Personne : Couillault Marie

Prénom
Marie
Nom
Couillault
Civilité(s)
Mme
Alias

Rôles

Informateur

Naissance

Date de naissance
1884-03-11
Lieu de naissance
Montgauguier, Maisonneuve, Poitiers, Vienne, Nouvelle-Aquitaine, France métropolitaine, 86170, France

Décès

Date de décès
1973-12-23
Lieu de décès
Biographie

Marie Couillault est née Bonnin, en 1894, à Montgauguier (nom de la commune où se trouvait Maisonneuve à l’époque). Elle a ensuite toujours vécu à Maisonneuve. Elle est mère de trois filles, Hélène, Simone (nom d’épouse Bonnin) et Gilberte. Elle était surnommée « mémé Couillault » au sein des gens de Cherves comme elle était la grand-mère de Pierre Morin et d’autres membres de l’association. Elle chantait beaucoup dans sa jeunesse, elle était invitée pour chanter dans les noces locales et elle a transmis le goût de chanter à ces descendant.e.s. Mais plus tard, elle s’arrêtera subitement de chanter à la mort d’un de ses petit-fils à 9ans. C’est avec l’élan des Gens de Cherves et les vagues de collectes qu’ils mènent qu’elle se remettra à chanter et transmettra à son tour une immense répertoire bien gardé dans sa très bonne mémoire. Âgée de 77 ans au moment de la première enquête en 1971, elle a livré des chansons, des gavottes de danse et des formes brèves et quelques témoignages qui racontent la vie dans les villages.

