Item : Le paysan qu'on a envoyé à la guerre (Coi.)
Général
- Titre
- Le paysan qu'on a envoyé à la guerre (Coi.)
- Autre(s) titre(s)
- Le départ au régiment (inf.)
- Traduction(s) titre(s)
- Le mandement (enq.)
- Description
Après avoir été présenté, Yves Girault interprète la chanson du départ au régiment dans laquelle le narrateur raconte comme il est parti au régiment où il y a été habillé et envoyé à la citadelle comme sentinelle.
Il est applaudi par l’assemblée présente. Début de la chanson "Le mandement", enregistrée au numéro d'inventaire UPOI_ATP_0005_0002_017
Personnes
- Enquêteurs
- Claudie Marcel-Dubois
- Informateurs
- Yves Girault
- présentatrice Informatrice
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_ATP_0005_0002_021
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- MUS1946.3.11.2
- Remarques concernant les données d'archivage
- numéro d'enregistrement (Disque 10-2) ; Début de la chanson "Le mandement", enregistrée au numéro d'inventaire MUS1946.3.10.1. ; La plage 2 commence au trait rouge
Données techniques
- Durée estimée
- 00:02:08
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
Ol est venu un mandement / pour aller à la guerre
O m'enuyait pourtant bé / d'abandouner ma mère
Mais fallait pourtant bé / faire son paquet et s'en allerLe m'ont envoyé ben loin / tout à l'aut' bout d'la terre
Tout le monde dans cho pays / s'appelait militaire
L'avions une maison / que l'appelions la garnisonLe m'donnirons un grand paltia / qui tombait jusqu'à terre
Et pis un grou pantalon / quo bouclait par darrère
Et mo qu'itau point d'vant / le tombais sur mes deux taillauLe m'mettirons de faction / devant la citadelle
Ceux s'qui savions point mon nom / la m'appions sentinelle
O n'passait point un chat / sans demander quo sé qu'au y'aOl est venu dau généraux / les ai pris pour dau bêtes
L'avions des plumes de jhau / piqués dessus yau têtes
Et dau pointes d'aigaillons / tout autour de yeu talonsMais quand y furent rendus / sur le champ de bataille
Le s'plumions le s'étripions / qué coume de la volaille
Et là la pour me pris / pris mon sac et me sauvi