Item : La dame au miroir d'argent (Coi./Laf)
Général
- Titre
- La dame au miroir d'argent (Coi./Laf)
- Traduction(s) titre(s)
- C’étaient les filles de Brest qui se marient pas souvent (inf.)
- Description
Léon Dubé chante la chanson : C’était les filles de Brest qui se marient pas souvent, dans laquelle une fille qui se marie richement demande à sa servante si elle la trouve belle. Elle se fâche et son mari lui fait remarquer l’évolution de sa richesse grâce au mariage.
Personnes
- Enquêteurs
- André Magord
- Informateurs
- Léon Dubé
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- MFLA_MAG_0003_0001_008
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- C13102-08
- Remarques concernant les données d'archivage
- - Copie numérique Ressources culturelles franco-terre-neuviennes. - Document déposé au Centre scolaire et communautaire Sainte Anne, La Grand Terre, octobre 2010 par Ronald Labelle. - Inventaire par Steeve Ferron.
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:02
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Refrain
Brunette allons, gai, gai,
Ma mie allons gaiement.
- Paroles
C’était des filles de Brest / qui se marient pas souvent
Y en a une qui se marie / qui se marie bien richement
Brunette allons, gai, gai / ma mie allons gaiementY en a une qui se marie / qui s'marie bien richement
Elle se peigne et elle se mire / dans un beau miroir d’argent
Elle appelle sa servante : / - Jeanneton venez ici
Dites-moi que suis belle / pour que mon miroir m’y ment
- T'es un p'tit peu brunette / mais cela ça vous va bien
Elle gâche son miroir par terre / maudissait tous ses parents
Son mari crie à la porte : / - Maudissez les donc pas tant
Quand que je t’ai pris en mariage / t’avais pas cinq sous valants
À présent tu portes une robe / qu’a la valeur de six cents francs
Quand la belle va à la messe / elle a cinq ou six servants
Y en a un qui porte son livre / l’autre son beau mouchoir blanc
Et un autre qui porte sa chaise / la grosse garce qui se berce dedans