lors des veillées.
Enumération des titres du cahier de chanson du père de Robert Boquet Témoignage sur son père, chanteur, et énumération des chansons de son répertoire
Le Bal de l'Hôtel de ville (ch.); énumération des titres du cahier de son père (suite) L'informateur chante en lisant les paroles sur le cahier de son père, puis d'autres titres de chansons sont énoncés.
Les Bretelles (ch.) Chant et évocation de la réception de paroles licencieuses
Suite de l'énumération du cahier de chanson du père de Robert Boquet (titres)
Tu peux t'fouiller mon pauv' canard (inf.), et énumération des titres du cahier de chansons Chant et énumération des titres du cahier de chansons de son père
Les passants (inf.) et informations sur le répertoire de sa mère Robert Boquet interprète une chanson que chantait sa mère. Il évoque son métier et les circonstances de chant de celle-ci.
L'vin bianc (enq.) M. Boquet interprète une chanson du répertoire de sa mère.
"Quand j'étais chez ma grand'mère" (ch./enq.); informations sur "Ah je l'attends" (ch.) Chant de deux airs et évocation du contexte
Ah je l'attends, je l'attends, je l'attends (ch.) Chant d'un refrain (évoqué à l'item précédent : chanté quand on allait au bal, en se tenant bras-dessus, bras-dessous les uns les autres.)
Information sur la Saint-Eutrope à Saintes
Marche de noces "La Jolie" (inf.) Air de marche de noces jouée à la clarinette, que l'informateur appelle "La Jolie" à l'item précédent.
Marche de noces Air de marche de noces / marche nuptiale jouée à la clarinette.
Marche de noces Air de marche de noces / marche nuptiale jouée à la clarinette.
Polka de bal "Petite polka de bal", "qui n'est pas jeune", jouée à la clarinette.
Scottish (escottish), information sur l'apprentissage sur partitions Scottish ("Escottish") jouée à la clarinette, témoignage sur les partitions de ces airs
Valse Robert Boquet interprète une valse à la clarinette.
Information sur la fabrication des mirlitons en sureau Témoignage sur la fabrication de mirlitons en sureau par Robert Boquet
Information sur la fabrication des sifflets en paille de seigle Témoignage sur la fabrication de sifflets en paille de seigle par Robert Boquet
Information sur la fabrication des sifflets d'écorce Témoignage sur la fabrication de sifflet et énonciation d’un formulette
Information sur les tournées de crécelles pendant la Semaine Sainte Témoignage sur l’une des coutumes de la semaine sainte : la crecellepassée la veille de Pâques
Information sur le charivari Témoignage sur le fonctionnement et le déroulement du charivari
Information sur la Veuze, et sur les musiciens du groupe folklorique de l'informateur Témoignage à propos de l’absence de cornemuse en Charente ainsi que sur le groupe folklorique de Robert Boquet
On m'a coupé l'subiet (inf.) ; Informations sur la chanson et sa transmssion M. Troussereau chante une chanson en charentais et évoque la manière dont il l’a apprise et de quelle informatrice.
Les drolesses d'aneut (inf.) M. Troussereau chante la chanson en charentais en lisant les paroles.
Ma Nastasie (inf.) M. Botineau interprète une chanson en charentais.
Félicia (inf.) M. Botineau chante le premier couplet d’une chanson en charentais
Félicia (inf.) M. Botineau interprète une partie de chanson en charentais à partir du second couplet.
Information sur Goulebenéze M. Botineau évoque la vie de Goulbenèze, chansonnier charentais.
Ote toi de là que je m'y mette M. Botineau interprète une chanson de Goulbenèze en charentais.
La demande en mariage (inf.) M. Botineau interprète une chanson de Goulbenèze en charentais.
Dis-donc mon gros Pierre M. Troussereau interprète la chanson Dis-donc mon gros Pierre.
Informations sur les rondes de noces M Botineau et M. Troussereau évoquent les rondes se dansant lors des noces autour d’un feu de balais, ainsi que la danse du tapis, sur la demande des enquêtrices.
Chantons notre Île lumineuse La famille Troussereau chante en choeur
Information par Cécile Marot sur son répertoire Mme Marot évoque un repas lors duquel elle a chanté. Elle parle des différents patois ainsi que de son apprentissage du piano.
Informations biographiques Mme Marot évoque un repas lors duquel elle a chanté. Elle parle également de son mari et prononce quelques mots en charentais
Le mariage d'Agathe Mme Marot interprète une chanson en charentais.
Quand le soleil s'enfuit à l'horizon
Après quatre ans d'espérance Chante la chanson, on l'entend tourner une page
Début de "Les perrots" Début de la chanson seulement, chantée en patois charentais
Les perrots Fin de la chanson, chantée en patois charentais
Information biographique Cécile Marot témoigne en compagnie de son mari à propos de son enfance à l’école, de son aptitude au chant, son apprentissage du piano, son métier de couturière, son mariage et de la manière de mener les bœufs.
Information sur les coutumes de Noêl On entend seulement une phrase de M. Marot à propos de Noël
Information sur les coutumes de Carnaval Mme Marot évoque les coutumes de Mardi-Gras.
Information sur les coutumes de Pâques Mme Marot témoigne sur les coutumes et chansons de différentes fêtes comme Pâques et Toussaint
Bon laboureur, le jour se lève Cécile Marot chante une chanson et témoigne à propos de son cahier de chansons et de l’apprentissage de la chanson
Nous irons tous les deux Chante un fragment de la chanson et témoigne d'une cavalcade
Franchette à l'exposition Mme Marot tente de se souvenir de la chanson. Fragment
Suzon en chemin de fer Mme Marot interprète une chanson qu’elle chantait pour les fêtes de l’école
O le langue français Chante "O le langue français" une parodie d'anglais, puis raconte la partie parlé du monologue
Chanson du domestique Chante le début de la chanson et témoigne sur ses répétitions, les veillées et les danses
Mon gros Pierre Essai de la chanson Mon gros Pierre, chante au tralala et information sur la danse (ronde à baisers)
Le soir Chante des couplets de la chanson et donne des informations sur les marchands de musique.
Le langage des fleurs Chante des couplets de "Le langage des fleurs" qu'elle avait apprise au piano
Femmes que vous êtes jolies (essai) (enq.) Essai de la chanson "Femmes que vous êtes jolies"
Femmes que vous êtes jolies (enq.) Chanson de la Belle Époque "Femmes que vous êtes jolies" interprétée par Mme Ricou.
Information sur la chanson "Femme que vous êtes jolie" Témoignage à propos de l’apprentissage d’une chanson à la mariée par Mme Ricou et discussion sur cette chanson "Femme que vous êtes jolie" (chantée à l'item précédent).
Dernier couplet de la chanson "Femme que vous êtes jolie" Dernier couplet de la chanson « Femmes que vous êtes jolies » interprété par Mme Ricou
Information sur la famille de Marie-Henriette Ricou Mme Ricou évoque les obligations familiales qui l’on empêchée d’apprendre la musique
Chanson à la mariée Mme Ricou évoque les noces auxquelles elle a assistées et les cahiers de son père. Elle tente de chanter "Chanson à la mariée"
Information sur les chansons Mme Ricou évoque les cahiers de son père, ainsi que son répertoire de chansons. Elle chante un fragment de chanson.
Formulette sur les doigts de la main Formulette à chanter sur les doigts de la main, interprétée par Mme Aubrière
Formulette sur les doigts de la main Reprise chantée de la formulette à chanter sur les doigts de la main.
Tan de litan tan tan taine Formulette chantée par Mme Rcou
Avril vient de parer la terre (enq.) Chanson interprétée par Mme Ricou
Amour d' avril (enq.) Chanson interprétée et discussion sur les chansons de son père ainsi que sur le répertoire qu’elle aime chanter.
Information sur les chansons patoises Mme Ricou évoque les chansons en patois, qu’elle n’a pas chantées, ainsi que les répertoires qu’elle aimait interpréter, aux noces ou non. Les enquêtrices cherchent à connaître des chansons se chantant dans des occasions particulières. Mme Ricou fredonne la chanson des Bretons chantées lors de la Saint-Jean.
Information sur les quêtes de Nouvel an et de Mardi-gras M. Charles Aubrière évoque les coutumes réalisées lors de la nouvelle année.
C'était le soir du Mardi-gras Témoignage de Charles Aubrière sur le Mardi-gras et chanson interprétée par Marie-Henriette Ricou
Entendez-vous Noël, "Entendez-vous" chantée
Marche (inf.) Intérprétation d'une marche (Cf. items 2 et 13 de cette enquête)
La Sauce aux lumas (enq.) L'informateur joue en lisant une partition de Gilbert Bourassé (d'après Mlle Bourreau) ou Bourasset (d'après Mlle Pichonnet-Andral). Il indique que la tonalité n'est pas adaptée au violon. Mention d'un groupe folklorique (Les Déjhouqués ?). (Cf. item 12 et 16)
La Sauce aux lumas (enq.) L'informateur joue le même air d'après la partition de G. Bourassé en le transposant dans une tonalité plus naturelle au violon. (Cf. item 12 et 15)
Polka piquée; Première figure de quadrille : Le Polichinelle (doc.) L'informateur ne jouait jamais cette polka piquée. Il la déchiffre sur partition. La figure de quadrille est jouée entièrement à l'item suivant.
Première figure de quadrille : Le Polichinelle (doc.) L'informateur joue à la lecture de la partition. Cet air fait partie du carnet de répertoire du groupe folklorique oléronnais "Les Déjhouqués".
Deuxième figure de quadrille : Le Polichinelle (doc.) L'informateur joue à la lecture de la partition. Cet air fait partie du carnet de répertoire du groupe folklorique oléronnais "Les Déjhouqués". M. Aubrière ajoute : "J'ai eu, attention... trente airs de quadrille".
Informations sur les partitions achetées, sur les bals, sur son violon Témoignage sur l'achat des partitions, du violon, et sur la pratique des bals. M. Aubrière évoque également avoir fait partie de plusieurs ensembles musicaux.
Information par Charles Aubrière sur l'acquisition de son violon et son métier de musicien Témoignage de Charles Aubrière à propos de son apprentissage du violon et des instruments dont il a joué.
Information sur les sifflets Mme Aubrière témoigne de la fabrication des sifflets.
Informations sur l'évolution des danses, sur Le Trianon de Marennes, interprétation chantée Mme Aubrière évoque de nouveau la fabrication des sifflets. M. Aubrière témoigne à propos de son apprentissage du violon, des danses d’aujourd’hui et d’hier, des salles de bal et chante (il reprend l'air chanté au violon à l'item suivant).
Mon Paris (extrait) M. Aubrière chante (air joué au violon à l'item précédent).
Mon Paris, air de chanson jouée au violon M. Aubrière joue au violon (air chanté et joué au violon aux items précédents).
Valencia, chanson jouée au violon et chantée M. Aubrière joue au violon et chante.
Une marche (inf.), Marche nuptiale (enq.); Valse (extrait) M. Aubrière joue au violon une marche (jouée à l'item 12 de l'enquête) pendant que C. Marcel-Dubois filme. Puis un extrait de la valse jouée à l'item 3.
Information biographique et extraits de chansons de noces Témoignage sur le déroulement des noces en musique, les bals sur l'Île d'Oléron, les musiciens, le répertoire. Extraits de chansons de noces.
Le muet (inf.) joué au violon ; Témoignage sur la reprise du jeu de violon Jeu d'un air au violon et témoignage sur la reprise du jeu de violon. Air à 3 parties de forme [ABAC] joué plusieurs fois, avec fin sur la partie A. L’air reprend le timbre de « Bon voyage Monsieur Dumollet », et module sur la partie C. Le violon semble accordé approximativement 3 demi-tons au-dessous du la 440Hz. L’informateur utilise la technique du démanché. Quelques doubles cordes à vide. Cf. item 6.
La pibole (enq.) Mme Groisard interprète la chanson La pibole en poitevin-saintongeais.
Il était un petit bonhomme qui s’appelait Simon (enq.) Mme Claire Groisard interprète la ronde commençant par « Il était un petit bonhomme qui s'appelait Simon », en poitevin-saintongeais.
Il était un petit bonhomme qui s’en allait au chatiâ (enq.) Mme Claire Groisard interprète une ronde débutant par "Il était un petit bonhomme qui s'en allait au Chatiâ"
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) Mme Clara Groisard interprète le demi-rond "Devant Bordeaux vient d'arriver un tout petit mignon navire". Elle se reprend plusieurs fois et cherche les paroles.
Filles qui avez des serviteurs (enq.) Mme Claire Groisard interprète la chanson "Filles qui avez des serviteurs" qu’elle tient de sa grand-mère.
Information sur les noces Les informatrices évoquent les préparatifs et le week-end suivant les noces, appelé « Retour ». Elles parlent également de leur famille, ainsi que de Mme Delavaud.
Information sur Madame Reine Delavaud Les enquêtrices interrogent Reine Delavaud sur sa naissance, ses liens familiaux avec Clara Groisard et la venue sur le continent.
Information sur les foires d’Auray Mme Delavaud et Mme Groisard évoquent la foire d’Auray à laquelle se rendaient les personnes de l’Île deux fois par an en bâteau de pêche, ainsi que certains pélerinages qu’à pu faire Reine Delavaud.
Information sur la première foire de l'Ile-d'Yeu en 1892 Mme Groisard évoque la première foire ayant eu lieu sur l’Île...sous la pluie.
Information sur l'enfance de Madame Reine Delavaud : la garde des moutons et le travail aux champs. Mme Delavaud évoque son enfance pendant laquelle elle a dû aider son père aux tâches de la ferme comme garder les moutons ou cultiver la terre pour permettre à ses frères d’aller à l’école.
Information sur la part aux bourgeois Les informatrices évoquent les obligations dues aux propriétaires des terres cultivées auxquels ils devaient donner la moitié de leur récolte.
Information sur le partage avec les propriétaires avant 1914. Les informatrices évoquent le manque d’homme après la guerre, ainsi que la période d’avant, qui étaient les propriétaires des terres et comment se faisait le partage des récoltes.
Information sur l'activité de l'Ile après la disparition de l'agriculture. Mme Groisard évoque la vie des femmes et leurs ocuupations après la guerre. Elle-même a été couturière. Mme Delavaud gardait les moutons et chantait à ces moments-là. Les enquêtrices la sollicitent pour qu’elle chante une chanson et elle fredonne le début de l’une.
Chanson de Mahomet (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson de Mahomet qu’elle a apprise avec son père. Les enquêtrices la sollicitent pour chanter une autre chanson. Une version de cette chanson a été chantée en 1994 par Gilbert Laudato sous le nom « Mahomet Est Ton Nom »
A dix-huit ans, je sortais d'une église (enq.) Reine Delavaud interprète une chanson patriotique qu’elle tient de son père. Elle est sollicitée pour en chanter une autre. Les rubans d'une alsacienne est une chanson patriotique créée par Madame Etienne et notamment chantée par Henri Colomb et Albert Petit vers 1880
Marianne s'en allait-t-au moulin (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson "Marianne s'en allait-t-au moulin", avec pour refrain "au p'tit trot", qu’elle tient de son père
Information sur les coutumes des noces avant 1914 Les informatrices évoquent le déroulement des noces à leur époque, avant la guerre de 14 : après être allés chercher la mariée et l’avoir menée à l’égilse et à la mairie, le marié et les gens de la noces la raccompagnaient et chacun mangeait chez soi avant d’aler faire le tour des familles.
Ami, avant d'entrer dans le ménage (enq.) "Ami, avant d'entrer dans le ménage", interprétée par Reine Delavaud, est une chanson à la mariée. Elle s’y reprend à plusieurs reprises.
Ami, avant d'entrer dans le ménage (enq.) Reprise de la chanson de la mariée "Ami, avant d'entrer dans le ménage" par Reine Delavaud.
Chanson de la crinoline (enq.) Mme Groisard interprète une chanson satirique de noces dans laquelle un jeune marié explique son malheur de découvrir la métamorphose de celle qu’il vient d’épouser. Mme Groisard chantait cette chanson à toutes les noces.
Chez nous, y avions un coq qui s'appelait Noudin (enq.) La chanson "Chez nous, y avions un coq qui s'appelait Noudin", avec refrain "Lanterlin-tin-taine" est chantée par Reine Delavaud.
Chez nous y'avions un moine qui ne buvait que du lait (enq.) Mme Groisard interprète la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait" avec refrain "La rigotte". Elle recherche une autre chanson qui était chantée lors des cortèges de noces.
Mon père a fait faire un étang (enq.) Mme Delavaud chante "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "je me roule, en voici la saison". Elle est aidée par une autre informatrice et se reprend à plusieurs reprise pour le dernier couplet.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Mme Delavaud chante les derniers couplets de la chanson « Mon père a fait faire un étang » Enregistré sur la bande magnétique MUS1967.44.23.
Quand nous sommes à Pâques (enq.) Mme Groisard interprète la chanson "Quand nous sommes à Pâques, nous sommes au printemps"
Information sur les accordéonistes de noces Mme Groisard et Mme Delavaud évoquent les accordéonistes de noces.
Information sur le casino et les bals Mme Groisard et Mme Delavaud évoquent les accordéonistes et musiciens de noces et de bals ainsi que l’arrivée du casino.
En revenant des noces (enq.) Reine Delavaud interprète la chanson de la clairefontaine "En revenant des noces...", refrain avec "Ah ! je l'attends…" Mme Groisard aide pour retrouver quelques paroles.
Derrière chez mon père (enq.) Mme Delavaud chante la chanson "Derrière chez mon père..." ou « Auprès de ma blonde ». Mme Groisard lui indique le début des paroles. Cette dernière évoque par la suite une berceuse souvent demandée par son fils quand il était jeune.
