Item : La mort du colonel (Coi./Laf.)
Général
- Titre
- La mort du colonel (Coi./Laf.)
- Autre(s) titre(s)
- Le vingt et un du mois d’avril, chers camarades, il faut partir (inc.)
- Description
Olive Marche chante une chanson sur un capitaine blessé pendant la guerre pour lequel on fait venir son amie.
Son mari chantait cette chanson.
Personnes
- Enquêteurs
- Mark Cormier
- Informateurs
- Olive Marche
- Stella Renouf
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- MFLA_COR_0001_0003_011
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- C3241-17 C3241-18
- Remarques concernant les données d'archivage
- - Document déposé au Centre scolaire et communautaire Sainte La Grand Terre, octobre 2010 par Ronald Labelle. - Inventaire et transcription par Steeve Ferron.
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:26
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
Le vingt et un du mois d’avril / chers camarades, il faut partir.
Il faut partir pour l’Angleterre / parce que le roi nous déclare la guerreA l'Angleterre, je suis arrivé, / cent coups de canons oh il fallu tirer
Dessus l'avant comme sur l'arrière / le sang coulait comme une rivièreOh lendemain matin, au point du jour, / le quartier-maître vient faire son tour
Le quartier-maître vient faire son tour / si y a personne de blessé à bord-
Non, non, non, non, mon quartier maître à l'aventure
Oui y a un p'tit quartier-maître qui était blessé
C'est un petit quartier-maître qui était blessé sur la dunette -
Oh bien mon maître, mon beau quartier-maître,/ a'-vous d'regrets d'mourir ici
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Le seul regret qu'j'ai d'mourir, / c'est d'mourir sans voir ma blonde
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Oh quartier-maître, belle aventure, / j'allons la faire venir
Tant loin, tant loin, la voir venir / d'un mouchoir blanc ça c'est sûr -
Trop tard trop tard ma très chère blonde, / parce que ma blessure est trop profonde
Tu me voirais porter en terre / par quatre officiers d'la marine
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