URI

Contributions

Informateur

Item Description
Avant-deux du quadrille (enq.) On entend Hilaire Bonnin qui chante l’air, mais l’air est difficile à déterminer. Lorsque Marie Couillault se joint à lui, l’air est clair. Lorsqu’elle a fini, Hilaire et Marie font comprendre que l’air se joue deux fois complètes. On entend la voix de Jacques Bonnin (membre des Gens de Cherves).
La pastourelle (inf.) Marie Couillault chante l’air, elle précise à la fin qu’il faut le faire deux fois.
Rapidité de danse des quadrilles Les informateurs discutent à propos de la manière de danser les quadrilles. L’enregistrement est de mauvaise qualité ce qui rend parfois le propos inaudible.
La berline (inf.) Suite à la demande de l’enquêtrice, Marie Couillault chante l’air de la berline, elle précise que ça se dansait avec un pas de polka avant de reprendre l’air une deuxième fois.
La danse à l’ours (inf.) Plusieurs témoins et des gens de Cherves dansent la danse à l’ours qu’ils chantent en même temps. Marie Couillault confirme.
Explications de la danse Jean Brisquet Marie Couillault chante l’air de Jean Brisquet et avec les autres témoins, elle explique la danse. Les explications sont partielles à cause de coupe de la bande et du brouhaha par moment mais aussi car les témoins ont des souvenirs manquants.
La gatinelle (inf.) (fragments) Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air puis les témoins discutent de la danse par bribes. On devine que Simone danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0010 et UPOI_GDC_0007_0001_0013 avec des informations supplémentaires. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Galop du quadrille (inf.) (fragments) L’enregistrement commence avec Martine Roy qui essaye de reproduire un air qu’elle a entendu. Marie Couillault chante ensuite le galop du quadrille. Il n’y a que des fragments, il est difficile d’en comprendre la mélodie en entier. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0003_0005 et UPOI_GDC_0007_0002_0005
La gigouillette Marie Couillault chante l’air de la gigouillette au tralala. La bande contient quelques bruits parasites mais la mélodie est intelligible.
Polka piquée (enq.) Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air au tralala sur la première partie et avec des paroles sur la deuxième. A la fin, elles parlent d’une scottich qu’elles n’arrivent pas à retrouver. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0007, où Pierrot Morin lui donne le nom de Bonjour cabaretière.
Valse vienne (inf.) Marie Couillault chante l’air, apparemment des témoins la dansent en mazurka, alors elle précise à la fin qu’il s’agit d’une valse vienne. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0002_0008
Début d’un air de mazurka (enq.) Marie Couillault chante au tralala l’air d’une mazurka mais la bande coupe, il manque la fin.
Danse de la gatinelle : contexte et danse Marie Couillault explique comment se danse la gatinelle et dans quel contexte elle était dansée. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0007 et UPOI_GDC_0007_0002_0010. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Air de scottich (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala, on entend des danseurs en fond.
L’autrichienne (enq.) Marie Couillault chante la chanson. Elle ajoute à la fin que c’est plutôt les jeunes qui chantaient ça. On retrouve cet air sur UPOI_GDC_0007_0002_0013
Limousine (inf.) Marie Couillault chante l’air au tralala. Elle précise à la fin que c’est une limousine. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0014.
Fragments d’explication d’une danse où l’on saute A cause des coupures les paroles des témoins n’apportent rien de précis sur cette danse où semble-t-il on saute.
Peut on souffrir pour l’amour d’une brune (enq.) Après un silence sur la piste Marie Couillault chante une complainte qui raconte l’histoire d’un amant prisonnier qui se languit de sa brune en prison, celle-ci lui rend alors souvent visite et demande à ce qu’on le libère. On lui répond que ce n’est pas possible car son amant est condamné à mort. À la fin de la chanson on apprend la mort de l’amant prisonnier et le désarroi de son amante Eugénie.
La poitrinaire (enq.) Marie Couillault chante la chanson. Le narrateur vient de rencontrer un enfant dont la grande sœur est malade. Il raconte les nombreuses visites du docteur et la tristesse de sa mère qu’il a surpris. Ce jeune enfant veut remettre les feuilles sur les arbres car il a entendu dire que ça sœur mourra lorsqu’elles seront toutes tombées. Le narrateur propose de l’aider dans cette tâche.