La mère ageasse (inf.) Mme Groisard interprète la chanson de la mère ageasse. Elle dansait la ronde à l’école avec cette chanson. A la fin de l’item précédent, Mme Delavaud raconte que son fils aimait que son père la lui chante.
A la Rochelle vient d'arriver (enq.) Clara Groisard interprète la chanson "A la Rochelle vient d'arriver un beau navire chargé de blé". C’est une chanson pour danser le demi-rond
Information sur les mai L’une des enquêtrices interroge les informatrices sur une coutume saisonnière : le mai.
Information sur le feu de la Saint-Jean avant 1914 Les informatrices évoquent les coutumes du feu de joie lors de la Saint-Jean, ainsi que les moquerie autour d’un jeune homme du village.
Information sur mardi-gras Les informatrices évoquent la coutume des jeunes gens de passer, masquer, de maison en maison dans le but de ne pas se faire reconnaître. Elles parlent d’un jeune simple d’esprit qui était moqué et à qui on faisait des farces. Elles commencent également à chanter une formulette de mardi-gras utilisée pour brûler le bonhomme.
Roulons-le Mathurin (enq.) Reine Delavaud chante une formulette de mardi-gras/carnaval utilisée pour brûler le bonhomme carnaval :"Roulons-le Mathurin"
Information sur mardi-gras Clara Groisard évoque une année particulière pendant laquelle le bonhomme carnaval de paille représentait Hitler et avait été brûlé dans le port.
Information sur la garde des moutons Reine Delavaud évoque les fois où elle gardait les moutons avec d’autres jeunes filles et dansaient et chantaient en oubliant les moutons qui se retrouvaient le soir venu en bas de la falaise. Il fallait alors aller les chercher.
Sur les ponts d'Avignon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Sur les ponts d’Avignon. Il commente entre chaque couplet.
Nous sommes sortis de Toulon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Nous sommes sortis de Toulon
Auprès de ma blonde (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Auprès de ma blonde. Les parents de M. Taraud chantaient cette chanson, chantée à toutes les noces.
Là-bas, sous un ciel d'un rouge d'enfer (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Là-Bas, sous un ciel rouge d’enfer. Cette chanson populaire, aussi nommée Petite Ourida, a été chantée par Berthe Sylva en 1933. M. Taraud l’a lui-même apprise au régiment, en Grèce en 1918.
Information autobiographique sur le service militaire de Monsieur Taraud et sur la guerre M. Taraud évoque les conséquences de sa rencontre avec une belle maraichine pendant une permission en 1915 : il fit de la prison puis fut envoyé dans les marines sur la mer Méditeranée et la mer Adriatique.
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) (début) Monsieur Raymond Taraud commence à chanter la chanson "Devant Bordeaux vient d'arriver" et danse en même temps. Il est vite essoufflé.
Devant Bordeaux vient d'arriver (enq.) (fin) Monsieur Raymond Taraud interprète la chanson à danser Devant Bordeaux vient d'arriver, qu’il a commencé à l’item précédent.
A la Rochelle vient d'arriver (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser A la Rochelle vient d’arriver.
Quand j'étais chez mon père, enfant petit (enq.) M. Taraud interprète le demi-rond Quand j’étais chez mon père, puis montre la danse avec la chanson Bon vigneron.
Bon vigneron (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Bon vigneron, bon, bon, bon". Un autre homme répond.
Bon vigneron (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Bon vigneron, bon, bon, bon". Un autre homme répond. Reprise de la chanson enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.47 (item précédent)
Ce sont trois jeunes marins (enq.) M. Taraud interprète la chanson à danser et à répondre "Ce sont trois jeunes marins". Son fils et son petit-fils répondent.
Information sur les tournées de crécelles ou traquets pendant la semaine Sainte, avant 1935 Raymond Taraud et son fils évoquent la coutume des tournées de traquets ou crecelles pendant la semaine sainte, ainsi que leur rapport à l’église suite à la communion de Raymond.
Sur les ponts d'Avignon (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson Sur les ponts d’Avignon.
Chanson de la mariée à table. Essai et commentaires. Raymond Taraud interprète la chanson à faire pleurer la mariée. Il la commente et évoque les coutumes de chansons de noces.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (début) Raymond Taraud interprète une chanson de noces « Mon père a fait faire un étang ». Dernier couplet à l’item suivant.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Raymond Taraud interprète le dernier couplet de la chanson "Mon père a fait faire un étang" avec le refrain « sortez-donc de vos maisons »
Mon père a fait faire un étang (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Mon père a fait faire un étang" avec le refrain "je suis brune gaillardemment »
Annonce par le garde-champêtre sur la place M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur la place du village précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre dans une rue M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques dans une rue, précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre sur le port M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur le pont du village précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Annonce par le garde-champêtre place de Norvège M. Béneteau, le garde-champêtre effectue des annonces publiques sur la place de Norvège précédées par des battements de tambours : la perte d’un chien et les horaires agent du cadastre à la mairie.
Un jour sur la route de Paris (enq.) Alice Taraud interprète la chanson à répondre et à danser en demi-rond (enq.) ou en rond (doc.) "Un jour sur la route de Paris". Deux autres informatrices répondent.
Quand y'ai sorti de mon village (enq.) Germaine Cadou interprète la chanson en poitevin-saintongeais Quand y'ai sorti de mon village, s'accordia, s'accordia.
L'autre jour y me promenaï (enq.) Germaine Cadou interprète la chanson "L'autre jour y me promenaï", chant satirique en poitevin-saintongeais
L'autre jour y me promenaï (enq.) Alice Taraud interrète la même chanson que précédemment "L'autre jour y me promenaï", chant satirique en poitevin-saintongeais. Une autre informatrice lui souffle les paroles. Mme Taraud a appris cette chanson de sa grand-mère.
O l'est pourtant temps boune mère de me marier (enq.) Germaine Cadou interprète une chanson en poitevin-saintongeais.
Là-bas, là-haut dedans ces bois (enq.) Mme Taraud et Mme Groisard commencent à chanter la chanson Là-bas, là-haut dedans ces bois, à deux. L’une d’entre elle pense s’être trompée de chanson et reprend seule. Chant de marche de noces
Là-bas, là-haut dedans ces bois (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Là-bas, là-haut dedans ces bois", elle reprend le début. C’est un chant de marche des noces (enq.).
Ah ! mon chapîa qu'était si bia (enq.) Alice Taraud interprète la chanson énumérative à répondre "Ah ! mon chapîa qu'était si bia", un chant de table auquel les deux autres informatrices répondent.
Mon père m'a mariée (enq.) Mme Taraud interprète la chanson à répondre "Mon père m'a mariée" avec refrain "Tire ton coq de mon panier". Mme Groisard répond
Mon père m'a mariée (enq.) Mme Taraud et Mme Groisard interprètent ensemble la chanson "Mon père m'a mariée" avec le refrain "Allons donc à Noirmoutiers dans le pays des ânes".
Mon père m'a mariée (enq.) Alice Taraud interprète un extrait de la la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "Dau poires et dau poumes"
Mon père m'a mariée (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "J'ai vu la perdrix dans les blés".
Colin va au bois, c'est pour y jouer (enq.) (fragment) Claire Groisard commence à interpréter la chanson Colin va aux prés mais mélange des paroles. L’enquêtrice lui demande de reprendre.
Colin va au bois, c'est pour y jouer (enq.) Reprise de la chanson "Colin va au bois, c'est pour y jouer", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.72.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) (fragment) Germaine Cadou interprète le début de la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait". Elle rigole beaucoup, ce qui l’empêche de finir la chanson.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) (fragment) Germaine Cadou reprend la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.74. Elle doit de nouveau s’interrompre car elle rigole trop.
Chez nous y'avions un moine qui ne vivait que dau lait (enq.) Germaine Cadou reprend la chanson "Chez nous y'avait un moine qui ne buvait que du lait", enregistrée sur les bandes magnétiques MUS1967.44.74 et MUS1967.44.75.
Dans le palais du roi (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent ensemble la chanson "Dans le palais du roi" avec refrain "Lundi, mardi, jour de mai".
Dans le palais du roi (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent le premier couplet de la chanson "Dans le palais du roi" sur un air différent que précédemment, avec un refrain tralala
L'autre jour, je me promène tout le long d'un vert ruisseau (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "L'autre jour, je me promène tout le long d'un vert ruisseau". Elle hésite sur les parole à la fin de la chanson.
C'était une meunière qui se levait matin (enq.) Alice Taraud interprète la chanson C’était une meuière qui se levait matin
Mon père m'a mariée (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent les premiers couplets de la chanson "Mon père m'a mariée" avec refrain "Mon père goulotait".
Voilà 10 heures que nous marchons (enq.) Claire Groisard interprète la chanson énumérative Voilà 10 heures que nous marchons.
Mon bel amant venez me voir (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent à l’unisson la chanson Mon bel amant venez me voir.
Y'en a dix par derrière-nous qui nous regardent (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent à l’unisson la chanson énumérative "Y'en a dix par derrière-nous qui nous qui nous regardent" avec refrain "J'entends le petit rond"
Dans le port de Toulon, y'a plus que dix navires (enq.) Alice Taraud et Claire Groisard interprètent la chanson énumérative Dans le port de Toulon
J'ai une méchante mère (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine". Elle est aidée par une autre informatrice pour trouver les paroles.
J'ai une méchante mère (enq.) Claire Groisard reprends la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine", enregistrée sur la bande magnétique MUS1967.44.86.
J'ai une méchante mère (enq.) (fin) Claire Groisard reprend les deux derniers couplets de la chanson "J'ai une méchante mère, ma dondaine", enregistrée sur les bandes magnétiques MUS1967.44.86 et MUS1967.44.87.
Quand j'étais chez mon père tout petit garçonnia (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Quand j'étais chez mon père tout petit garçonnia", avec refrain "ça, ça ne m'arrange guère". Chanson chantée en patois.
A dix heures dans la plaine (enq.) Claire Groisard interprète la chanson énumérative à répondre "A dix heures dans la plaine, j'avais laissé mes moutons".
Mon père m'a mariée (enq.) Claire Groisard interprète la chanson de mal-mariée "Mon père m'a mariée à un tailleur de vigne". Chant de marche appris de la mère Bretet, qui aurait eu 100 ans.
Ce sont ces dames de Paris (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Ce sont ces dames de Paris", avec refrain "Belle, j'entends bien tourner la meule du moulin".
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groizard commence à chanter la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "Don don les ridaines". Une autre dame lui souffle quelques paroles et elle-même évoque que c’est une chanson à répondre.
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groisard interrète la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "Rouli, roulons". Mme Groisard interprète une version à marcher de cette chanson, apprise auprès de sa tante Béatrice qui aurait 70 ans.
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Claire Groisard interprète une troisième version de la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "A moi le pompon, charmante demoiselle".
C'était une bergère (enq.) Claire Groisard chante la chanson "C'était une bergère qui gardait ses moutons", avec refrain "mouli les riti, tonton les ritons".
Je vais vous dire une chanson pleine de mensongeries (enq.) (fragment) Clara Groisard commence à chanter la chanson "Je vais vous dire une chanson pleine de mensongeries".
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré", avec refrain "Adieu, je pars ma mignonne".
Ma ceinture de lin de laine n'a plus que dix brins (enq.) Claire Groisard chante le début de la chanson énumérative "Ma ceinture de lin de laine n'a plus que dix brins". C’est une marche.
Derrière chez nous y-a un p'tit bois (enq.) Claire Groisard interprète la chanson « Derrière chez nous y’a un petit bois »
C'était un p'tit bonhomme (enq.) Claire Groisard interprète la chanson C’était un petit bonhomme, guenillon
Information sur la chanson de la mariée et les coutumes des noces. Clara Groisard et sa fille évoquent différentes coutumes de noces.
Information sur l'arrivée des notables dans l'île. Claire Groisard évoque avec sa mère l’arrivée de personnes imortantes sur l’île et la manière dont cela se faisait.
C'était une jeune fille de quinze ans (enq.) Delphine Salomon interprète la chanson « C’était une jeune fille de quinze ans » dans laquelle un jeune amant tente de récupérer sa belle, entrée au couvent.
Quand le marin revient de guerre (enq.) Yvonne Salomon interprète la chanson Quand le marin revient de guerre.
C'était le maire de Saint-Gilles (enq.) Marie Le Bris interprète la chanson "C'était le maire de Saint-Gilles" (chanson satirique de noces), avec refrain "La guinguette". Elle butte sur des paroles et les autres informatrices l’aident à les retrouver.
Dans le palais du roi (enq.) Elise Pruneau interprète la chanson "Dans le palais du roi" avec refrain "Les ridon fan fa la lire".
O l'était un petit bonhomme que s'en allait au chatia (enq.) Angèle Charlot interprète la chanson "O l'était un petit bonhomme que s'en allait au chatiâ". Elle est aidée par une autre informatrice lorsqu’elle perd les paroles.
Chanson de Marie-la-Bretonne (enq.) Raymonde Turbé interprète la romance "Chanson de Marie-la-Bretonne".
Avec Jésus, Reine des flots (enq.) Les informatrices présentes chantent ensemble "Avec Jésus, Reine des flots", cantique de Notre-Dame de la Meule pour le pèlerinage des marins le lundi de Pâques.
O Reine du port, nous te saluons (enq.) Les informatrices présentes chantent ensemble "O Reine du port, nous te saluons".
Rossignolet du bois, dis-moi va ta pensée (enq.) Delphine Salomon interprète la chanson "Rossignolet du bois, dis-moi va ta pensée", avec refrain "La liré, la, la". Les autres informatrices répondent et discutent des paroles de l’un des couplets.
L'autre jour, j'ai rencontré Pierre (enq.) Yvonne Salomon chante et parle la chanson "L'autre jour, j'ai rencontré Pierre".
Information sur les coutumes des veillées de noces Delphine Salomon évoque la coutume de noce d’apporter de la soupe à l’oignon aux mariés dans un pot de chambre après qu’ils aient été accompagné chez eux par les gens de la noce. Elle parle également du déroulement des repas de noce et de la coutume des jeunes du village qui venaient se faire servir un coup à boire là où se trouvait la noce. Les autres informatrices complètent ses propos. Mme Salomon chante une partie d’une chanson demandant à la mariée de leur ouvrir la porte.
Sur les ponts d'Avignon (inf.) Les informatrices chantent ensemble "Sur les ponts d'Avignon", chanson de la mariée.
Information sur les noces. Séparation des familles. Les informatrices évoquent des coutumes liées aux repas de noces, qui se faisaient chacun des mariés dans sa famille. Le marié venait ensuitre rejoindre sa femme et les noces se réunissaient.
Avant d'entrer, ami, dans le ménage (enq.) Les informatrices chantent ensemble une chanson de noce qu’une femme de la noce chantait aux mariés lorsqu’ils se retrouvaient après le souper.
Information sur la chanson "Avant d'entrer, amis, dans le ménage" Les informatrices évoquent la chanson qu’elles viennent de chanter et la manière dont elle se chantait.
Information sur les farces et déguisements le soir des noces. Les informatrices évoquent les noces de certaines d’entre elles et les chansons et farces qui ont pu y être chantées. Les gens de la noces pouvaient se déguiser pour chanter.
Information sur les chants satiriques de noces "à la mariée, que lui faut-il". Les informatrices évoquent un jeu de chanson déguisée autour d’un prêtre et ses enfants de choeur. L’une d’elles chante le début de la chanson dont il est question.
Information sur le colis de la mariée. Les informatrices évoquent la coutume du colis de mariée, qui pouvait être offert pendant une chanson ou au dessert. L’une d’entre elles évoquent également la noce de l’une de ses nièces au cours de laquelle elle s’est déguisée en mariée elle aussi.
A l'île d'Yeu, y'a t'un p'tit bourg (enq.) (fragment) Deux informatrices interprètent le début d’une chanson chantée lors des noces. Elles chantent deux couplets puis cherchent les paroles.
Ingrat berger que vous êtes volage (enq.) Trois informatrices interprètent la chanson « Ingrat berger ».
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Les informatrices interprètent la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "La chandelle de Rouzine fait chanter l'Rigodon".
Quand j'étais chez mon père, petite à la maison (enq.) Les informatrices interprètent la chanson "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison", avec refrain "La bonne femme qui les roule".
A Paris la jolie ville à la plus blanche maison (enq.) Les informatrices chantent la chanson de la barbière
Michel monta dans un pommier (enq.) Les informatrices interprètent une chanson courte « Michel monta dans un pommier ». Elles ne sont pas en accord sur le premier arbre de la chanson et certaines d’en elles chantent « Michel monta dans un cerisier »
Il est tard, chaque porte est close (enq.) Les informatrices interprètent une chanson chantée lors des noces lorsque chacun rentrait chez soi.
Je vais vous dire une chanson pleine de mensongeries (enq.) Les informatrices interprètent une chanson de menterie
Information sur les hochets en jonc vert et les sifflets en sureau. Les informatrices évoquent la fabrication d’instruments avec des plantes.
La noce à mon cousin Coco (enq.) Les informatrices entament la chanson "La noce à mon cousin Coco", chanson satirique, ensemble. L’une d’elle chante par la suite les couplets et les autres le refrain ensemble.
Information sur l'origine de la chanson La noce à mon cousin Coco Les informatrices parlent des origines de la chanson qu’elles viennent de chanter, à propos d’un couple de personnes de leur village.
Information sur les Lacroix. Les informatrices évoquent le dernier fils d’une famille de personnes pauvres du village.
