Item : Jeu de marbres sur fond de polka piquée (enq.)
Général
- Titre
- Jeu de marbres sur fond de polka piquée (enq.)
- Description
Sur un fond de polka piquée jouée par Marc Verdon, chantée et dansée par les stagiaire, on entend tout d'abord Pierre Morin qui annonce le lieu et ensuite Marcel Ayrault qui explique le jeu de marbre du triangle.
Personnes
- Enquêteurs
- Pierre Morin
- Informateurs
- Marcel Ayrault
- Marc Verdon
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0008_0005_004
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC00040a piste1 - item 011
Données techniques
- Durée estimée
- 00:01:53
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Témoignage, Autre expression vocale, Expression instrumentale
Texte/Paroles
- Paroles
Légende :
Italique : dit par l'enquêteur.trice(s) et/ou ajouts/commentaires de l'analyste
Normal : dit par l'informateur.trice(s)Sur un fond de polka piquée jouée par M. Marc Verdon, chantée et dansée par les stagiaires on entend :
Pierre Morin qui annonce le lieu, Cuhon et la date de la veillée, le 25 03 1975.
Ensuite M. Marcel Ayrault explique le jeu de marbre du triangle :-
Comment c’était le jeu ?
-
Le jeu de marbres, c’était un triangle qu’on faisait. Alors, on mettait deux marbres chacun, pi alors on mettait deux barres et on tirait à celui qui jouerait le premier.
Alors celui qui était le premier, il envoyait sa boule, alors s’il en sortait un (marbre) du triangle, il recommençait. S’il n’en sortait pas d’autre, c’était au deuxième de commencer, s’il n’y en avait pas de sorti, s’ils étaient quatre, ils jouaient donc tous les quatre, jusqu’à temps qu’il n’y ait plus de marbre dans le jeu. -
S’il sortait le marbre, qu’est ce qu’il en faisait ?
-
Il le mettait dans sa poche.
Ensuite, on remettait d’autres marbres. Alors, souvent de fois, celui qui en manquait, on lui en vendait. Etant petit, vous savez ce que c’est : un marbre coûtait un sou environ, à ce moment-là, un centime. -
Celui qui jouait le premier ?
-
C’était celui qui était le plus près de la barre. On faisait un trait par terre et celui qui était le plus près était le premier. Après y avait le 2e, le 3e, le 4e…
De l’autre côté de la barre, il était dernier. -
Si y touchait à la barre.
-
C’était le premier, s’il était de l’autre côté, c’était le dernier.
-