L’aubergiste assassin (Coi.) / Le couteau d’un assassin (Laf.) Marie Couillault chante cette assez longue chanson. L’enquêteur l’interrompt pour l’interroger sur l’expression « passer les bois » , elle répond que cela signifie « me conduire hors des bois ». Une jeune fille veut être conduite hors du bois, elle se présente dans une auberge pour trouver un guide. Un jeune soldat se propose, elle demande au cabaretier si elle peut lui faire confiance, il lui répond que non, elle ferait mieux d’attendre pour que lui-même la guide. Mais il la piège, il récupère sa bourse et l’assassine. Le soldat qui les a suivi récupère la bourse et le couteau et revient à l’auberge. Il y trouve la cabaretière qui reconnaît le couteau de son mari et le soldat lui apprend que son mari est un assassin.
Le traître noyé (Coi.) Marie Couillault chante la chanson qui raconte l’histoire du traître noyé : l’amant veut assassiner sa maitresse mais il se fait piéger et c’est finalement elle qui l’assassine.
La dame au miroir d'argent (Coi./Laf.) Marie Couillault chante l’histoire de la dame au miroir d’argent : elle se mire dedans et son mari qui l’entend derrière la porte lui rappelle ses origines modestes.
Mazurka (enq.) (fragments) Marie Couillault fredonne une mazurka puis on entend quelques fragments entrecoupés de commentaires. Air en majeur.
Trois avant-deux de quadrille (enq.) Marie Couillault fredonne trois airs d’avant-deux de quadrille avec quelques commentaires sur la répétition du couplet du premier. Elle est accompagnée sur le premier par Joseph Bonnin. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0001
Berline (enq.) Marie Couillault chante une fois l’air puis elle le reprend ensuite avec Joseph Bonnin On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0003
Galop du quadrille (enq.) Marie Couillault fredonne l’air mais il est incomplet car il est entrecoupé de discussions autour de la danse. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0008 et UPOI_GDC_0007_0003_0005
Bonjour cabaretière (enq.) Marie Couillault chante l’air en tralala sur la première partie et avec des paroles sur la deuxième. Il y a des discussions sur la polka piquée, dans le brouhaha ambiant, on ne distingue pas très bien ce qu’il se dit. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0010
Valse vienne (inf.) Marie Couillault chante l’air en tralala puis Joseph Bonnin le reprend ensuite avec une version un peu différente. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0011
Mazurka (enq.) Marie Couillault fredonne l’air complet une fois.
La gatinelle (enq.) Marie Couillault chante la première partie puis l’enquêteur lui pose des questions sur la danse. Elle lui fait la demonstration. Il questionne ensuite Joseph Bonnin qui ne se souvient pas de cette danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0013 et UPOI_GDC_0007_0001_0007 avec des informations supplémentaires. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Air de t’es saoul bonhomme (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala.
Air de scottich (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala.
L’autrichienne (enq.) Marie Couillault chante l’air avec les paroles.
La limousine (enq.) Marie Couillault chante un premier air puis quelqu’un chante, en fond, une autre version qu’elle reprend puis plusieurs personnes le reprennent en choeur.
L’avant-deux (enq.) Marie Couillault chante au tralala l’air de l’avant-deux, on entend des danseurs en fond.
La poule (inf.) L’enquêteur demande à Marie Couillault qu’elle chante la poule. Elle chante le début d’un premier air puis se rend compte qu’elle se trompe alors elle reprend le bon air.
L’avant-deux (inf.) Marie Couillault chante en tralala l’air de l’avant-deux, on entend des danseurs en fond. On retrouve cette mélodie dans UPOI_GDC_0007_0001_0001 ; UPOI_GDC_0007_0002_0003 ; UPOI_GDC_0007_0002_0014. La pastourelle est annoncée au début de l’enregistrement,on le retrouve dans la piste suivante UPOI_GDC_0007_0002_0017.
La pastourelle (inf.) Marie Couillault chante l’air interrompu par quelques commentaires. Elle donne des indications à des danseurs. On retrouve le même air avec quelques précisions sur la danse dans UPOI_GDC_0007_0001_0002. La danse est annoncée sur la piste précédente, UPOI_GDC_0007_0002_0016 , où elle se trompe d’air.
Ah ! Mesdames voilà du bon fromage (enq.) Marie Couillault chante la très courte chanson Ah ! Mesdames voilà du bon fromage.
Allons ! Mesdames chassez les rats (enq.) Marie Couillault chante la chanson « Allons ! Mesdames chassez les rats"
En revenant des noces A la claire fontaine (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) Marie Couillault chante la chanson « En nous rendant de noces"