Ah ! Si j'étais petite alouette grise (enq.) Les informatrices chantent la chanson « Ah si j’était petite alouette grise ». L’une mène et les autres répondent.
L'autre jour, je me promène (doc.) Les informatrices chantent ensemble "L'autre jour, je me promène tout le long de ces verts prés".
Ce sont les dames de Paris (enq.) (début) Les informatrices chantent ensemble « Ce sont les dames de Paris ». Elles hésitent sur la fin des paroles. Suite de la chanson à l’item suivant
Ce sont les dames de Paris (enq.) (fin) Reprise de la chanson "Ce sont les dames de Paris", chantée à l’item précédent. Elles évoquent ensuite le fait d’appeler « à la cheminée » à la fin d’une chanson.
Entre vous jeunes gens qu'allez voir vos maitresses (enq.) Les informatrices interprètent la chanson "Entre vous jeunes gens qu'allez voir vos maîtresses", avec refrain "La jolie bordelaise".
Entre Paris et La Rochelle il y a une chapelle (doc.) Les informatrices interprètent ensemble la chanson "Entre Paris et La Rochelle, il y a-t'une chapelle".
C'était une jeune dame (doc.) Une informatrice commence à chanter mais prend la chanson trop haute et se reprend avec les autres.
J'entends pleurer (inf.) Les informatrices interprètent la chant de dix "A dix heures dans la plaine, j'entends pleurer la voix de ma maîtresse".
J'entends pleurer (inf.) Les informatrices interprètent une autre version de la chant de dix précédente : "A dix heures dans la plaine, j'entends pleurer : c'est la voix de nos marins blessés".
Mon père a fait faire un étang (enq.) Les informatrices cherchent les paroles d’une chanson puis chantent "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "Depuis longtemps que ces deux coeurs s'aimaient".
Mon père m'a mariée à un bossu (enq.) L’une des informatrices interprète la chanson à répondre « Mon père m'a mariée à un bossu » et les autres répondent.
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) Les informatrices chantent ensemble « C’est la jeune Françoise de Saint-Martin de Ré »
O mon aimable bocagère (enq.) Les informatrices interprètent ensemble la chanson « Oh mon aimable bocagère »
Nous partons tous, mes très chers camarades (enq.) Les informatrices chantent ensemble la chanson « Nous partons tous mes très chers camarades »
La première partie du phare de la Loire (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "La première partie du phare de la Loire, la connais-tu, frère Grégoire ?".
Retour du fils marin (Le) (enq.) Alice Taraud interprète la romance "Le retour du marin : au nom du ciel...", reprenant un thème traditionnel.
Tout ce que je souhaite à la mariée (enq.) Alice Tauraud interprète une chanson de souhaits à la mariée.
Le berger qui me fait la cour (enq.) Alice Taraud interprète la chanson de bergère « Le berger qui me fait la cour »
Là-haut sur la montagne (enq.) (début) Alice Taraud chante le début de la chanson "Là-haut sur la montagne, y'a des petits oiseaux", une chanson de déception amoureuse et de prévention quant au mariage.
Là-haut sur la montagne (enq.) (fin) ; L’autre jour j’étais aux noces (inf.) (début) Alice Taraud chante la fin de la chanson "Là-haut sur la montagne, y'a des petits oiseaux" puis commence le premier couplet de la chanson « Sans mentir j’aimerais mieux »
L'autre jour j'étais aux noces (inf.) (suite) Alice Taraud inteprète la chanson "L'autre jour j'étais aux noces", avec refrain "Sans mentir, j'aimerais mieux un jeune amoureux qu'un sage...".
L'autre jour j'étais aux noces (inf.) (fin) Alice Taraud continue la chanson "L'autre jour j'étais aux noces", avec refrain "Sans mentir, j'aimerais mieux un jeune amoureux qu'un sage…".
Filles qui avez des serviteurs (enq.) (fragment) Alice Taraud commence la chanson "Filles qui avez des serviteurs faites-leur porter des couleurs" mais se trompe dans les paroles. Elle reprend à l’item suivant.
Filles qui avez des serviteurs (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "Filles qui avez des serviteurs faites-leur porter des couleurs"
La guenille à Pierrot (doc.) Alice Taraud interprète la chanson débutant par "De ta chemise de mariage, dis-moi, Pierrot, qu'en as-tu fait ?".
La mariée avait promis un chapeau à son mari (enq.) Alice Taraud chante la chanson énumérative "La mariée avait promis un chapeau à son mari", avec refrain "Nous irons tous en chantant à La Meule boire du vin blanc".
Entre Paris et La Rochelle (enq.) Alice Taraud interprète la chanson "Entre Paris et La Rochelle, aimez-vous, il y a-t'une chapelle".
Là-bas dans ce village (enq.) Alice Taraud interprète la chanson en poitevin-saintongeais "Là-bas dans tche village", avec refrain "Tournia rondia…". Les garçons de la ville sont plus éveillés que ceux du village car ils sont capables d’embrasser les filles sans les réveiller.
Ma mère, je veux avoir Jean (enq.) Alice Taraud interprète la chanson d’une fille qui demande à sa mère comment ça se passera dans son mariage.
Etoile des Flots (enq.) Alice Taraud inteprrète la chanson "Etoile des Flots", cantique de Pardon chanté le lundi de Pâques, lors du pèlerinage à la Meule.
Astre béni du marin (enq.) Alice Taraud interprète le cantique « Astre béni du marin », chanson chantée lors de tous les offices en lien avec les gens de mer.
Cantique pour les péris en mer (enq.) (début) Alice Taraud interprète le début du cantique pour les péris en mer. La suite se trouve sur la piste suivante.
Cantique pour les péris en mer (enq.) (fin) Alice Taraud continue le "Cantique pour les péris en mer", commencé sur la piste précédente
Derrière chez mon père, un oranger il y a (enq.) (début) Alice Taraud intreprète la chanson "Derrière chez mon père, un oranger il y a", avec refrain "Ce n'est pas sur la route qu'on ira faire : la, la, la". Elle hésite sur les paroles et reprend la chanson à l’item suivant.
Derrière chez mon père, un oranger il y a (enq.) (fin) Alice Taraud se remémore l’un des couplets de la chanson "Derrière chez mon père, un oranger il y a", débuté à l’item précédent
Eh ! Montez donc la belle dans ma chambre (enq.) Alice Taraud inteprète la chanson "Eh ! Montez donc la belle dans ma chambre", avec refrain "Herbe coupe, coupe la faux, coupe herbe coupée, il faut la faner".
Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson « Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris »
Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris (enq.) Michel Palvadeau reprend la chanson précédente "Derrière chez mon père, les lauriers sont fleuris", avec refrain "Ce n'est pas sur la route qu'on ira faire : la, la, la...", et la termine.
En revenant de Paris-La Rochelle (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson "En revenant de Paris-La Rochelle", avec refrain "Soulagez un peu votre jambe en l'air" et en cherche les paroles. Claire Groisard l’aide à trouver les paroles.
En revenant de Paris-La Rochelle (enq.) Clara Groisard et Michel Plavadeau reprennent la chanson précédente en chantant en alternance "En revenant de Paris-La Rochelle", avec refrain "Soulagez un peu votre jambe en l'air".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) (fragment) Claire Groisard et Michel Palvadeau souhaitent chanter "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "Camarades, il faut boire". Ils cherchent les proles.
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Claire Groisard et Michel Palvadeau interprètent ensemble la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "Camarades, il faut boire".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Michel Palvadeau interprète la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé". Il débute avec le refrain "larguez les riz dans les grandes voiles" puis passe au refrain « Camarades il faut boire »
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson à danser "C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré" à laquelle son fils répond.
Le berger qui me fait la cour (enq.) (fragment) Raymond Taraud débute la chanson "Le berger qui me fait la cour" mais s’arrête rapidement à la demande des enquêtrices.
Le berger qui me fait la cour (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Le berger qui me fait la cour".
Mon père a fait faire un étang (enq.) (début) Raymond Taraud inteprète la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "Depuis longtemps que ces deux coeurs s'aimaient". Son fils répond. Il ne se souvient plus des derniers couplets. Il reprend sur la piste suivante.
Mon père a fait faire un étang (enq.) (fin) Raymond Taraud reprend la suite de la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "Depuis longtemps que ces deux coeurs s'aimaient". Son fils répond.
Mon père a fait faire un étang (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Mon père a fait faire un étang", avec refrain "vous l'avez vu ce matin fille, femme à présent".
C'était une frégate nommée La Denoé (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "C'était une frégate nommée La Denoé", avec refrain "camarades, il faut boire".
Ce sont les dames de Paris (enq.) Raymond Taraud interprète la chanson "Ce sont les dames de Paris", et son fils répond.
Un soir, je me suis mise en danse (enq.) Raymond Taraud chante le premier couplet de la chanson "Un soir, je me suis mise en danse".
Derrière de chez mon père un oranger il y a (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Derrière de chez mon père un oranger il y a", avec refrain "ce n'est pas sur la route...".
Un jour, je me suis mis en danse (enq.) Claire Groisard inteprète la chanson « Un jour je me suis mise en danse » avec le refrain « J’ai mon amant bien loin de moi ».
Derrière de chez mon père un oranger il y a (enq.) Claire Groisard interprète la chanson "Derrière de chez mon père un oranger il y a", avec refrain "ce n'est pas sur la route...".
Sur les ponts d’Avignon (enq.) Les trois informatrices interprètent d’une seule voix la chanson « Sur les ponts d’Avignon ». Elles ne sont pas toujours d’accord sur les paroles.
Informations sur les circonstances d’execution de la chanson Les informatrices évoquent les différents moments pendant lesquels elles chantaient « la chanson de la mariée » ou « Sur les ponts d’Avignon », chantée précédemment.
Annonce au tambour par le Garde Champêtre Après avoir frappé du tambour, Prudent Beneteau effectue une annonce concernant il les horaires des voyages du bateau entre Fromentine et l’Ile d’Yeu.
Information biographique Jean-Louis-Joseph Rousseau évoque son arrivée sur l’Ile d’Yeu, la garde des moutons quand il était jeune et la généalogie des famille de ses gendres.
Information sur la manière d’apprendre une chanson dans les ports M. Rousseau évoque la transmission de chanson, les occasions de chanter dans les ports lorsqu’il était partron d’un thonnier.
Informations sur son bateau le « Marguerite-Marie » M. Rousseau évoque l’évolution de la navigation et de la pêche avec l’évolution du matériel et de l’équipage. Il donne les dates principales de sa carrière et parle de son fils.
Je suis le maître à bord (enq.) (début) M. Rousseau interprète la chanson Je suis le maître à bord, une chanson racontant l’histoire d’un capitaine durant une traversée. La chanson est interrupue à la fin de 2e couplet en fin de bobine et reprend à l’item suivant. apprise d’un neveu marin pendant l’occupation
Le maître à bord » (enq.) (fin) Fin de la chanson commencée à l’item précédent « Je suis le maître à bord » chanté par M. Rousseau
L’océan (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de marin « L’océan »
Ce sont trois filles du Lion d’or (enq.) M. Rousseau interprète la chanson « Ce sont trois filles du lion d’or », chanson que chantait sa mère.
Information sur la famille de sa mère M. Rousseau évoque la famille de sa mère, dont il tient la chanson précédemment chantée et qui ne savait ni lire ni écrire.
Complainte du juif errant (enq.) (début) M. Rousseau interprète la complainte du juif errant. Il butte sur des paroles et arrête là la chanson qui sera reprise à l’item suivant. Transforme sa voix pour chanter cette chanson, pour donner l’impression de dialogue. Passage mineur à majeur ; par variabilité des 4e degré et 7e degré ; interruption et reprise ; stabilité en majeur vers la fin
Complainte du juif errant (enq.) (fin) M. Rousseau continue à chanter la suite des couplets de la chanson commencée à l’item précédent : la complainte du juif errant.
Partons la mer est belle (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de marins « Partons la mer est belle » Apprise il y a dix ans environ à l’occasion des spectacles donnés au bénéfice des péris en mer. Chanson des années 1800
Bercé par la houle (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de 1936 « Bercé par la houle », chanson de matelots et marins qui partent en mer. Romance apprise auprès d’un vieux marin de l’ile d’yeu ayant actuellement 75 ans, quand il était matelos vers 25-30. Il y a deux ans
Chanson du mouchoir (doc.) M. Rousseau interprète la chanson populaire de 1911 La chanson des mouchoirs.
Sur la route de Nantes il y a dix pommiers (enq.) M. Rousseau interprète la chanson de dix « Sur la route de Nantes y’a dix pommier » avec refrain « ce n’est pas sur la route qu’on ira faire l’amour ». Il termine la chanson par « à la cheminée ! »
Ah ! Si j'étais une alouette grise (enq.) Marie Friou interprète une chanson que plusieurs informatrices répondent. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
C'est la java bleue (enq.) Les femmes de l’usine interprète ensemble la chanson populaire La java bleue. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
On n'a pas tous les jours vingt ans (enq.) Les femmes de l’usine interprète la chanson populaire On n’a pas tous les jours vingt ans. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine. Chanson chantée pour la première fois par Berthe Sylva en 1935
Le travail c'est la santé (ens.) Les femmes de l’usine interprètent la chanson populaire Le travail c’est la santé. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Ce sont trois p'tits marins (enq.) Germaine Burgaud interprète la chanson à répondre Ce sont trois p’tits marins, à laquelle répondent les femmes de l’usine. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Ambiance sonore dans l'usine bruits divers On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Il était un petit bonhomme "Il était un petit bonhomme qui s'en allait au chatia".
Ambiance sonore dans l'usine On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Sur la grande place du village, une roulotte est arrêtée (enq.) Si Vous Rencontrez Une Blonde (doc.) "Sur la grande place du village, une roulotte est arrêtée" chantée par les femmes de l’usine. Marie Friou mène le groupe On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine. Chanson chantée pour la première fois en 1920 par Anny Flore et Lina Margy.
Tu verras le ciel bleu, de Buenos-Aires (enq.) L'air de Buenos-Aires (doc.) Les femmes de l’usine interprète ensemble la chanson populaire L’air de Buenos Aires. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Charlot (enq.) Les informatrices de l’usine interprètent à l’unisson la chanson populaire Charlot. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
L'autre jour j'étais aux noces (enq.) (début) Marie Friou mène le premier couplet de la chanson à répondre L’autre jour j’étais aux noces. Les femmes de l’usine répondent. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
L'autre jour j'étais aux noces (enq.) (suite) Marie Friou mène la suite de la chanson à répondre L’autre jour j’étais aux noces commencée à l’item précédent. Les femmes de l’usine répondent. On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
En revenant de Nantes (enq.) On entend l’ambiance sonore et les bruits de l’usine.
Ils sont partis, nos gais thoniers (enq.) M. Rousseau interprète la chanson populaire « Thoniers ». Il parle par la suite des termes spécifiques à la pêche présents dans la chanson. On entend la voix de M. Bretet
Tous les marins ont une étoile (enq.) M. Rousseau interprète la chanson populaire « Tous les marins ont une étoile ».
C'est la jeune Françoise de Saint-Martin-de-Ré (enq.) M. Rousseau interprète la chanson « C’est la jeune Françoise de Saint-Martin de Ré ». Il hésite sur les paroles à la fin de la chanson.
Je crois en Dieu mais je ne crois pas à ça (enq.) M. Rousseau interprète la chanson populaire « Je crois en Dieu mais je ne crois pas ça » qui raconte les utopies d’un marin à bord. Par la suite on entend un extrait de conversation et la préparation d’un air d’accordéon.
Derrière chez mon père un oranger y a (enq.) à l’accordéon M. Bretet interprète un air de danse à l’accordéon.
Information sur l'apprentissage du jeu de l'accordéon par Monsieur Henri Bretet. M. Bretet évoque son apprentissage de la musique, à l’harmonica puis accordéon. Il ne vient pas d’une famille de musiciens mais a toujours aimé cet instrument.
Les fiancés d'Auvergne (inf.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète la valse "Les fiancés d'Auvergne" à l’accordéon. La fin de la piste enchaine sur l’item suivant pendant lequel une femme commence à chanter un air qu’il reprend à l’accordéon.
Ma marmite n'a plus que dix trous (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète le rond "Ma marmite n'a plus que dix trous" à l’accordéon. On entend une femme et un homme chanter sur l’air de l’accordéon.
Jamais vu tant de coqs noirs joué à l’accordéon Henri Bretet interprète à l’accordéon le rond "Jamais vu tant de coqs noirs" et "Jamais vu tant de coqs gris".
Devant Bordeaux est arrivé (inf.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète le demi-rond "Devant Bordeaux est arrivé un tout petit mignon navire" à l’accordéon.
Information sur les moments de jeu Henri Bretet évoque les moments où il jouait de l’accordéon, le soir en rentrant du travail, et leur fréquence.
Information sur l'apprentissage du répertoire de la Clique et sa composition. Henri Bretet et Claude Bourel évoquent la manière dont ils apprennent leur répertoire avec le groupe dont ils font partie : la Clique. Ils décrivent de quels instruments elle est composée.
Information sur les fêtes pendant lesquelles la Clique joue Claude Bourel évoque l’une des fêtes pendant lesquelles jouait la Clique. On entend la voix de Hanri Bretet.
Information sur la participation de la clique à différentes fêtes. Information sur les cérémonies en 1966 en l'honneur du cinquantenaire de Verdun. M. Bretet et M. Bourel évoquent les différents parcours qu’ils faisaient avec la clique lors des fêtes du 8 mai, 11 novembre et 14 juillet. Une femme évoque des événements s’étant passés lors de la cérémonie du cinquentenaire de Verdun.
