Item : C'était une jeune fille de quinze ans (enq.)
Général
- Titre
- C'était une jeune fille de quinze ans (enq.)
- Description
Delphine Salomon interprète la chanson « C’était une jeune fille de quinze ans » dans laquelle un jeune amant tente de récupérer sa belle, entrée au couvent.
Personnes
- Informateurs
- Delphine Salomon
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_ATP_0002_0008_001
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- MUS1967.44.118
Données techniques
- Durée estimée
- 00:04:16
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Incipit
C’est une jeune fille de quinze ans / qui a délaissée son amant
- Paroles
C'est une jeune fille de quinze ans / qui a délaissé son amant
Partie dans un couvent l'attendre / pour y souffrir mille tourments
Et surtout d'une humeur chagrine / de ne plus revoir son amantAu bout de cinq ans tout au plus / le beau galant est revenu
Tout droit à la porte à sa belle / tout droit à la porte est allé
Demandant sa jolie maitresse / celle que son coeur a tant aiméCelle que ton coeur a tant aimé / dans un couvent elle est entrée
Dans un couvent de religieuses / vous n'en ne vit en languissant
Et surtout d'une humeur chagrine / de ne plus revoir son amantLe beau galant qu'entendit cela / tout droit au couvent il s'en va
Trois petits coups frappe à la porte / en demandant assurément
Une des plus jeunes religieuses / qui est entrée dans le couventMadame l'hôtesse a répondu / ici ne rentrent point d'amants
Cessez vos cris cessez vos larmes / ici ne rentrent point d'amants
Celle qu'est entrée dans ce couvent / n'en sortira pas pas promptementMadame l'hôtesse ayez pitié de moi / je viens du service du roi
Puisqu'elle y est puisqu'elle y reste / puisqu'elle est soumise à vos loi
Mais auparavent que je meure / faites moi la voir une dernière foisVoyant l'amant qui se pendait en pleurs / on fit venir la jeune soeur
Baissant les yeux levant la tête / d'un petit air la salua
Si je suis jeune religieuse / mon bel amant c'est malgré moiPrends l'anneau d'or que j'ai au doigt / ça s'ra ton souvenir de moi
Mais l'anneau d'or ne fut pas mise / que le bel amant tomba mort
Quel chagrin pour sa maitresse / quel chagrin plaignez son sortPuisqu'il est mort mort mon cher ami / c'est moi qui veut l'ensevelir
Apportez moi un beau drap rose / qu'il soit environné de fleurs
Au même instant l'amant se lève / et enleva la jeune soeur