Le m’ont emmni bin loin bin loin… (enq.) Marie Couillault chante la chanson « Le m’ont emmni bin loin bin loin"
La servante fardée (Coi.) / Le fard (Laf.) Marie Couillault chante la chanson. Le chant est un récit, c’est une farce qui raconte l’histoire d’une servante voulant être aussi belle que sa maîtresse, trompée par l’apothicaire.
Un pauvre enfant assis sur une pierre (enq.) Marie Couillault chante la chanson Un pauvre enfant assis sur une pierre.
La fille qui a trop fait la difficile (Coi.) / Souffrance des vieilles filles (pro parte) (Laf.) Après un commentaire, Marie Couillault chante la chanson A quinze ans j’étais gentille.
Sur les bords de la Rance (enq.) Après un commentaire sur son état de fatigue, Marie Couillault chante la chanson Sur les bords de la Rance.
Airs de galop (quadrille) (enq.) Avec quelques commentaires autour, Marie Couillault chante plusieurs airs de galop de quadrille. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0008 et UPOI_GDC_0007_0002_0005
Les vignerons avant le phylloxera Marie Couillault témoigne sur les vignerons avant le phylloxera.
Gatinelle : Sautez-don (enq.) Marie Couillault chante Sautez-don, un air de gatinelle et commente la danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0007, UPOI_GDC_0007_0001_0013 et UPOI_GDC_0007_0002_0010
Elle a cassé son parapluie (enq.) Marie Couillault chante Elle a cassé son parapluie.
Ah ! Mesdames voilà du bon fromage (enq.) Marie Couillault chante Ah ! Mesdames voilà du bon fromage. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0019.
Coutume de mariage : casser le pot Marie Couillault raconte une coutume qu’on faisait lorsque le dernier membre d’une famille se mariait où l’on casse un pot rempli de dragés.
Formulettes de Mardi gras (enq.) Marie Couillault parle d’une formulette de mardi gras. L’enquêteur en formule une mais elle le coupe en disant une autre formulette
Un homme qui sifflait Marie Couillault parle d’abord d’un homme qui sifflait très bien, notamment des airs de danse. Elle ajoute ensuite que son fils Gérard siffle aussi très bien. Elle évoque ensuite une jeune fille qui savait chanter.
Je veux un capitaine (Coi.) / La belle veut marier un capitaine (Laf.) Marie Couillault chante la chanson Mon père avait 500 moutons.
L'engagement de la fille-soldat I Engagée pour rejoindre son amant (Coi.) Après avoir précisé que c’est une vieille chanson de sa grand-mère Marie Couillault chante La bonne Adèle.
Les deux amoureux dans la danse III (Le jeune et le vieux) (Coi.) / Les deux amoureux (le jeune et le vieux) (Laf.) Marie Couillault ne se souvient plus bien de la chanson « Sans mentir j’aimerais mieux », elle chante des bribes puis la fin.
La Perdriole (Coi./Laf.) Marie Couillault chante Le premier mois de l’année avec quelques hésitations mais les paroles sont complètes.
Adieu l’hiver morose (enq.) Marie Couillault chante Adieu l’hiver morose.
L’alouette plumée (Coi.) / Alouette nous la plumerons ; Alouette, gentille alouette (Laf.) Marie Couillault chante L’alouette plumée. C’est une chanson énumérative, elle se trompe et s’interrompt pour commenter son erreur. Pierre Morin chante avec elle sur certains couplets. C’est une version locale du chant sur l’alouette. Il s’agit d’un chant balançoire.
Rat et mouche (Coi.) / La mouche et les animaux ; Il sortit un rat de sa raterie (Laf.) Marie Couillault chante cette ronde. Elle ajoute un commentaire à la fin. C‘est une version de rat et mouche. On peut chanter plusieurs fois le couplet en changeant d’animal. Il y a une danse qui y correspond : on mettait une fille dans un sac, aux batteries, tous les garçons autour chantaient et venaient un par un tourner autour du sac.
L’autre jour passant par Rigueuil (enq.) Marie Couillault commence la chanson mais elle s’interrompt car elle dit ne pas bien la connaître. Mais l’enquêteur lui demande de chanter la chanson quand même alors elle chante le premier couplet, il s’agit de L’autre jour passant par Rigueuil.
J’ai un beau château (Coi./Laf.) Marie Couillault chante la ronde pour enfant J’ai un beau château. Vers la fin les paroles sont énoncées sans être chantées. Elle explique qu’il faut nommer quelqu’un pendant la chanson. L’enquêteur chante deux couplets pour l’accompagner.
Où vas-tu belle boiteuse (Coi.) / Boiteux ermite ; Petite boiteuse (Laf.) Marie Couillault interprète Où vas-tu belle boiteuse. C’est un jeu chanté, un dialogue entre la boiteuse et le groupe qui lui demande où elle va.
L'âne et le loup (Coi./Laf.) Marie Couillault chante en poitevin saintongeais Chi nous iavians ti nâne. Elle rit en chantant. Si elle s’arrête un peu, l’enquêteur l’encourage pour qu’elle continue. La bande coupe et on entend le début d’une autre chanson avec une autre interprète. C’est un air à marcher qui se chantait pendant que le cortège de la mariée allait au repas de noces.