Information sur la clique de l'île. La clique Saint-Amand. M. Bretet et M. Bourel évoquent la création de la clique, leur société de musique, les personnes qui la composent, la composition du drapeau et qui était Saint-Amand.
Information sur le répertoire de la clique et les concours auxquels elle a participé. M. Bretet et M. Bourel évoquent le répertoire de la clique de Saint-Amand ainsi que la participation aux concours, notamment leur réussite à l’un d’eux, survenu l’année passée.
Le chant des échos (enq.) M. Rousseau interprète la chanson des échos, vieille chanson française parlant de naufrage et de la solitude des marins.
Information sur les saisons de pêche sur l’Île M. Rousseau évoque son métier de pêcheur et les vents qui pouvaient le faire rester loin de l’île pendant longtemps. On entend parler un autre homme.
Information sur un fût de porto qui venait à la côte pendant la guerre 1914-1918. M. Rousseau évoque le déchargement des denrées d’un bateau dans lequel se trouvait un fût de porto.
Information sur un tonneau d'eau-de-vie contenant un singe. M. Rousseau évoque une anecdote dans laquelle un singe avait été conservé dans de l’eau de vie sans que personne ne s’en aperçoive avant que le fût n’ait été terminé.
Information sur les bougies rejetées à la côte. M. Rousseau évoque un chargement de bougies rejeté sur la côté et dont il était interdit d’aller se servir dedans.
Ce sont trois p'tits marins (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète à l’accordéon le demièrond "Ce sont trois p'tits marins".
Il est dix heures en ville (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète l’air « Il est dix heures en ville » à l’accordéon
Voilà dix heures que nous marchons (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète à l’accordéon la chanson de 10 "Voilà dix heures que nous marchons, sortez-donc de vos maisons".
Sur les ponts d'Avignon (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète à l’accordéon la chanson Sur les ponts d’Avignon
Nous irons tous en chantant à la Meule (enq.) joué à l’accordéon Henri Bretet interprète à l’accordéon la chanson « Nous irons tous en chantant à la Meule ». D’autres personnes chantent à l’arrière de l’enregistrement.
Information sur la chanson de la mariée. Henri Bretet raconte une anecdote à propos d’une chanson de noce qu’il avait chantée à un ami pompier pour le réveiller.
Mélange de paso-doble Henri Bretet interprète un ensemble de paso-dobles à l’accordéon chromatique
Coeur Breton (enq.) Germaine Burgaud interprète la romance Coeur Breton dans laquelle un jeune homme s’engage comme marin pour consoler sa mère affectée par le décès de son père. Mme Burgaud a appris cette chanson quand elle étant enfant.
Amour amour fils de mon coeur (enq.) Marie Friou interprète la romance « Amour amour fils de mon coeur » dans laquelle un père qui a méconu son enfant et laissé la mère dans la misère, revient en se repentant. Mme Groisard connaît également cette chanson.
C’était un soir par un beau clair de lune (enq.) Marie-Martine Burgaud interprète la romance « C'était un soir par un beau clair de lune » ou « Quand reviendront les roses » qui évoque un amour malheureux. Marie-Martine Burgaud a appris cette chanson à l’usine.
Bon vigneron (enq.) Marie Friou interprète la chanson à danser « Bon vigneron »
Là-haut sur la montagne (enq.) Les informatrices interprètent la chanson « Là-haut sur la montagne », une chanson de déception amoureuse et de prévention quant au mariage. Cette chanson se chante à l’usine
Un soir, je me suis mise en danse (enq.) Marie Friou interprète la chanson à danser « Un soir je me suis mise en danse » dans laquelle une jeune fille demande des comptes à son amant qui s’en va.
Le petit corset (inf.) Les informatrices interprètent la chanson à répondre du petit corset. Marie Friou mène le chant.
La mariée avait promis (enq.) Marie Friou mène la chanson énumérative à répondre « La mariée avait promis » avec refrain nous irons tous en chantant
Quand i ai sortie de mon praï (inc.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand i ai sortie de mon praï" dans laquelle un homme revient de guerre et se rend compte que sa maîtresse est en train de se marier. Il arrive le jour du premier ban. Chanson de danse que Florentine Palvadeau appelle « La Danse ». Elle se danse en rang. L’informatrice dit la connaître depuis toujours. Elle rajoute qu’ « au pays on chante aux baptèmes, aux communions, à 4h » (enq.)
La Passion de Jésus-Christ (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "La Passion de Jésus-Christ" qui raconte un épisode biblique : la crucifixion de Jésus-Christ. Cette chanson était chanté pendant le vendredi Saint.
A 10 heures dans la plaine (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche à la dizaine "A 10 heures dans la plaine" dans lequel la belle promet à son amant doux de ne pas oublier l'heure du rendez-vous
Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle (inc.) Florentine Palvadeau interprète le chant "Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle" dans lequel une fille chante ses amours perdus. Dans les derniers couplets il est demandé à la mariée d'ouvrir la porte de la chambre, ce qu'elle ne peut pas faire car elle est couchée avec son mari. .
Chanteras-tu jolie bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Chanteras-tu jolie bergère" qui est une discussion entre un monsieur et une bergère. Il est question du chant de la bergère qui aime la danse, la contredanse et le vin, le monsieur cherche à savoir s'il est le seul à boire avec elle et s'il tient son coeur en gage.
Entre vous filles de Noirmoutier (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Entre vous filles de Noirmoutier" dans laquelle il est question des filles de Noirmoutier qui sont belles puis de la prise de l'armée d'Angleterre par leurs amants qui sont au service pour quatre ans. La chanson se poursuit avec un histoire de marchand de vinaigre qui va voir sa maîtresse et rencontre sur son chemin le curé et son vicaire à qui il demande de lire une lettre de sa maîtresse.
Quand j’étais chez mon père (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson en poitevin-saintongeais "Quand j'étais chez mon père" dans laquelle un garçon est envoyé aux landes pour garder ses moutons, le loup arrive et lui mange le plus beau. Il demande au loup de garder sa peau, le bout de sa queue pour différents usages.
Mon père veut m’y marier (enq.) Florentine Palvadeau interprète "Mon père veut m’y marier" où il est question d'une fille malmariée à un vieux bonhomme pas à son gré. Le vieux bonhomme va aux foire et au marché sans jamais rien rapporter à la fille sauf un bâton de vert pommier pour la battre.
Nous partons tous mes très chers camarades (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche « Nous partons tous mes très chers camarades » dans laquelle il est question de tromperie. Un amant s'arrache les cheveux en voyant sa mie pleurer du départ d'un autre de ces amants. La chanson est suivie d'une discussion entre Florentine Palvadeau et les enquêtrices qui cherchent à savoir comment se faisait la réponse sur cette chanson.
Mon père a fait faire un étang, son papa qui l'emmène (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a fait faire un étang, vous la voyez femme à présent (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
A l'ile d'Yeu (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "A l’Ile d’Yeu joli petit bourg" dans laquelle des couturières sans le sous vont chez le perruquier et demandent à se faire friser à crédit, il refuse et leur répond de vendre leurs robes pour avoir de l'argent
Mon père a fait faire un étang / les tambours qui nous mènent (enq-inc) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a-t-une vigne (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père a une vigne" dans laquelle trois tailleurs des Sables viennent tailler une vigne jamais taillée, un des tailleurs ne peut pas tailler car sa maîtresse ne veut plus l'aimer car il lui a refusé un bouton de rose.
Quand j’étais chez mon père, enfant petit (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand j’étais chez mon père enfant petit" dans laquelle il est question de quelqu'un qu'on envoie chercher des nids, qui en trouve de caille, de perdrix et d'alouette.
Le marchand de velours (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Le marchand de velours" dans laquelle un père marie sa fille avec un marchand de velours qui ne parle que de son velours lors de la première nuit des noces. La fille jure de faire son mari cocu.
C’était un petit bonhomme guenillon (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’était un petit bonhomme guenillon" dans laquelle il est question d'un bonhomme qui a une belle fille, il l'envoie au bois pour cueillir la noisille, comme la noisille est haute la fille tombe et se plante une épine dans le doigts. La fille s'endort à cause de la douleur. Trois bourgeois passe et la regarde et le troisième dit qu'elle sera sa mie.
Chez mon père nous étions trois filles (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Chez mon père nous étions trois filles" qui raconte une volonté d'échange de mie entre trois tailleurs de vigne marié à trois filles dont une est plus gentille que les autres. Mais le tailleur marié à la plus gentille ne veut pas échanger.
C’est une dame et un curé (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’est une dame et un curé" dans laquelle une dame et un curé vont se promener le soir, la dame veut danser, le curé la jette sur son froment, vient le propriétaire qui se plaint qu'ils égrainent tout son froment.
Que Dieu donne à la mariée (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Que Dieu donne à la mariée" dans lequel on souhaite que dieu donne à tous une bonne année et à la mariée sa couronne, un époux, une pleine armoire de linge blanc, un plein tablier d'argent etc
En revenant de Paris la Rochelle (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "En revenant de Paris la Rochelle" dans laquelle un gars rencontre 80 demoiselles en revenant de Paris La Rochelle, il prend la plus belle sans choisir et la monte derrirère sa selle. Après avoir parcouru 100 lieux sans parler avec elle, elle demande à boire, il la conduit à la claire fotnaine où elle ne veut pas boire puis au logis de son père où elle boit à plein verre.
L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant" dans laquelle un homme rencontre une bergère qui dort sur le jonc. Il lui prend son joli petit panier blanc. La bergère s'en plaint, il lui répond qu'il est riche marchand et qu'il va la payer. Elle dit que son panier n'est pas à vendre, que sa grand-mère lui a dit qu'il fallait le garder. Le marchand lui répond que sa grand-mère n'a pas toujours gardé son joli petit panier blanc non plus.
Dans le palais du roi (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Dans le palais du roi" dans laquelle il est question d'une flamande indécise sur le choix de son amoureux. Elle a le fils d'un couturier et un cordonnier. Elle choisi le cordonnier, qui lui fait des beaux souliers et lui propose de coucher ensembles dans un beau lit carré garnie de roses blanches.
Bonjour ma petite Marie (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Bonjour ma petite Marie" qui est un dialogue entre une fille et son amant. L'amant dit qu'il a entendu dire qu'elle n'était pas sage, elle lui assure qu'elle n'a de l'amitié que pour lui. Il lui répond qu'il ne lui envoyait plus de lettres pour lui faire savoir qu'elle était la délaissée. Elle lui répond qu'elle ne veut pas d'un jaloux sans argent.
Une fois disait un guerrier à l'intéressante Imogine (inc.) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Imogine" qui raconte le départ d'un guerrier pour la Palestine. Il dit à Imogine pleurant qu'elle aura bientôt un autre amant. Elle lui dit qu'elle ne l'oubliera jamais et lui sera toujours fidèle. Florentine Palvadeau ne se souvient pas des paroles à partir du quatrième couplet et dit qu'elle ne peut pas chanter cette chanson.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_028 pour avoir la chanson en entier.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Serais-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère se demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'Atlantique.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Serai-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère ne demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène là-haut sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'atlantique. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_029 pour avoir la chanson en entier.
Devant Bordeaux est arrivée (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Devant Bordeaux est arrivée" dans laquelle une frégate arrive à Bordeaux, tout le monde va la voir sauf la fille du président que son père tient en garde. La belle réussit à aller faire un tour en ville, monte dans le navire et par pour la Martinique. Providence Bouteau a appris cette chanson en allant à l'école, en dansant sur les routes.
Mon père avait un gars (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Mon père avait un gars" qui raconte l'histoire d'un gars et d'un fille qui font l'amour 7 ans avant que la mort les sépare. On les enterre auprès de l'église, on plante une épine sur la fosse du garçon et une olive sur celle de la fille. L'olive pousse tant qu'elle recouvre toute l'église. Les charpentiers viennent la couper et en fond trois navires
Un soir m’en revenant des vêpres (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Un soir m’en revenant des vêpres" dans laquelle un amant vole les bagues en or de sa mie. Elle l'accuse d'être un moqueur de fille mais il s 'en défend.
Un dimanche au matin allant m’y promener (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Un dimanche au matin allant m’y promener" dans laquelle un gars rencontre sa mie qui va se baigner pour se laver les pieds. Quand la belle va dans l'eau elle manque de s'évanouir, elle va alors se reposer sous un pommier et lui parle.
Mon père a fait bâtir château ma quenouillettte et mon fuseau (enq.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche pour conduire la mariée "Mon père a fait bâtir château" dans lequel un père fait bâtir un château sur trois carreaux sur lequels il y a des ormeaux qui portent des oiseaux. L'oiseau est un étourneau chargé de dire à Isabeau qu'elle part pour Bordeaux goûter du vin nouveau.
Bergère sur les montagnes (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Bergère sur les montagnes" qui prévient les bergères de bien garder leurs moutons sinon les gendarmes les emmèneront. Providence Bouteau a appris cette chanson auprès de sa mère originaire de Barbâtre.
Quand nous sommes à Pâques nous sommes au printemps (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Quand nous sommes à Pâques nous sommes au printemps" dans laquelle le fils du Roi va ramasser des marguerites dans les champs pour les offrir à sa maîtresse. Il lui offre ses gants qu'elle doit porter à Pâques, à la Saint-Jean et à ses noces avec lui.
Mon père aussi ma mère (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Mon père aussi ma mère" dans laquelle une fille est envoyé à l'école du roi par ses parents. Le maître de l'école est amoureux d'elle et veut qu'ils se marient sauf qu'elle est amoureuse d'un marin.
J’ai une méchante mère (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "J’ai une méchante mère" dans laquelle une méchante mère fait lever sa fille avant le lever du soleil pour l'envoyer à la fontaine. Elle y trouve son amant et discute avec lui. Elle s'inquiète de ce que dira sa mère.
L’autre jour je m’y promène tout le long de ces verts prés (inc.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche "L’autre jour je m’y promène tout le long de ces verts prés" dans lequel un gars rencontre une jolie brunette qu'il veut embrasser. La brunette refuse car elle a entendu dire que le gars avait femme et enfants à Marseille. Elle a chanté ce chant à une noce et elle l'a appris de sa mère le soir en gardant les vaches.
Mon père m’a accueilli à garder les vachettes (inc.) (fragment) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Mon père m’a accueilli à garder les vachettes" dans laquelle une fille est envoyée garder les vaches. L’une d'elles s'échappe et elle lui coure après en cueillant la violette. Providence Bouteau ne se souvient pas de la chanson en entier, elle le dit à la fin de l'enregistrement.
L’autre jour je m’y promène le long d’un petit bois charmant (inc.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche "L’autre jour je m’y promène le long d’un petit bois charmant" dans lequel un gars demande à une bergère combien elle gagne par an. Il lui propose de venir avec lui pour gagnez plus et coucher avec lui. Elle refuse car elle veut être mariée avant.
Adieu la ville de Sallardaine (inc.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche "Adieu la ville de Sallardaine" dans lequel un soldat part pour la Hollande et regrette les amours d'une jeune fille. Il dit qu'il ira la voir dimanche pour boire avec elle. Selon elle c'est un chant à la marche alors que le grand-père Olliviero (beau-frère de l’informatrice) dit que c’est un chant de table.
Au derrière de chez mon père (enq.) Providence Bouteau interprète la chanson "Au derrière de chez mon père" où il est question d'un jardin où caille, tourterelle, perdrix et jolie colombe chantent jour et nuit pour les filles qui n'ont pas de maris. Providence Bouteau dit que cette chanson est plutôt nouvelle. Elle l’a apprise avec des amis. Sa mère ne la savait pas.
C’est un garçon et une fille qui se sont fait l’amour longtemps (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de table "C’est un garçon et une fille qui se sont fait l’amour longtemps" qui raconte la retraite d'une fille au couvent, car ses parents l'y obligent, et d'un gars en ermitage dans les bois. Quand ils se retrouvent elle lui passe un anneau d'or au doigt et il meurt. Providence Bouteau a appris cette chanson auprès de sa mère.
C’est la jeune Nanon gardant sa bergerie (inc.) Providence Bouteau interprète la chanson "C’est la jeune Nanon gardant sa bergerie" dans laquelle trois chasseurs de la Loire rencontrent une bergère. Un des chasseurs veut lui offrir son manteau et son cœur. La belle refuse car elle garde son cœur en gage pour son mignon berger.
Sont trois garçons du Pays-Bas cherchant fortune (inc.) Providence Bouteau interprète la chanson "Sont trois garçons du Pays-Bas cherchant fortune" dans laquelle trois garçons emmènent trois filles au cabaret pour boire chopines. Ils s'en vont sans payer et en abandonnant leurs maîtresses. La plus jeune des filles ment et trompe les parents de son amant pour récupérer son argent et retourner boire au cabaret. Providence Bouteau a appris cette chanson auprès de sa mère.
Un soir à la promenade (enq.) Providence Bouteau interprète la chanson "Un soir à la promenade" dans laquelle un garçon rencontre une bergère qui va à la fontaine le soir. Il cherche à l'embrasser, elle n'a pas confiance en lui mais il lui jure qu'il l'aime autant que lui. Providence Bouteau a appris cette chanson auprès de son défunt père.
Ce soir à Nantes il y a un bal assigné (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Ce soir à Nantes il y a un bal assigné" où il est question d'un bal où tout le monde va sauf Hélène. Son frère finit par l'y emmener mais en passant sur un pont ils se noient tous les deux.
Henriette et Damon (enq.) Providence Bouteau interprète la complainte "Henriette et Damon" qui raconte l'histoire de ces deux amoureux. Damon demande la main d'Henriette au père de celle-ci qui la lui refuse. Henriette est enfermée dans un couvent. Damon la cherche pendant 7 ans sans jamais la trouver.
