Item : Je te plains charmante bergère (enq.)
Général
- Titre
- Je te plains charmante bergère (enq.)
- Description
Marie Couillault chante cette chanson qui est un dialogue entre le citadin et la bergère.
Personnes
- Enquêteurs
- Pierre Morin
- Informateurs
- Marie Couillault
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0005_0006_005
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00003b piste 1 - Item 19
Données techniques
- Durée estimée
- 00:02:59
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
Je te plains charmante bergère / de toujours garder ce vilain troupeau.
J’ai pitié de voir oh ! ma chère / le soleil hélas ! te brûler la peau (bis)Laissez-moi flatteur que vous êtes. / J’aime à voir sauter mon troupeau joyeux.
J’aime mieux parler à mes bêtes / qu’à des gens huppés comme vous, monsieur.Tu devrais venir à la ville. / Tu verrais que tout est plus beau qu'ici.
On irait oisifs et tranquilles./ On s’amuse, on rit sans aucun souci.Vous aurez beau faire et beau dire, / le travail ici rend -t-_heureux chez nous.
Et s’il faut danser, il faut rire, / sous l'ormeau le son du pipeau est doux.[...]
Si tu veux me suivre à la ville / je te fais l’honneur d’être ton époux.Grand merci monsieur, mais je n’ose / accepter la main d’un époux trop beau.
Et s'il faut vous dire la chose / J’aime mieux Jean-Pierre et ses gros sabots.Le fripon s’en va tête basse. / La bergère est là qui le suit des yeux.
D’un petit salut plein de grâce / au monsieur, gaiement, elle dit adieu.