Jean Brisquet (enq.) Marie Couillault interprète cet incontournable de son répertoire avec un couplet qu’elle n’avait pas chanté dans ses enquêtes précédentes. Il s’agit cependant d’une version incomplète.
Un jour dit l’alouette (enq.) Marie Couillault chante Un jour dit l’alouette.
Il est venu hier au soir (enq.) Marie Couillault chante une chanson qui raconte une histoire de refus d’un galant non présentable. Il pourrait s’agir d’une strophe d’une plus longue chanson.
L’autre jour j’étais en colère (enq.) Marie Couillault chante une chanson pour enfant moralisatrice.
Je te plains charmante bergère (enq.) Marie Couillault chante cette chanson qui est un dialogue entre le citadin et la bergère.
Virelangue : A Paris il y a un rouleur (enq.) Marie Couillault expose ce virelangue après avoir dit « pour délier la langue ».
Virelangue : Chat vit rôt (enq.) Marie Couillault annonce un très court virelangue, Chat vit rôt.
Conscrit faut pas pleurer (enq.) Marie Couilllault parle en poitevin saintongeais des conscrits aux alentours de chez elle puis elle chante Conscrit faut pas pleurer.
Partons, chers compagnons (Coi.) Marie Couillault chante Partons chers camarade, une chanson de conscrits qui relate la peine des garçons quittant les filles. Dans l’item précédent elle parle des conscrits et chante une autre chanson de conscrits.
Prête-moi ton mouchoir (Coi.) / Galant retirez-vous (pro parte) (Laf.) Marie Couillault interprète une version de J’ai fait une maîtresse, c’est un récit dialogué entre la fille, l’amant, les parents et le frère.
L’appel à boire (Coi.) Marie Couillault interprète une ritournelle à boire.
Petits ciseaux d’argent (enq.) Marie Couillault chante une forme brève, Petits ciseaux d’or et d’argent.
Comptine En brin en brol (enq.) Marie Couillault énonce une comptine très rapide qui se rapproche du virelangue.
Comptine Tr viri su tr viri (enq.) Marie Couillault énonce une comptine en poitevin saintongeais. Il s’agit d’une devinette.
Bounoum’ bounoume (enq.) Marie Couillault énonce ce court dialogue entre un vendeur de pommes et un monsieur.
A quel âge marie-t-on les filles ? (enq.) Marie Couillault énonce un court dialogie sous forme d’un questionnaire sur le mariage des filles.
Tiens tiens voilà la grand’ catin (enq.) Marie Couillault énonce une forme brève.
Les deux amoureux dans la danse III (Le jeune et le vieux) (Coi.) / Les deux amoureux (le jeune et le vieux) (Laf.) Marie Couillault chante une chanson sur le jeune mari ou le vieux. Se danse un peu comme la gigouillette mais en rond. Les couplets sont dansés sur un pas ternaire de gigue, alors que le refrain est sauté avec levé de pied alterné d’un pas ternaire.
Autrefois le trône de France (enq.) Marie Couillault interprète Autrefois le trône de France, un chant pro-Napoléonnien.
Malbrou (Coi.) / Malbrou s’en va-t-en guerre ; Le duc de Guise (Laf.) Marie Couilllault chante la chanson Malbrough s’en va en guerre. Il s’agit d’une sorte de vieille valse.
Les noces du papillon (Coi.) / Les noces du parpalhoun (Laf.) Marie Couillault chante une version des noces du papillon.
Air de pastourelle (enq.) Marie Couillault chante l’air de la pastourelle, une figure de quadrille que l’on retrouve beaucoup dans son répertoire.
La gigouillette (enq.) Marie Couillault chante deux fois la gigouillette, chanson très courte
Polka galopante (enq.) Marie Couillault chante une fois l’air de la polka galopante avec des paroles et une dernière partie en tralala, et ensuite une fois complètement en tralala comme ça se faisait habituellement. C’est un air qui servait aussi pour la danse de la chaise.
Polka (enq.) Marie Couillault chante au tralala une polka de son répertoire.
Scottich (enq.) Marie Couillault chante au tralala une scottich.
L’as-tu vu (enq.) Marie Couillault chante ce qui pourrait être une chanson qui invite à boire ou une polka.
Drigue, drigue mon chevô (enq.) Marie Couillault chante cette comptine en faisant sauter sur ses genoux son arrière-petit-fils, Stéphane Morin. Il peut aussi s’agir d’une ronde
La dame au miroir d'argent (Coi./Laf.) Marie Couillault chante le début de la chanson puis la bande coupe et on entend une discussion entre Pierre Morin et Marie Couillault à propos de la danse qui correspond à cette chanson.
Puisque tu m’as dit (enq.) Marie Couillault chante Puisque tu m’as dit qui relate les regrets d’un Français face à son amour pour une Italienne qui lui refuse le sien.