Là-bas dedans l’église (enq.) Providence Bouteau interprète une berceuse "Là-bas dedans l’église il y a une petite poule grise" . Claudie Marcel-Dubois l’interroge sur une autre chanson enfantine : le petit cheval, pour faire sauter les enfants. Providence Bouteau l'interprète dans l'item suivant (voir item UPOI_ATP_0004_0002_022).
Danse, danse ma mite bianche (inc.) Providence Bouteau interprète une sauteuse "Danse, danse ma mie tant bianche".
Ptite jambe courte jambe (enq.) Providence Bouteau interprète une sauteuse "P'tite jambe courte jambe" puis Claudie Marcel-Dubois l'interroge pour savoir si elle ne disait pas cette sauteuse en patois.
Ferre, ferre mon p'tit chevao (inc.) Providence Bouteau interprète une comptine pour enfant "Ferre, ferre mon p'tit cheval";
Petit paï, courte paï (enq.) Providence Bouteau dit les paroles d'une sauteuse en patois "Petit paï, courte paï"
Petit paï, courte paï (enq.) Providence Bouteau interprète une sauteuse "Petit paï, courte paï".
Cocotte bernotte la jambe de bois (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson enfantine "Cocotte bernotte la jambe de bois", chanson qui servait pour faire un jeu. Providence Bouteau explique le jeu dans l'item suivant (voir item UPOI_ATP_0004_0002_028).
Explication du jeu Cocotte bernotte la jambe de bois (enq.) Providence Bouteau explique le jeu qu'ils faisaient en chantant "Cocotte bernotte la jambe de bois". Tout le monde met son doigt au même endroit, quelqu'un chante la chanson et quand la chanson est terminée il essaye de taper le doigts d'un autre enfant. L'enfant touché a alors un gage. C'est un jeu de réflexe et de rapidité. Providence Bouteau interprète cette chanson dans l'item précédent (voir item UPOI_ATP_0004_0002_027).
Quand le roi va à la chasse (enq.) Providence Bouteau dit une formulette sur les cinq doigts "Quand le roi va à la chasse". Providence Bouteau dit deux fois la formulette.
Hémogine (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de table "Hémogine" qui raconte le départ d'un guerrier pour la Palestine. Il dit à Imogine pleurant qu'elle aura bientôt un autre amant. Elle lui dit qu'elle ne l'oubliera jamais et lui sera toujours fidèle.
Derrière chez nous il y a-t-un couvent (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Derrière chez nous il y a-t-un couvent" dans laquelle un moine aime une fille et va la voir tous les jours. Il lui demande si elle a de l'amitié pour lui. La fille répond qu'elle aimerait qu'il soit dans un four chaud à brûler et qu'un grand vent de nord l'envoie aux Pays-Bas.
L’autre jour en m’y promenant (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "L’autre jour en m’y promenant" dans laquelle une fille rencontre un matelot qui part au régiment, ils se promettent de s'attendre 4 ans. Au bout de 4 ans son père la marie avec un vieillard. Le matelot revient le matin des noces.
Mes chers amis voici le jour aimable (inc.) Providence Bouteau interprète un chant de noces « Mes chers amis voici le jour aimable » qui est une leçon aux époux leur disant qu'ils se doivent un amour éternel et ne doivent pas pratiquer l'adultère. C'est la chanson qui permet d'offrir le bouquet d'oranger pendant le repas de noces, bouquet qui symbolise le lien de fidélité entre les deux mariés et signifie qu'ils perdent leurs libertés. Cette chanson de la mariée était chantée au repas de noces du midi par une jeune fille. Tout le monde l’écoutait en silence.
Témoignage sur le gâteau de la mariée Commentaire de Providence Bouteau sur les coutumes de mariage : informations sur le gâteau de la mariée sur lequel celle-ci piquait le bouquet dont il est question dans la chanson "Mes chers amis voici le jour aimable". Elle chante cette chanson dans l'item précédent (cf. item UPOI_ATP_0004_0004_001).
La belle tu m’avais toujours dis (inc.) Providence Bouteau interprète la chanson du matin de la mariée « La belle tu m’avais toujours dis » qui raconte le couronnement de la mariée. Dans cette chanson le fait de couronner la fille montre que celle-ci est honnête.
Marie tu m’avais toujours dis (inc.) Providence Bouteau interprète à nouveau la chanson du matin de la mariée « La belle tu m’avais toujours dis » qui raconte le couronnement de la mariée. Dans cette chanson le fait de couronner la fille montre que celle-ci est honnête. Providence Bouteau ne chante pas la chanson en entier. Voir item UPOI_ATP_0004_0004_003 pour l'entendre en entier.
Informations sur le chant du marié Sur le pont d'Avignon Providence Bouteau donne des informations sur le chant de noce (le chant du marié) « Sur le pont d’Avignon ». L'informatrice dit une partie des paroles, un homme fait la même chose au milieu de l'enregistrement. Les enquêtrices veulent savoir si elle trouve que la chanson est moderne, si cette chanson était beaucoup chantée autrefois.
Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle (inc.) Providence Bouteau interprète le chant du marié « Sur le pont d’Avignon » que celui-ci chante pour que la mariée lui ouvre la porte de la chambre. L'histoire parle d'une belle qui chante une chanson disant qu'elle a perdu ses amours. On suit ensuite trois petits pigeons dans leurs volées. Ce chant est chanté le soir des noces, le marié chante cette chanson pour que la mariée lui ouvre la porte au dernier couplet «Ouvrez la porte ouvrez nouvelle mariée ». L’enquêtrice précise que Providence Bouteau a une interprétation scandée excellente.
Là-haut, là-haut dedans ces bois (inc.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche de cortège de noce "Là-haut, là-haut dedans ces bois" qui raconte l'histoire du fils du Roi qui en entendant une belle chanter veut aller la voir. Ce n'est finalement pas elle qui chante mais son petit frère.
Quand j'étais chez mon père petite à la maison (inc.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche de cortège de noces "Quand j'étais chez mon père, petite à la maison" dans lequel trois cavaliers sauvent une fille tombée dans une fontaine dans l'espoir d'avoir ses amours. Celle-ci n'en a pas l'intention et leur chante une chanson à la place. La chanson est suivie d'informations sur une chanson de danse qu'on chantait à la mariée pendant la danse le midi des noces (voir item suivant UPOI_ATP_0004_0004_010).
Rossignolet d'un bois dis moi va ta pensée (inc.) Providence Bouteau interprète un chant de danse à la mariée "Rossignolet d'un bois" qui raconte la séquestration d'une fille pendant 7 ans, un meurtre et un enlèvement. La fille enfermée est enlevée et va se marier, celui qui la tenait enfermée va alors tuer le marié et emmener la fille à nouveau.
Informations sur la chanson de danse qu'on chantait à la mariée pendant la danse du midi Providence Bouteau donne des informations sur une chanson de danse qu'on chantait à la mariée pendant le repas du midi lors des noces. Il est question de la chanson "Rossignolet d'un bois" (voir item précédent UPOI_ATP_0004_0004_009 pour entendre la chanson)
La Passion de Jésus-Christ (enq.) Providence Bouteau interprète "la Passion" qui raconte un épisode biblique : la crucifixion de Jésus-Christ.
Informations sur la Passion (enq. Providence Bouteau donne des informations sur le déroulement de la nuit de la Passion (15 jours avant Pâques).
La belle va au jardin d'amour (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "La belle va au jardin d'amour" dans laquelle une fille malheureuse disparaït et raconte ses peines à un oiseau. Son père et son amant la cherchent partout. L'amant envie l'oiseau qui connait les peines de la belle contrairement à lui.
Là quand j'étais chez mon père (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse et de table "Là quand j'étais chez mon père" dans laquelle une jeune fille oublie son déjeuner et refuse de le manger quand on lui apporte car elle se trouve incomprise. Elle dit que personne ne sait sa volonté hormis son amant Pierre.
Chez mon père nous étions 32 fillettes (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Chez mon père nous étions 32 fillettes" qui raconte le meurtre du Roi d'Angleterre par une fille après que celui-ci ne l'ai pas salué. Il ne le fait pas car elle n'est point fillette, celle-ci lui répond que ce n'est pas son affaire et lui propose d'aller se battre.
Le berger qui me fait la cour c’est le plus beau garçon du village (enq.) Providence Bouteau interprète un chant de table "Le berger qui me fait la cour" qui raconte une histoire d'amour entre deux personnes alors qu'elles vont garder les brebis aux champs. L'une d'elle dit qu'il faut que leur relation reste cachée car sinon son père l'enfermera dans une cage.
Rossignolet sauvage, rossignolet charmant (inc.) (fragment) Providence Bouteau interprète un chant de table " Rossignolet sauvage, rossignolet charmant " qui raconte l'infidèlité d'un homme qui délaisse sa belle. Celle-ci marche jusqu'en Egypte durant 36 jours travesti en guerrier pour le trouver et lui rappeler les promesses qu'il lui avait faites. L'informatrice ne chante qu'une partie de la chanson (voir item UPOI_ATP_0004_0004_018).
Rossignolet sauvage, rossignolet charmant (inc.) Providence Bouteau interprète un chant de table " Rossignolet sauvage, rossignolet charmant " qui raconte l'infidélité d'un homme qui délaisse sa belle. Celle-ci marche jusqu'en Egypte durant 36 jours pour le trouver et lui rappeler les promesses qu'il lui avait faites.
Dimanche j'étais à l'assemblée (inc.) Providence Bouteau interprète un chant de table " Dimanche j'étais à l'assemblée " qui raconte le déroulement d'une semaine de mariage ratée, à partir du dimanche à l'assemblée où deux personnes se rencontrent jusqu'au samedi suivant où a lieu leur divorce.
Sur Saint François m'suis embarqué (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Sur Saint François m'suis embarqué " qui raconte la noyade d'un matelot lors d'une manœuvre de voile sur un bateau. On ne retrouve que son chapeau, son portefaix et son manteau.
Ce sont trois galions d'Espagne (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse " Ce sont trois galions d'Espagne " dans laquelle des matelots affamés tirent à la courte-paille pour savoir qui servira de repas aux autres.
Là-haut, là-haut sont les souris (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse " Là-haut, là-haut sont les souris " dans laquelle un chat trompe une souris pour pouvoir la manger. Providence Bouteau a appris cette chanson de son beau-frère.
A Paris y a-t-une dame (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse " A Paris y a-t-une dame " dans laquelle une dame se regarde dans son miroir en demandant à sa servante de lui dire si elle est belle. Le mari se moque d'elle en lui rappelant que c'est grâce à lui qu'elle a de belles robes.
Mon père il m'a mariée trop tôt à mon malheur (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de malmariée " Mon père il m'a mariée trop tôt à mon malheur " qui parle d'une fille malmariée à un vieillard. Celle-ci cherche à se venger de lui en mettant des roches dans son lit pour qu'il se casse l'échine. Providence Bouteau interprète la même chanson en français et en patois (cf. item UPOI_ATP_0004_0004_025).
Mon père il m'a mariaï trop tout à mon malhur (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de malmariée " Mon père il m'a mariée trop tôt à mon malheur " qui parle d'une fille malmariée à un vieillard. Celle-ci cherche à se venger de lui en mettant des roches dans son lit pour qu'il se casse l'échine. Providence Bouteau interprète la même chanson en français et en patois (cf. item UPOI_ATP_0004_0004_024). Elle a apprise cette chanson du défunt Emile qui aurait 82 ans en 1956.
Mon père m'y marie à l'âge de 15 ans (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse " Mon père mon marie à l'âge de 15 ans " qui raconte un mariage entre une fille et un drôle de mari qui ne la touche pas la nuit des noces. La fille s'échappe pour demander à son père un mari plus jeune. Providence Bouteau a appris cette chanson auprès de Désirée Boucard de la Fosse.
Mardi-gras, ne t'en vas pas (inc.) Providence Bouteau dit puis chante une chanson de danse chantée lors de Mardi-Gras.
Le long de la grand rue j'ai rencontré ma belle (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de table " Le long de la grand rue " dans laquelle une fille repousse son amant après l'avoir entendu salir son honneur auprès d'autres jeunes gens en ville.
Mon père mariez-moi donc (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Mon père mariez-moi donc" dans laquelle une fille s’impatiente de se marier. Comme ses parents lui disent d’attendre encore elle part faire un voyage, autrement dit elle fugue. Providence Bouteau a appris cette chansons de sa défunte mère.
C'était un petit bonhomme (inc.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "C'était un petit bonhomme" qui raconte un adultère. Un homme part couper du bois en laissant sa femme à la maison. Quand il revient il la trouve au lit avec le curé. Providence Bouteau l'a apprise d'un maraîchin venu pour une noce il y a 60 ans environ.
Quand le château d'amour fût pris (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse "Quand le château d'amour fût pris" dans laquelle des gendarmes veulent emmener les filles du château qu’ils ont pris. La mère des filles préférerait un gendre paysan plutôt que gendarme.
C'est entre vous gens d'armes (enq.) Providence Bouteau interprète "C'est entre vous gens d'armes" dans laquelle une personne demande aux gens d’armes qui partent à la guerre de saluer son amant.
C'était une frégate (enq.) Providence Bouteau interprète un chant à la marche et de danse « C'était une frégate » qui raconte le naufrage de la Dénoé et de ses 500 hommes d’équipage.
Sur le bord de l'eau, de la rivière (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de danse à énumération "Sur le bord de l'eau, de la rivière" où il est question de lavandières.
Chantons l'honneur et la vaillance d'un soldat des îles revenu (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson "Chantons l'honneur et la vaillance d'un soldat des îles revenu" qui raconte le retour d’un soldat dans son village où sa mère ne le reconnaît pas. La chanson se termine avec un refrain aux notes patriotiques évoquant la croix d’honneur que les jeunes gens ramène au village en allant servir l’honneur.
Je voudrais maman vous dire quelque chose (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson "Je voudrais maman vous dire quelque chose" dans laquelle une fille essaie de dire à sa mère qu’elle voudrait un amant. La mère ne comprends pas ce qu’il pourrait bien lui manquer vu qu’elle a habits, rubans, beau lit... Providence Bouteau chante sur un air de psaume.
Mettons-y quelque chose sur l'île de Noirmoutier (enq.) Providence Bouteau interprète une chanson de table "Mettons-y quelque chose sur l'île de Noirmoutier" qui évoque « l’allée des soupirs » sur l’île de Noirmoutier où se retrouvent les amants le soir en cachette. Cette chanson paraît moderne.
C'est une veuve intéressante (enq.) Philomène Commard interprète une romance "C'est une veuve intéressante" dans laquelle un amant tente de convaincre une veuve de se marier avec lui. Philomène Commard tient ce chant du cahier de ses sœurs.
J'm'ai fait une maîtresse par amitié (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "J'm'ai fait une maîtresse par amitié" qui raconte l’histoire des métamorphoses, la fille se transforme pour échapper au gars qui se transforme alors à son tour pour la poursuivre.
Je suis la délaissée (enq.) Philomène Commard interprète un chant de table "Je suis la délaissée" qui raconte un adultère, un meurtre et un suicide. Une fille trompée par son amant le tue de fureur et se tue ensuite. Philomène Commard chante une partie de la chanson puis cherche ses paroles, quelqu'un lui lit les paroles de son cahier pour qu'elle puisse continuer de chanter.
Par un matin m'y lève, plus matin que le jour (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Par un matin m'y lève, plus matin que le jour" dans laquelle une fille rencontre son amant en allant cueillir des choux. La mère de la fille les voie et vient leur donner des coups avec son bâton.
L'autre jour dans la plaine (enq.) Philomène Commard interprète un chant de table "L'autre jour dans la plaine" dans lequel un chasseur rencontre une fille en colère contre son garde moulin. Comme il propose de l’aider, elle cherche à savoir son nom et finit par se rendre compte qu’il est son amant du temps passé. Philomène Commard tient cette chanson des galants de ses sœurs, elle l'a apprise quand elle avait 6 ans.
Je suis délaissée dans amant (enq.) Philomène Commard interprète un chant de table "Je suis délaissée sans amant, fillette depuis peu de temps" dans lequel une fille part au couvent comme son amant ne revient pas du régiment. Quand celui-ci revient il part la chercher au couvent, il se fait passer pour mort pour réussir à l’enlever. Philomène Commard à appris cette chanson de son beau-frère qui aurait 80 en 1956.
Mon père avait un coq qui se nommait Martin (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Mon père avait un coq qui se nommait Martin" dans laquelle un coq se nommant Martin se fait tuer par un homme. On donne le coq a manger aux voisins et au curé qui se mange la main tellement il trouve ça bon. Philomène Commard fait des arrêts pour chercher ses paroles. Ce serait une chanson de danse "en carré".
La ferme des lilas (enq.) Philomène Commard interprète un chant de table, une romance "La ferme des lilas" qui évoque une blanche métairie nommée la ferme des lilas qui héberge les soldats allant à la guerre. Philomène Commard a appris cette chanson avec les couturières du pays. C'était sa chanson, elle plaisait aux noces.
Au derrière de chez mon père (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Au derrière de chez mon père" dans laquelle trois filles se reposent sous un pommier doux en discutant de l’ami doux de l’une d’elle. Philomène Commard a appris cette chanson en allant au bal. Elle fait un arrêt au milieu de la chanson puis reprend.
C'était un petit bonhomme qui se nommait Charles Tou (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "C'était un petit bonhomme qui se nommait Charles Tou" dans laquelle un bonhomme cherche à vendre sa femme pour 5 sous au marché. Se chante sur le même air que la chanson précédente (cf. item UPOI_ATP_0004_0005_009).
C'était un petit pèlerin, à la guerre s'en est allé (enq.) Philomène Commard interprète un chant de table "C'était un petit pèlerin" qui raconte le meurtre d’un pèlerin par sa mère. Elle ne le reconnaît pas et veut voler son argent alors qu’il fait halte dans son auberge pour la nuit. L'informatrice tient cette chanson des galants de ses sœurs.
Les filles voici le mois de mai, que nos amants vont arriver (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Les filles voici le mois de Mai, que nos amants vont arriver" dans laquelle il est question de jalousie entre un amant et sa maîtresse. L’amant s’inquiète à son retour que sa belle en aime un autre alors que celle-ci lui a promis de l’attendre et de l’aimer.
Connaissez-vous Messieurs, Mesdames, le sot qui m'a demandée (enq.) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Connaissez-vous Messieurs, Mesdames, le sot qui m'a demandée" dans laquelle une personne se moque du sot qui l’a demandée en mariage sans savoir sa volonté. Philomène Commard précise que c'est un chant de danse pour aller vite "quand on avait pas le temps, c'était tout de suite fait".
Marguerite sur le bord de l'eau en cherchant des coquilles (enq.) (fragment) Philomène Commard interprète une chanson de danse "Marguerite sur le bord de l'eau" où il est question de Marguerite qui ramasse tant de coquilles qu’elle s’endort au bord de l’eau. A son réveil elle aperçoit un navire et espère que son amant sera dedans. Philomène Commard ne chante pas la chanson en entier, elle s'arrête car elle ne sait plus les paroles.
La mariée s'en va devant, son père qui la mène (enq.) Julien Boutet interprète à l'accordéon "La mariée s'en va devant, son père qui la mène" lors du cortège de la noce Gendron-Bouchereau. Les enquêtrices précisent que le cortège part de la maison de la mariée pour aller à la mairie.
Paysage sonore au moment de la sortie de la messe. (doc.) On entend les cloches de l'église qui sonnent, des coups de fusil et le début de la chanson "Sur les bords de la Loire".
Air de cortège à l'accordéon. (doc.) Julien Boutet interprète un air de cortège à l'accordéon. On entend aussi des gens qui marchent et parlent (paroles non compréhensibles)
Paysage sonore à la sortie de l'église (doc.) On entend les cloches de l'église qui sonnent, des bruits de pas, des chants d'oiseaux et des coups de fusils.
Paysage sonore à la sortie de l'église (doc.) On entend des coups de fusils et au loin un cortège chantant accompagné par l'accordéon "Auprès de ma blonde". On entends aussi des chants d'oiseaux.
Air de cortège de noces "La petite alouette grise" (doc.) Julien Boutet interprète à l'accordéon un air de cortège "La petite alouette grise". Plusieurs personnes du cortège chantent la chanson en même temps que l'accordéoniste.
L'autre jour j'étais dondaine (inc.) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète "L'autre jour j'étais dondaine" devant le café Boutet repris par l'assemblée de la noce. On entend les bruits de pas de danse, il est probable qu'il mène la chanson tout en dansant. Dans la chanson il est question de quelqu'un qui va chez le cordonnier pour raccomoder ses souliers, usés en dansant aux noces.
La violette est double (inc.) Julien Boutet à l'accordéon et au chant ainsi que Joseph-Gabriel Boucard et André Raimondeau à la voix interprètent "La violette est double" devant le café Boutet lors de la noce Gendron-Bouchereau.
Début du repas de midi lors de la noce Gendron-Bouchereau (doc.) On entends des personnes qui discutent, un accordéon avec quelqu'un qui chante au loin. Un enfant pleure, on entend des coups de fusil puis quelqu'un mène un chant à l'accordéon et à la voix, que tout le monde reprend en cœur. On reconnaît la voix de Joséphine Fradet qui répond. L’accordéoniste est probablement Julien Boutet qui joue de l’accordéon à plusieurs reprises lors des noces mais rien de permet d’être sûr de cette information.
Récit-monologue (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) dit un monologue humoristique lors du repas de noce. L'histoire se déroule dans l'hôtel d'un autre pays dans lequel un voyageur s'apprête à passer la nuit. Il pensait être tranquille pour dormir car ses voisins sont deux vieilles personnes mais ils font finalement beaucoup de bruits suspects. Le voyageur écoute avec surprise ce qu'ils se disent à travers le mur et finit par les espionner pour découvrir qu'ils ne faisaient pas du tout ce qu'il imaginait.
Ban de fin de chanson (enq.) On entend un ban de fin de chanson. Les gens de la noce chantent et frappent des mains avec beaucoup d'enthousiasme.
Oh, vous qui ce soir m'avez donné rendez-vous (inc.) (fragment) Un homme chante un couplet d'une romance "Oh, vous qui ce soir m'avez donné rendez-vous".
Oh ma fille ma fille chérie (enq.) La fille de Fine interprète la chanson "La Bénédiction du père" qui raconte le départ de chez son père d'une fille pour son mariage. C'est une sorte de leçon pour la nouvelle mariée. Les enquêtrices précisent que la chanson est de circonstance rituelle, tout le monde l'écoute sérieusement, surtout la génération des parents. Les parents pleurent, la mère du marié aussi. La chanson est suivi d'un ban de fin.
La Marie-Jeanne de Quimper (enq.) Julien Boutet interprète un chant de table "La Marie-Jeanne de Quimper" qui raconte le départ d'un navire et les adieux d'un marin à son amante.
La destinée la rose au bois (enq.) Michèle Bouchereau interprète un chant de table "La destinée la rose au bois" dans lequel un tailleur fait une robe de soie à l'école du Roi suivie d'une leçon aux femmes concernant la propreté de leur maison.
Adieu Marie, je quitte le rivage (enq.) La mère de la mariée interprète un chant de table "Adieu Marie, je quitte le rivage" qui raconte le départ d'un navire et les adieux d'un marin avec son amante.
Je chante en liberté la source et son eau claire (enq.) Léon Soupeau, le beau-frère du marié, interprète un chant populaire "Le forçat de la misère" dans lequel le narrateur chante pour les soldats tombés au combat, pour les gens dans la misère et pour les enfants endeuillés par la guerre. Il maudit les puissants qui dorment sur l'argent et n'aiment personne. Il manque les 2 premiers vers ainsi que le dernier couplet et le dernier refrain de la chanson. La chanson a été composé au début du XX ème siècle (1915-1918 environ) par Vincent Scotto et Ernest Gustin.
La bique (enq.) Joseph Boucard interpètre un chant à répondre "La bique" repris par les invités dans lequel une chèvre s’échappe et mange un chou chez quelqu’un. Elle finit au parlement pour être jugée mais se moque de juge et du président.
Offre du bouquet et chanson de la mariée (enq.) Julia Rivollin, la marraine de la mariée interprète "Ah mon ami voici le jour aimable" qui est une leçon aux époux leur disant qu'ils se doivent un amour éternel et ne doivent pas pratiquer l'adultère. C'est la chanson qui permet d'offrir le bouquet d'oranger pendant le repas de noces, bouquet qui symbolise le lien de fidélité entre les deux mariés et signifie qu'ils perdent leurs libertés. La marraine monte sur l'estrade près du gâteau qui est devant la mariée pour lui offrir le bouquet. Cela faisait plus de 2 ans et demi que cela n'avait pas été fait.
Dans un moulin de la blonde Lorraine (enq.) Le vieux Père Boucard interprète une romance de 1870 "Dans un moulin de Lorraine" qui raconte le mariage de Madeleine la fille du meunier et Marcel coupé par une fusillade d'un bataillon français. Le meunier est tué par une balle perdue, Marcel cherche à le venger et tue tout les ennemis qu'il peut. Le refrain est chanté avec tout les invités.
Corbleu Marion (enq.) Joseph Boucard et André Raimondeau (dit Dadaï) interprètent en alternance la chanson "Les répliques de Marion" qui raconte une discussion / dispute ente un homme et une femme, l'homme accuse la femme de le tromper et elle essaye de s'en défendre.
Chanson humoristique (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète une chanson humoristique sur le voyage d'un train.
D'où revenez-vous Monsieur le curé (enq.) Joseph Boucard interprète une chanson "D'où revenez-vous Monsieur le curé" reprise par les invités dans laquelle un curé revient du marché avec des souliers blancs à donner à Simone.
Le marchand de velours (enq.) (fragment) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète la première partie de la chanson "Le marchand de velours" dans laquelle une fille est malmariée à un marchand de velours qui ne la touche pas la nuit des noces. Voir item UPOI_ATP_0004_0007_017 pour la deuxième partie de la chanson.
Le marchand de velours (enq.) (fragment) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète la deuxième partie de la chanson "Le marchand de velours" dans laquelle une fille est malmariée à un marchand de velours qui ne la touche pas la nuit des noces. Voir item UPOI_ATP_0004_0007_016 pour la première partie de la chanson.
Chanson de Napoléon (enq.) Joseph Boucard interprète une chanson "Oh que les rois sont orgueilleux". La chanson évoque et critique Napoléon (surnommé la redingote grise).
L'eau et le vin (enq.) Joséphine Fradet interprète "L'eau et le vin" qui est un dialogue entre le vin et l’eau qui se disputent pour savoir qui est supérieur à l’autre. Joséphine Fradet a appris cette chanson quand elle avait 14 ans environ.
C'est la belle Françoise de Saint Martin de Ré (enq.) Joséphine Fradet interprète "C'est la belle Françoise de Saint Martin de Ré" qui raconte la noyade d’un amant essayant de sauver les chevaux du père de sa belle tombés dans la mer.
Dans la ville de Lyon (enq.) Joséphine Fradet interprète la chanson "Dans la ville de Lyon" dans laquelle le Roi essaie de faire venir une jolie fille chez lui en lui offrant à boire mais celle-ci refuse.
C'était la mère et la fille (enq.) Joseph Boucard interprète une chanson de danse "L'anguille dans la gerbe de blé" dans laquelle une mère et sa fille trouvent une anguille en glanant dans les champs. Elles se disputent l’anguille finissent chez le juge pour se départager.
Mon père m'a mariée avec un tailleur de vigne (enq.) Joséphine Fradet interprète une chanson de danse "Mon père m'a mariée avec un tailleur de vigne" qui raconte une histoire de malmariée. Joséphine Fradet chante les deux premiers couplets de la chanson seulement car elle ne se rappelle pas du reste.
La vie d’un garçon grand Dieu qu’elle est belle (enq.) Joséphine Fradet interprète un chant de table "La vie d'un garçon grand dieu qu'elle est belle" qui critique les garçons qui boivent et qui vont voir leurs belles quand ils n'ont plus de sous pour boire. L'assemblée reprend la chanson.
Allons à la fontaine (enq.) Joseph Boucard interprète une chanson de danse "Allons à la fontaine" qui raconte une rencontre à la fontaine entre une belle et un jeune cavalier bien monté. Le cavalier l’embrasse et la belle s’inquiète de ce que dira sa mère de son retard.
Jeunes fillettes (enq.) Joséphine Fradet interprète un chant de table "Jeunes fillettes" qui est un dialogue entre une fille et un monsieur qui se disputent en se critiquant l’un-l’autre pour finir par trinquer ensemble.
Quand le marin revient de guerre (enq.) Joséphine Fradet interprète un chant de table "Quand le marin revient de guerre" qui raconte le retour d’un marin de la guerre. Il va à l’auberge boire du vin blanc et l’hôtesse ne reconnaît pas qu’il est son mari. Il lui reproche de l’avoir trompé pendant son absence.
Mon père m'envoie-au bois pour cueillir la noisette (enq.) (fragment) Joséphine Fradet interprète le premier couplet d’un chant de table "Mon curé va au bois pour cueillir la noisette" dans lequel un curé va au bois pour cueillir la noisette avec une jolie fille pour se divertir. Joséphine Fradet chante seulement un seul couplet car elle est déconcentrée par un klaxon qu’on entend dehors.
Mon père m'a mariée avec un vieux bonhomme (enq.) Joséphine Fradet interprète un chant de table "Mon père n'avait que moi de fille" qui raconte une histoire de malmariée. Une fille est mariée avec un vieux bonhomme qui ne la touche pas. Elle s’enfuit et rencontre son amant du temps passé à qui elle propose son cœur à vendre. L'assemblée reprend la chanson.
La petite alouette grise (enq.) (fragment) Joséphine Fradet interprète la première partie d'un chant de table "Ah si j'étais petite alouette grise" avec l'assemblée qui reprend, dans lequel quelqu’un s’imagine être une petite alouette grise pour pouvoir aller sur les mâts de navires écouter ce que disent les mariniers. Voir item UPOI_ATP_0004_0008_013 pour la deuxième partie de la chanson.
La petite alouette grise (enq.) Joséphine Fradet interprète la deuxième partie d'un chant de table "Ah si j'étais petite alouette grise" avec l'assemblée qui reprend, dans lequel quelqu’un s’imagine être une petite alouette grise pour pouvoir aller sur les mâts de navires écouter ce que disent les mariniers. Voir item UPOI_ATP_0004_0008_012 pour la première partie de la chanson.
L'autre jour je me promène (enq.) Joséphine Fradet interprète un chant de table "L'autre jour je me promène" avec l'assemblée qui reprend dans lequel un garçon cherche à convaincre une brunette qu’il est honnête et qu’il ferait tout pour être amoureux d’elle. Celle-ci ne le croit pas et le soupçonne d’avoir femme et enfants à Marseille.
Mon père m'a donné un mari (enq.) Joséphine Fradet interprète une chanson de danse "Mon père m'a donné un mari" avec l'assemblée qui reprend dans laquelle une fille fait fuir son mari la première nuit des noces en le piquant avec une épingle.
Chez mon père nous étions trois filles (inc.) Joséphine Fradet interprète une chanson de danse "Chez mon père nous étions trois filles" avec l'assemblée qui repète, qui raconte une volonté d'échange de mies entre trois tailleurs de vigne mariés à trois filles dont une est plus gentille que les autres. Mais le tailleur marié à la plus gentille ne veut pas échanger.
C'était un petite moine blanc (inc.) André Raimondeau interprète "Le petit moine blanc" avec les invités qui reprennent. Il est question d'un moine qui couche avec un gigolette dans un couvent. La belle se lave avec de l'encre et fait peur aux moines qui la prennent pour le diable.
Derrière chez mon père il y a un moulin (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète la chanson "Derrière chez mon père il y a un moulin" avec les invités qui reprennent. Il est question d'un moulin où les filles vont moudre leur grain. Un des filles s'endort et se fait violer par le meunier.
Les serments des époux (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) déclame un monologue "Les serments des époux" monté sur l'estrade en face de la mariée. Le monologue est destiné au marié pour qu'il soit fidèle à sa femme et sache comment s'en occuper pour avoir son amour en récompense.
C'est aujourd'hui ma femme (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète "C'est aujourd'hui ma femme" avec les invités qui chantent le refrain en chœur. Il est question d'une dispute entre un homme et une femme qui se reprochent de boire, de dépenser trop d'argent, de se battre l'un-l'autre.
Chanteras-tu jolie bergère mon aimable Jeanneton (inc.) Joseph Boucard interprète "Chanteras-tu jolie bergère mon aimable Jeanneton" avec les invités qui reprennent. Il est question d'une bergère qui chante car elle a le cœur joyeux et est amoureuse. La chanson est suivie du début de l'item suivant UPOI_ATP_0004_0009_006 mais la qualité de son est mauvaise, avec beaucoup de bruits parasites et de rires.
Que faut-il à la mariée (enq.) Joseph Boucard, M. Gendron et trois garçons d'honneur interprètent "la psalmodie à la mariée". C'est une chanson humoristique dans laquelle on demande ce qu'il faut à la mariée pour s'habiller (un chapeau, une belle robe, une combinaison etc). Les enquêtrice précisent que les chanteurs sont déguisés en prêtres et diacres.
La perdriole (enq.) Marie Bouchereau (la mère de la mariée) interprète "La perdriole" avec les invités qui reprennent.
La chanson de la mariée (enq.) Les 3 garçons d'honneur interprètent "Sur le pont d'Avignon j'entends chanter la belle" avec les invités qui reprennent. L'histoire parle d'une belle chantant une chanson nouvelle disant qu'elle a perdu ses amours. On suit ensuite trois petits pigeons dans leurs volées. Dans cette chanson on demande à la mariée qu'elle ouvre la porte.
Quand le curé chantes mâtines (enq.) Joseph Boucard interprète une chanson énumérative psalmodiée "Quand le curé chante mâtines" qui énumère les parties du corps d'une servante sur lesquelles le curé met sa main. La chanson se termine par un ban chanté par l'assemblée : "Le chanteur a bien chanté, ses voisines doivent l'embrasser".
Ce sont les dames de Paris (enq.) Joséphine Fradet interprète "Ce sont les dames de Paris" avec les invités qui reprennent. Il est question de dames qui lavent leur logis du lit jusqu'au jardin, dans lequel tout les oiseaux viennent faire leur nid.
L'autre jour j'étais aux noces (enq.) Alphonse Raimondeau, ou Joseph Ricolleau, interprète la chanson "L'autre jour i étais aux noces" repris par l'assemblée. La chanson raconte une noce qui est si pauvre que chacun rapporte quelque chose à manger. Une personne veut gouter le bouilli de la noce et se brûle avec.
L'autre jour j"étais aux noces (enq.) Alphonse Raimondeau, ou Joseph Ricolleau, interprète la chanson "L'autre jour j'étais aux noces" repris par l'assemblée. La chanson raconte une noce où une fille choisi deux amoureux, un de soixante ans et l'autre de 22 ans. Elle demande conseil à ses parents pour savoir lequel choisir. L'enregistrement commence avec une femme qui chante le premier couplet de la chanson puis Alphonse Raimondeau prend la suite pour mener la chanson en entier (à 1min 22).