Cinq et trois font huit (enq.) Marie Couillault récite une formulette, Marie Couillault explique que quand des gens étaient derrière une boiteuse, ils disaient « cinq et trois font huit » pour représenter le pas de la boiteuse.
Le petit mari (Coi./Laf.) Marie Couillault chante Mon père m’a donné un mari.
La guenille à Pierrot (enq.) Marie Couillault chante une très courte chanson à propos de la guenille à Pierrot.
Et roulons-le le père Mathurin (enq.) Marie Couillault chante le refrain Et roulons-le le père Mathurin.
Dialogue de sourd (enq.) Marie Couillaut récite une forme brève qui est un dialogue en poitevin-saintongeais à propos du père Delavault qui était quelqu’un de son village.
Arrosons-nous la dalle du cou (Coi.) Marie Couillault chante une chanson à boire.
Air, pas et chorégraphie d’une promenade et d’une polka galopante. (enq.) Marie Couillault chante un air puis explique la danse qui va avec en répondant aux questions de Pierre Morin. Il s’agit d’une promenade puis d’une polka galopante.
Allons ! Mesdames chassez les rats (enq.) Marie Couillault chante cet incontournable de son répertoire qui est une farandole sautée. L’enregistrement est de mauvaise qualité mais on peut le retrouver dans d’autres enquêtes auprès de Marie Couillault.
Air et chorégraphie de la berline (enq.) Marie Couillault chante l’air et explique la danse de la berline. Elle ne se souvient plus tout à fait de la danse.
Ritournelle pour féliciter un bon chanteur (enq.) Marie Couillault chante une chanson, Pierre Morin lui pose de temps en temps des questions auxquelles elle répond mais on ne l’entend pas très bien.
Y’en a trois qui veulent ma sœur (inc.) Marie Couillault chante une courte gavotte de danse qui sert pour danser la gigoullette.
Différents remèdes naturels Marie Couillault explique plusieurs remèdes naturels à base d’oignon, feuilles de pervenche et d’autres choses qui servaient à guérir des maux tels que les furoncles ou les maux de gorge.
Récit de la chèvre, ou le père Bllô transformé en chèvre Marie Couillault raconte le récit de la chèvre, qu’on raconte dans son village. C’est une anecdote qui raconte une scène à laquelle Marie a assisté mais ce récit s’est peu à peu transformé en légende.
Le conte des fadets Marie Couillault raconte le conte des fadéts en poitevin-saintongeais.
Cuisinières de noces Marie Couillault parle des personnes présentes pour la cuisine d’une noce, à quel moment, pour quelles tâches. Puis elle cite quelques cuisinières du coin.
Repas après les services religieux d’enterrement Marie Couillault explique les différents services religieux après un enterrement. Il pouvait y avoir jusqu’à trois repas différents à différents moments, pour les personnes avec le plus de moyens financiers.
Invitations aux assemblées et date concernant les villages des environs de Cherves Marie Couillault cite les différents lieux et dates de toutes les assemblées dans les alentours de Cherves tout en répondant aux questions de Pierre Morin à ce propos. Elle commente en fonction de son vécu personnel.
Les enfants dans la famille Marie Couillault parle des enfants dans sa famille, lorsqu’elle était enfant et avec ses propres enfants. Elle parle des responsabillités, du travail, du rapport dans la fratrie.
Les mendiants dans son village Marie Couillault décrit les mendiants, les bohémiens et leur rapport avec les habitants quand ils passaient parfois dans son village.
La fille du coupeur de blé (Coi.) / Jamais je n’oublierai (pro parte) (Laf.) Marie Couillault chante la fille au coupeur de paille, une courte chanson. Elle ajoute en commentaires : « Iai entondu chonti ça à la machine que Maximin chonti ça, si bien dans la cour qu’à la tablle, lou rigoliont. » (J’ai entendu chanté ça à la machine par Maximin, de la cour à la table nous rigolions.)
Formulette pour préparer la languette du sifflet en paille de seigle (enq.) Marie Couillault récite une comptine très rapide se rapprochant ainsi du virelangue qui été énoncée dans un contexte bien précis : durant la fabrication de languette pour un sifflet en paille de seigle. Elle la répète plusieurs fois à différentes vitesses. Elle donne ensuite des éléments de contexte sur la fabrication de ces languettes. Tout l’extrait est un poitevin-saintongeais.
Fabrication de sifflet Marie Couillault explique la fabrication de petits sifflets faits avec des branches de noyer qu’elle faisait.
Batttages : fauche et séchage du foin Marie Couillault raconte la fauche à laquelle elle participait. première partie d’une piste découpée
Battages : utilisation du seigle comme liens des gerbes des autres céréales. Marie Couillault raconte le battage et l’utilisation du seigle comme liens des gerbes des autres céréales. deuxième partie piste découpée