Il y a 10 ans que j'entends le son (enq.) Anna Couillon interprète un chant à la dizaine "Il y a 10 ans que j'entends le son" repris par l'assemblée dans laquelle une personne entend le son du tambour, du violon et ne l'entend plus à partir du moment où elle est mariée.
Entre les bois et la forêt (enq.) (fragment) Anna Couillon interprète le début d'un chant de table "Entre les bois et la forêt" qui raconte l'histoire du fils du Roi qui en entendant une belle chanter veut aller la voir. Ce n'est finalement pas elle qui chante mais son petit frère. Anna Couillon ne finit pas la chanson, voir item UPOI_ATP_0004_0010_008 pour la chanson en entier.
Entre les bois et la forêt (enq.) (fragment) Anna Couillon interprète une partie d'un chant de table "Entre les bois et la forêt" qui raconte l'histoire du fils du Roi qui en entendant une belle chanter veut aller la voir. Ce n'est finalement pas elle qui chante mais son petit frère. Il manque les derniers couplets de la chanson, voir item UPOI_ATP_0004_0010_008 pour la chanson en entier.
Entre les bois et la forêt (enq.) Anna Couillon interprète une partie d'un chant de table "Entre les bois et la forêt" qui raconte l'histoire du fils du Roi qui en entendant une belle chanter veut aller la voir. Ce n'est finalement pas elle qui chante mais son petit frère. Il manque le dernier couplet de la chanson, voir item UPOI_ATP_0004_0010_008 pour la chanson en entier.
Voici le mois de mai (enq.) Anna Couillon interprète la chanson "Voici le mois de mai" dans laquelle le fils du Roi va ramasser des fleurs dans les champs pour les offrir à sa maîtresse. Il lui offre ses gants qu'elle doit porter à Pâques, à la Toussaint, à Noël et à la Saint-Jean.
Entre les bois et la forêt (enq.) Anna Couillon interprète un chant de table "Entre les bois et la forêt" qui raconte l'histoire du fils du Roi qui en entendant une belle chanter veut aller la voir. Ce n'est finalement pas elle qui chante mais son petit frère.
Derrière les faubourgs de Nantes (enq.) Anna Couillon interprète un chant de table "Derrière les faubourgs de Nantes" dans lequel il est question d'une maison à Nantes où il y a trois filles qui portent un beau nom. La troisième, Fleur de Rose, a des cheveux longs que son frère lui tresse en disant que les soldats l'emmèneront.
Dans les jardins de mon père (enq.) Anna Couillon interprète un chant de table "Dans les jardins de mon père" où il est question d'un jardin où tous les oiseaux du monde chantent jour et nuit pour les filles qui n'ont pas de maris.
La Passion (enq.) Joseph Ricolleau interprète "La Passion" qui raconte un épisode biblique : la crucifixion de Jésus-Christ. Joseph Ricolleau chantait cette chanson avec sa grand-mère à la maison.
La ville de Montour (enq.) Joseph Ricolleau interprète un chant à marcher "La ville de Montour" qui raconte le bombardement de la ville de Montour par Bonaparte après que les dames de la ville aient refusé de le faire rentrer. Joseph Ricolleau a appris cette chanson très peu connue avec sa grand-mère de l'Epine.
Sortant du pays flamand (enq.) Joseph Ricolleau interprète "Sortant du pays flamand" qui raconte l'histoire d'un voyageur qui n'a rien pour payer son repas et sa nuit dans une auberge. Il trouve une combine pour tromper l'hôtesse, faisant croire qu'on lui a volé son argent. Joseph Ricolleau a appris cette chanson de sa grand-mère.
Corbleu Marion (enq.) Joseph Ricolleau interprète "Les répliques de Marion" qui raconte une discussion ; dispute ente un homme et une femme, l'homme accuse la femme de le tromper et elle essaye de s'en défendre.
C'était pour un lundi matin (enq.) Joseph Ricolleau interprète "C'était pour un lundi matin" qui raconte le départ de la mariée de chez son père pour aller à la messe. Son amant lui dit qu'il est désormais son maître. Les enquêtrices précisent que c'est la chanson de cortège de la mariée, de la maison de la mariée à l'église.
Il est tard (enq.) Joseph Ricolleau interprète un couplet d'un chant de départ du repas le soir des noces "Il est tard chaque porte est close".
Papa venez chez nous vous verrez mon petit ménage (enq.) Clotilde Plouhinec interprète une sauteuse « Papa venez chez nous vous verrez mon petit ménage ».
Chanson d’enfants (enq.) Clotilde Plouhinec interprète une chanson enfantine "Le plus beau nom qu'elle me donnait" en poitevin-saintongeais. La chanson évoque une malmariée avec un ivrogne mal bâti.
Bonjour, bonsoir la belle, comment vous portez-vous (enq.) Jean-Louis Pontoiseau interprète un chant de table « Bonjour, bonsoir la belle, comment vous portez-vous » dans lequel un fille repousse un amant car elle est promise à un autre. Le galant se plaint d'avoir dépensé tout son argent pour avoir ses amitiés. Jean-Louis Pontoiseau cherche ses paroles et recommence la chanson.
Dans le château du roi (enq.) Malvina Raballand interprète un chant de table « Dans le château du roi » repris par l'assemblée. Il est question d'une flamande qui a plusieurs amoureux et ne sait lequel choisir. Elle choisi le cordonnier qui lui propose qu'ils dorment ensemble. Malvina Raballand a appris cette chanson avec sa grand-mère.
C'est Monsieur châtelain (enq.) Malvina Raballand interprète «C'est Monsieur châtelain» repris par l'assemblée. Il est question d'un châtelain qui fait armer des vaisseaux pour aller sur des îles. Malvina Raballand a appris cette chanson avec sa grand-mère.
Le Christ était cloué sur sa croix d'infamie (inc.) Joseph Ricolleau interprète "Le Christ était cloué sur sa croix d'infamie" racontant un épisode biblique dans lequel le Christ cloué sur sa croix parle à ses bourreaux. Il leur dit qu'il a été bon pour eux mais qu'il ne reçoit pourtant que leur haine en échange. On entends le premier couplet de l'enregistrement suivant (cf. item UPOI_ATP_0004_0011_013).
Lorsque j'étais chez mon père, les moutons m'envoie garder (enq.) Malvina Raballand interprète la chanson "Lorsque j'étais chez mon père, les moutons m'envoie garder" dans laquelle une jeune fille oublie son déjeuner et refuse de le manger quand on lui apporte car elle se trouve incomprise. Elle dit que personne ne sait sa volonté hormis son amant Pierre. Pour entendre le premier couplet voir la fin de l'item précédent UPOI_ATP_0004_0011_012.
C'était une jeune fille de 15 ans et quelques jours en avantage (inc.) Malvina Raballand interprète la chanson "C'était une jeune fille de 15 ans et quelques jours en avantage" dans laquelle un père enferme sa fille dans une tour pour ne pas qu'on lui fasse l'amour. Malvina Raballand a appris cette chanson avec sa grand-mère.
Permettez qu'en ce jour (inc.) (fragment) Malvina Raballand interprète un chant de noce "Permettez qu'en ce jour" qui est une leçon aux époux. Cette chanson a été publiée en 1850. Malvina Rabbaland n'en chante qu'une partie voir item UPOI_ATP_0004_0011_016 pour la deuxième partie.
Permettez qu'en ce jour (inc.) (fragment) Malvina Raballand interprète un chant de noce "Permettez qu'en ce jour" qui est une leçon aux époux. Malvina Raballand ne chante qu'une partie de la chanson, voir item UPOI_ATP_0004_0011_015 pour la première partie.
Quand le jour a arrivaï de partir pour la guerre (inc.) Malvina Raballand interprète "Quand le jour a arrivaï de partir pour la guerre" dans laquelle un gars ne veut pas laisser sa mère pour partir à la guerre. On le place d'abord comme sentinelle dans une citadelle. Arrivé sur le champ de bataille il prend peur et s'enfuit pour retourner chez sa mère.
J'ai plus que 10 poules et un coq (enq.) Malvina Raballand interprète une chanson énumérative de danse "J'ai plus que 10 poules et un coq".
A Pierrot faut un beau chapeau (enq.) Malvina Raballand interprète un chant de danse "A Pierrot faut un beau chapeau" qui énumère les vêtements qu'il faut à Pierrot.
Monsieur le curé n'a pas de chapeau (enq.) Malvina Raballand interprète un chant de danse "Monsieur le curé n'a pas de chapeau" qui énumère les vêtements que le curé n'a pas mais qu'il pourrait avoir s'il ne buvait pas.
Vêpres en patois (enq.) Jean-Louis Pontoiseau interprète des "Vêpres en patois" dans laquelle quelqu'un énumère ce qu'il donnera à sa femme le jour de ses noces (habit, ceinture…). La personne donne à chaque fois des parties du corps de sa belle vache noire et demande son avis à sa belle-mère son sur choix.
Mon père m'envoie à la chasse (enq.) Marie Bonin interprète un chant à la marche "Mon père m'envoie à la chasse" dans lequel quelqu'un est envoyé par son père à la chasse aux pigeons sans avoir de quoi chasser, à la foire acheter des cochons sans avoir de quoi acheter et à la pêche aux poissons sans avoir de quoi pêcher.
Pourquoi rêver ma jeune fille (enq.) Marie Bonin interprète une romance "Pourquoi rêver ma jeune fille" dans laquelle une fille pleure d'être séparée de son amant parce qu'elle est pauvre et lui riche. Marie Bonin tient cette chanson de son père.
Il est tard (enq.) Gabriel Boucard interprète un chant de noce "Il est tard chaque porte est close" qui invite au départ d'un lieu alors qu'il n'y a plus de lumière et que les portes sont fermées. Cette chanson était chantée au moment du départ des noces, après le repas du soir.
L'île de Noirmoutier (enq.) Gabriel Boucard interprète un chant de table "l'île de Noirmoutier" qui fait l'éloge de la beauté de l'île de Noirmoutier.
La Passion (enq.) Joseph Boucard interprète le premier et le dernier couplet de "La Passion" qui invite les chétiens à se réveiller pour écouter la Passion et ensuite a retourner se coucher pour que les chanteurs aillent ailleurs. Joseph Boucard n'est pas sûr de l'air. Il s'y reprend à deux fois pour démarrer la chanson. Les enquêtrices précisent qu'ici on dit que "c'est la Passion bretonne", qu'on la trouvait belle.
Avril vient de naître (enq.) (fragment) Joseph Boucard interprète la chanson "Avril vient de naître" dans laquelle un galant et sa maîtresse vont se promener dans les bois sous le soleil. Il veut lui offrir le premier bouquet de lila.
La confession et le pénitent (enq.) (fragment) Joseph Boucard interprète les deux premiers couplets d'une chanson de 32 couplets "La confession et le pénitent" où il est question d'une lettre et d'une confession.
Le canard blanc (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) mène "Mon père a fait faire un étang" au chant et à l'accordéon avec Gabriel Boucard et M. Gendron qui reprennent. Le chant raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Le chaudronnier (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) mène un chant de danse "Le chaudronnier" avec Gabriel Boucard et M. Gendron qui reprennent dans lequel un chaudronnier parcourt les villages pour travailler. Il est ensuite question d'un adultère, entre la femme du boulanger et le chaudronnier.
Mon père m'a mariaï avec un marchand de velours (inc.) André Raimondeau (dit Dadaï) mène un chant à la marche "Mon père m'a mariaï avec un marchand de velours" avec Gabriel Boucard et M. Gendron qui reprennent. Le chant raconte l'histoire d'une fille malmariée avec un marchand de velours.
Air à l'accordéon "C'était une jeune mariée" André Raimondeau (dit Dadaï) interprète à l'accordéon "C'était une jeune mariée"
Pierrot et pis Fanchette (enq.) André Raimondeau (dit Dadaï) interprète un chant de danse "Pierrot et Fanchette" dans lequel un gars et une fille vont aux noces à cheval sur un porc et un chaï. Le gars veut faire une bise à la fille qui veut qu'il mouche son nez d'abord.
Auprès de ma blonde (enq.) Auguste Amérand interprète une marche de noces de la maison à l’église à l'accordéon "Auprès de ma blonde".
En passant par Paris vidant ma bouteille (enq.) (fragment) Premier essai d’Auguste Amérand pour interpréter l’air "En passant par Paris vidant ma bouteille" à l'accordéon. Auguste Amérand s'y reprend à 2 fois pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_003 pour la deuxième fois).
En passant par Paris vidant ma bouteille (enq.) (fragment) Deuxième essai d’Auguste Amérand pour interpréter l’air "En passant par Paris vidant ma bouteille" à l'accordéon. Auguste Amérand s'y reprend à 2 fois pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_002 pour la première fois).
Quand le marin revient de guerre (enq.) Auguste Amérand interprète l'air "Quand le marin revient de guerre" à l'accordéon.
J'ai bien vu l'abricot de la jardinière (enq.) (fragment) Auguste Amérand interprète une marche "J'ai bien vu l'abricot de la jardinière" à l'accordéon. Il va faire plusieurs essais. Auguste Amerand va faire plusieurs essais pour jouer cet air (cf. items UPOI_ATP_0004_0013_006, 007 et 008).
J'ai bien vu l'abricot de la jardinière (enq.) Auguste Amérand interprète une marche "J'ai bien vu l'abricot de la jardinière" à l'accordéon. Il va faire plusieurs essais. Auguste Amerand va faire plusieurs essais pour jouer cet air (cf. items UPOI_ATP_0004_0013_005, 007 et 008).
J'ai bien vu l'abricot de la jardinière (enq.) Auguste Amérand interprète une marche "J'ai bien vu l'abricot de la jardinière" à l'accordéon. Il va faire plusieurs essais. Auguste Amerand va faire plusieurs essais pour jouer cet air (cf. items UPOI_ATP_0004_0013_005, 006 et 008).
J'ai bien vu l'abricot de la jardinière (enq.) Auguste Amérand interprète une marche "J'ai bien vu l'abricot de la jardinière" à l'accordéon. Il va faire plusieurs essais. Auguste Amerand va faire plusieurs essais pour jouer cet air (cf. items UPOI_ATP_0004_0013_005, 006 et 007).
Branles maraichins (enq.) Auguste Amérand interprète un air de branle maraîchin à l'accordéon Auguste Amérand interprète qu'une partie de l'air, il le rejoue dans l'item suivant (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_010).
Branle maraichin (enq.) Auguste Amérand interprète deux airs de branles maraichins à l'accordéon. Il enchaîne les deux airs. Auguste Amérand interprète aussi le premier air dans l’item précédent (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_009)
C'était un petit bonhomme guenillon (enq.) Auguste Amérand interprète un branle de noirmoutier "C'était un petit bonhomme guenillon" à l'accordéon. Auguste Amérand chante quelques couplets de cet air également. (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_039)
Quand nous sommes à Pâques nous sommes au printemps (enq.) Auguste Amérand interprète un branle maraîchin "Quand nous sommes à Pâques nous sommes au printemps" à l'accordéon. Les enquetrices notent que cette danse peut s'appeler "La paulé", "la paulaïe", "La barrièle", "la barielle" ou "un branle de Challans" et qu'elle se dansait après le marais (marais poitevin sûrement).
Essai de morceau et annonce d’une valse (doc.) Auguste Amérand joue la fin d'un morceau à l'accordéon et annonce une valse.
Scottish anglaise "Un, deux, trois" (enq.) Auguste Amérand interprète une scottish anglaise ou pas de sept à l'accordéon.
Mazurka (enq.) Auguste Amérand interprète une mazurka à l'accordéon.
Rossignolet d'un bois (enq.) Mme V. Amérand interprète un chant à danser "Rossignolet d'un bois" qui raconte la séquestration d'une fille pendant 7 ans, un meurtre et un enlèvement. La fille enfermée est enlevée et va se marier, celui qui la tenait enfermée va alors tuer le marié et emmener la fille à nouveau.
Polka (pot pourri maraîchin) (enq.) Auguste Amérand interprète un pot pourri à l'accordéon. On reconnaît l’air de "La fille au coupeur de paille » au milieu.
Valse (enq.) Auguste Amérand interprète une valse à l'accordéon.
"Ah ! Si j’étais petite alouette grise" (enq.) (fragment) Auguste Amérand interprète une partie d’une marche de cortège de noces "Ah si j'étais petit alouette grise" à l'accordéon. C'est le premier essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_020 pour le deuxième essai).
Ah ! Si j’étais petite alouette grise (enq.) Auguste Amérand interprète une marche de cortège de noces "Ah si j'étais petit alouette grise" à l'accordéon. C'est le deuxième essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_019 pour le premier essai).
Essai de morceau et annonce du morceau suivant (doc.) (fragment) Auguste Amérand essaie d’interpréter un morceau à l’accordéon et annonce le morceau "Au bois, au bois mesdames". Le morceau qu’il annonce est celui de l’item suivant (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_022)
Au bois, au bois mesdames (enq.) Auguste Amérand interprète un air appelé "Au bois, au bois mesdames" à l'accordéon.
La gigouillette (enq.) Auguste Amérand interprète "La gigouillette" à l'accordéon. C'est le premier essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_024 pour le deuxième essai).
La gigouillette (enq.) Auguste Amérand interprète "La gigouillette" à l'accordéon. C'est le deuxième essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_023 pour le premier essai).
La Badoise (enq.) Auguste Amérand interprète "La Badoise" à l'accordéon.
La batelière (enq.) Auguste Amérand interprète une valse à l'accordéon "La batelière".
Votre chien madame (doc.) Auguste Amérand interprète une gavotte de danse à l'accordéon "Votre chien madame". Les informatrices notent "Valse Vienne" pour cette gavotte de danse avec la précision "se dansait".
Tout en haut d'une épine verte (enq.) Auguste Amérand interprète un air de maraichine "Tout en haut d'une épine verte" à l'accordéon. Voir item UPOI_ATP_0004_0013_036 pour les paroles de cet air.
J'ai tant mangé de caillé (enq.) Auguste Amérand interprète un air de maraîchine "J'ai tant mangé de caillé" à l'accordéon. C'est le premier essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_030 pour le deuxième essai). Il chante les paroles de cet air dans l’item UPOI_ATP_0004_0013_038.
J'ai tant mangé de caillé (enq.) Auguste Amérand interprète un air de maraîchine "J'ai tant mangé de caillé" à l'accordéon C'est le deuxième essai d'Auguste Amérand pour jouer cet air (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_029 pour le premier essai). Il chante les paroles de cet air dans l’item UPOI_ATP_0004_0013_038.
Scottish anglaise (enq.) Auguste Amérand interprète un pas de sept à l'accordéon en dansant en même temps.
Scottish simple (enq.) Auguste Amérand interprète une scottish "Scottish simple" à l'accordéon en dansant en même temps.
La fille au coupeur de paille (enq.) Auguste Amérand interprète à l'accordéon "La fille au coupeur de paille".
J'en ai bé vu des locomotives (enq.) (fragment) Auguste Amérand interprète le début de la chanson "J'en ai bé vu des locomotives". Auguste Améraud chante cette chanson en entier dans l'item UPOI_ATP_0004_0013_035.
J'en ai bé vu des locomotives (enq.) Auguste Amérand interprète la chanson "J'en ai bé vu des locomotives". Auguste Amérand chante le premier couplet de cette chanson dans l'item UPOI_ATP_0004_0013_034.
Tout en haut d'une épine verte (enq.) (fragment) Auguste Amérand interprète la première phrase de la chanson "Tout en haut d'une épine verte". Auguste Amérand chante cet air qu'il joue aussi à l'accordéon (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_028 ).
Chez nous i avions une poule (inc.) Auguste Amérand interprète une gavotte de danse "Chez nous i avions une poule".
J'ai tant mangé de caillé (enq.) Auguste Amérand interprète une gavotte de danse, un air de maraichine "J'ai tant mangé de caillé". Auguste Amérand chante cet air qu'il joue aussi à l'accordéon (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_029 et UPOI_ATP_0004_0013_030 ).
C'était un petit bonhomme guenillon (enq.) (fragment) Auguste Amérand interprète deux couplets de la chanson "C'était un petit bonhomme guenillon". Auguste Amérand chante cet air qu'il joue aussi à l'accordéon (cf. item UPOI_ATP_0004_0013_011).
Chanson à la mariée (enq.) Joséphine Frioux interprète un chant de noce « Ah mon ami voici le jour aimable » qui est une leçon aux époux leur disant qu'ils se doivent un amour éternel et ne doivent pas pratiquer l'adultère. C'est la chanson qui permet d'offrir le bouquet d'oranger pendant le repas de noces, bouquet qui symbolise le lien de fidélité entre les deux mariés et signifie qu'ils perdent leurs libertés.
La bique (enq.) Edmond Béchiau interprète un chant de table "La Bique" dans lequel une chèvre s’échappe et mange un arbre chez quelqu’un. Elle finit au parlement pour être jugée mais se moque de juge et du président. Edmond Béchiau tient cette chanson de sa mère.
Tu avais promis du temps de ta jeunesse (inc.) Edmond Béchiau interprète une chanson à la mariée, une romance "Tu avais promis du temps de ta jeunesse" dans laquelle une fille se marie alors que dans sa jeunesse elle avait promis de ne jamais se marier. Edmond Béchiau a appris cette chanson de sa mère vers ses 12 ans.
J'ai travaillé 12 mois dans la ville de Rennes (inc.) Joséphine Frioux interprète un chant à la marche « J'ai travaillé 12 mois dans la ville de Rennes ».
L'autre jour je m'y promène (inc.) Joséphine Frioux interprète un chant à la marche "L'autre jour je m'y promène" dans lequel quelqu'un rencontre une jeune fille à la fontaine et lui propose de venir coucher avec lui pour 200 francs.
Soir et matin la jeune Hélène (enq.) Prosper Thibault interprète une romance "Soir et matin la jeune Hélène " qui raconte la mort d'Hélène, qui meurt parce que son amant l'abandonne. Prosper Thibault tient cette chanson de son père natif de la Guérinière.
J'ai fait un rêve cette nuit passée (inc.) Joséphine Frioux interprète une chanson de danse "J'ai fait un rêve cette nuit passée" dans laquelle quelqu'un raconte qu'il a rêvé qu'il était fait prisonnier.
Pour un lundi matin (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Pour un lundi matin" qui raconte une tentative de parricide qui échoue. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Et sans oublier mes peines je ne vois plus mon berger (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Et sans oublier mes peines, je ne vois plus mon berger" qui raconte une histoire d’adultère entre un berger et sa belle. Le berger l’abandonne pour aller avec une autre bergère.
Marinier de bonne mine (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Marinier de bonne mine" qui est une chanson d’amour entre un marinier et une fille. Le marinier vient la voir dans sa chambre la nuit, l’alouette les trompe en chantant le jour trop tôt. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
C'es en passant par les chalets (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "C'est en passant par les chalets" dans laquelle le fils du Roi ramasse le panier d’une fille. Elle veut qu’il le lui rende tout de suite de peur de la jalousie de son amant.
C'était pour un joli dimanche (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "C'était par un joli dimanche" dans laquelle un rossignol et une alouette parlent des amours de quelqu’un qui est dans un navire au milieu de la mer. Ce navire fait naufrage. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Mon père a un cheval (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père a un cheval" dans laquelle quelqu’un casse et perd sa ceinture en chevauchant un cheval.
Colin et la belle (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Colin et la belle" dans laquelle Colin et une fille vont jouer au bois, l’un aux dés, l’autre aux cartes. Colin veut battre la belle, on l’accuse ensuite de vol de chevaux. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Un beau matin au lointain du rivage (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Un beau matin au lointain du rivage" qui raconte la mort de Rosine, morte car elle croyait être abandonnée par son amant. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Un beau matin au lointain du rivage (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Un beau matin au lointain du rivage" qui raconte la mort de Rosine, morte car elle croyait être abandonnée par son amant. Florentine Palvadeau chante un couplet oublié de la chanson (cf. item UPOI_ATP_0004_0015_008).
La ville de Lyon (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "La ville de Lyon" dans lequel le Roi essaie de faire venir une jolie fille chez lui en lui offrant à boire mais celle-ci refuse. Florentine Palvadeau l'a apprise en ramassant du foin avec un vieux qui chantait.
C'était une couturière revenant de journée (inc.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "C'était une couturière revenant de journée" dans laquelle une couturière rencontre trois jeunes matelots qui chantent pour la faire monter dans leur bateau et lui voler son anneau d’or.
Dans les faubourgs de Guérande / il y a une maison (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "La barbière" dans lequel un homme va à Guérande chez une barbière et croit que celle ci est amoureuse de lui. Sa barbe change 3 fois de couleurs pendant qu’elle lui fait la barbe. Florentine Palvadeau a appris cette chanson chez elle ("chez nous") dans les champs.
Mon amant m'abandonne (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon amant m'abandonne" dans laquelle une femme fait des commentaires sur la nouvelle maîtresse de son amant et sur ce qui va lui arriver. Chant de danse à répouner, apprise à Barbâtre (sa mère de l'Epine ne la chantait pas).
Mon père veut m'y marier (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père veut m'y marier" dans laquelle une fille est mariée à un vieux bonhomme point à son gré qui la bat.
Napoléon le grand s'en va visiter ses camps (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Napoléon le Grand s'en va visiter ses camps" dans lequel Napoléon teste la loyauté de ses soldats en allant visiter ses camps incognito. Florentine Palvadeau a appris cette chanson du Père Bazeau (du Bocage) qui aurait 100 ans en 1956.
Derrière chez moi ah devinez ce qu'il y a (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Derrière chez moi ah devinez ce qu'il y a".
Mes chers amis voici le jour aimable (inc.) Virginie Garnier interprète un chant de noce "Mes chers amis voici le jour aimable" qui est une leçon aux époux leur disant qu'ils se doivent un amour éternel et ne doivent pas pratiquer l'adultère. C'est la chanson qui permet d'offrir le bouquet d'oranger pendant le repas de noces, bouquet qui symbolise le lien de fidélité entre les deux mariés et signifie qu'ils perdent leurs libertés. Ce chant est chanté aux mariés le midi le jour des noces.
Le 10 octobre est arrivé (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Le 10 octobre est arrivé" qui raconte le naufrage d’un navire norvégien au large de Noirmoutier.
C'était pour un dimanche au soir (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "C'était pour un dimanche au soir" dans lequel deux amants se retrouvent en secret la nuit pour faire l’amour et prendre une collation.
Mon père n'avait que moi de fille (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Mon père n'avait que moi de fille" dans lequel une fille malmariée à un vieux bonhomme part de son foyer et rencontre son amant du temps passé à qui elle cherche à vendre son cœur.
Là-bas sur ces côtes, la belle s'endormit (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Là-bas sur ces côtes, la belle s'endormit" dans laquelle une fille s’endort et se réveille surprise avec une rose dans la main que son amant lui a déposé sans qu’elle s’en rende compte. Chanson apprise de sa tante Elise Palvadeau de Barbâtre, (66 ans en 1956).
Dans mon joli jardin (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Dans mon joli jardin, il y a une amande" qui raconte un meurtre. Un moine cherche à embrasser une fille qui veut être nonne et celle-ci le tue. Chanson apprise d'une vieille femme de Barbâtre.
Quand le château d'amour fût pris (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand le château d'amour fût pris" dans laquelle des gendarmes veulent emmener les filles du château qu’ils ont pris. La mère des filles préférerait un gendre paysan plutôt que gendarme.
Filles qui avez des amoureux (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Filles qui avez des amoureux" dans laquelle une fille se moque d’un gars. Elle danse avec deux garçons, un qui aura son cœur et l’autre qui peut aller voir ailleurs.
Dedans Saint-Gilles il y a (enq.) Virginie Garnier interprète un chant de table "Dedans Saint Gilles il y a des couturières" dans lequel des couturières s’habillent à la mode pour pouvoir plaire aux capitaines.
Quand le marin revient de guerre (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Quand le marin vient de la guerre" qui raconte le retour d’un marin de la guerre. Il va à l’auberge boire du vin blanc et l’hôtesse ne reconnaît pas qu’il est son mari. Il lui reproche de l’avoir trompé pendant son absence.
A Saint-Nazaire y a-t-une brune (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "A Saint-Nazaire y a une brune qui voudrait bien faire sa fortune" dans laquelle une fille cherche à se marier avec un garçon marinier mais elle est refusée.
A l'âge de 15 ans j'ai ravi une brune (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "A l'âge de 15 ans j'ai ravi une brune" qui raconte la mort d’une fille que son amant vient voir mourir. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
L'autre jour j'étais aux noces (enq.) Joseph Raimondeau interprète un chant de danse "L'autre jour j'étais aux noces" avec l'assemblée qui répond.
Mon père était à Rouen (enq.) Abel Dugué interprète un chant de table "Mon père était à Rouen" dans lequel une fille est seule chez elle et son amant vient lui rendre visite en cassant la porte.
Quand Biron fût pour danser (enq.) (fragment) Joseph Raimondeau interprète le premier couplet d'un chant de table "Quand Biron fût pour danser". Voir item UPOI_ATP_0004_0016_004 pour entendre la chanson complète.
Quand Biron fût pour danser (enq.) Joseph Raimondeau interprète un chant de table "Quand Biron fût pour danser". On entends le début de l'enregistrement suivant (cf. item UPOI_ATP_0004_0016_005).
Quand j'étais chez mon père (enq.) Joseph Raimondeau interprète un chant à la marche de cortège "Quand j'étais chez mon père petite à la maison" qui raconte le sauvetage d’un fille tombée dans une fontaine par trois cavaliers barons qui espèrent avoir ses amours. Ce n’est pas dans les intentions de la fille car ses amours sont pour un militaire.
C'était par un dimanche au soir (enq.) Joseph Raimondeau interprète un chant de table "C'était par un dimanche au soir mon bel amant venait m'y voir" dans lequel deux amants se retrouvent en secret la nuit, l’amant passe par la porte de derrière pour ne pas croiser la mère de la fille.
Monologue sur le régiment (début) (enq.) Joseph Raimondeau interprète la première partie d'une chanson-monologue humoristique "Monologue sur le régiment" avec un début chanté. C'est l'histoire d'un homme qui ne veut pas partir pour servir sa patrie bien qu'il sait qu'il n'a pas le choix. Le soldat se lamente sur son sort en pensant à son village et à sa mère. Il dialogue ensuite avec son supérieur sur les différents genres. L'histoire finit avec l'évocation d'une lettre de la mère du soldat. Joseph Raimondeau a appris ce monologue au régiment vers 1919 environ. Voir item UPOI_ATP_0004_0016_008 pour la deuxième partie.
Monologue sur le régiment (fin) (enq.) Joseph Raimondeau interprète la deuxième partie d'une chanson-monologue humoristique "Monologue sur le régiment". C'est l'histoire d'un homme qui ne veut pas partir pour servir sa patrie bien qu'il sait qu'il n'a pas le choix. Le soldat se lamente sur son sort en pensant à son village et à sa mère. Il dialogue ensuite avec son supérieur sur les différents genres. L'histoire finit avec l'évocation d'une lettre de la mère du soldat. Joseph Raimondeau a appris ce monologue au régiment vers 1919 environ. Voir item UPOI_ATP_0004_0016_007 pour la première partie.
C’est la jeune Françoise de Saint Martin de Ré (enq.) Eugénie Viollot interprète la chanson "C’est la jeune Françoise de Saint Martin de Ré" qui raconte l'histoire d'un amant qui va voir sa maîtresse et la trouve sur son lit à pleurer car elle a entendu dire en ville qu'il partait. L’informatrice recommence la chanson plusieurs fois. Elle l’a apprise vers ses 12 ans. Son père chantait cette chanson.
Dessus le pont de Nantes (enq.) (fragment) Eugénie Viollot interprète la première partie de la chanson "Dessus le pont de Nantes" dans laquelle un coq chante sur le pont de Nantes en demandant femme à prendre. Il conseille les femmes qu'il faut prendre ou non en fonction de leur couleur de cheveux. Eugénie Viollot dit qu’elle n’est pas capable de chanter la chanson. Voir item UPOI_ATP_0004_0003_003 pour la suite de la chanson.
Dessus le pont de Nantes (enq.) (fragment) Eugénie Viollot interprète la deuxième partie de la chanson "Dessus le pont de Nantes" dans laquelle un coq chante sur le pont de Nantes en demandant femme à prendre. Il conseille les femmes qu'il faut prendre ou non en fonction de leur couleur de cheveux. Eugénie Viollot ne commence pas la chanson au début. Voir item UPOI_ATP_0004_0003_002 pour le début de la chanson.
Un soir en revenant des vêpres (enq.) Eugénie Viollot interprète une chanson de danse "Un soir m’en revenant des vêpres" dans laquelle un amant vole les bagues en or de sa mie. Elle l'accuse d'être un moqueur de fille mais il s 'en défend. Eugénie Viollot cherche ses paroles.
La vie d’un garçon grand Dieu qu’elle est belle (enq.) (fragment) Eugénie Viollot interprète une chanson de danse "La vie d’un garçon" qui critique les garçons qui boivent et qui vont voir leurs belles quand ils n'ont plus de sous pour boire. La chanson est incomplète.
Le berger qui me fait la cour c’est le plus beau garçon du village (enq.) (fragment) Eugénie Viollot interprète la chanson "Le berger qui me fait la cour" dans laquelle le plus beau gars du village drague une bergère avec une doux langage et un discours doux et sage. La chanson est incomplète. L’informatrice chante un bout d’une autre chanson en cherchant les paroles de la chanson "Le berger qui me fait la cour".
C’était un petit bonhomme (enq.) (fragment) Eugénie Viollot interprète une chanson de danse "C’était un petit bonhomme" dans laquelle un homme cherche à vendre sa femme au marché. Eugénie Viollot chante seulement le premier couplet de la chanson (voir item UPOI_ATP_0004_0003_008 pour la suite).
C’était un petit bonhomme (enq.) Eugénie Viollot interprète une chanson de danse "C’était un petit bonhomme" dans laquelle un homme cherche à vendre sa femme au marché. Eugénie Viollot ne chante pas le premier couplet de la chanson (voir item UPOI_ATP_0004_0003_007).
Mon père a fait faire une étang vous la voyez femme à présent (inc.) Eugénie Viollot interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté.
Marie tu m’avais toujours dit (inc.) (fragment) Eugénie Viollot interprètent des fragments de la chanson "Marie tu m'avais toujours dit". Elle dit que ce n'est pas ça l'air. Fin de bande de l’enregistrement d’Eugénie Viollot et début de l’enregistrement suivant de Providence Bouteau (cf. enquête UPOI_ATP_0004_0004).
Me suis levée de grand matin (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Me suis levée de grand matin" dans laquelle une personne va dans son jardin pour cueillir la rose et le thym. Un oiseau se pose sur sa main et lui parle en latin, il lui dit que les femmes et les filles ne valent rien.