Item : C’était un soir par un beau clair de lune (enq.)

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Général

Description

Marie-Martine Burgaud interprète la romance « C'était un soir par un beau clair de lune » ou « Quand reviendront les roses » qui évoque un amour malheureux. Marie-Martine Burgaud a appris cette chanson à l’usine.

Indications géographiques et culturelles

Lieux
Ker Pierre Borny, Port-Joinville, L'Île-d'Yeu
Langues
Français
Contexte d'enregistrement
Chez l'habitant

Données d'archivage

Cote
UPOI_ATP_0002_0014_005
Cote de l'item dans l'institution partenaire
MUS1967.60.5

Données techniques

Durée estimée
00:03:27

Médias associés

Description

Genres

Domaine(s)
Chanson

Texte/Paroles

Incipit

C'était un soir par un beau clair de lune

Refrain

En voyant cette enfant si jeune et si jolie
Je lui dis en tremblant si tu veux ma chérie
Être à moi pour toujours je ferai bien des choses
Et je t'épouserai Quand reviendront les roses

Paroles

C'était un soir par un beau clair de lune
Fit la rencontre d'un ange aux cheveux blonds
Malgré le froid cette enfant sans fortune
S'en allait seule couverte de haillons
Et la pauvrette indiquant la misère
Etait presque morte de faim
Je la conduit dans mon humble chaumière
Et pour toujours je devins son soutiens

En voyant cette enfant si jeune et si jolie
Je lui dis en tremblant si tu veux ma chérie
Être à moi pour toujours je ferai bien des choses
Et je t'épouserai
Quand reviendront les roses

Mais la pauvrette avait seize ans à peine
Trop jeune encore pour épouser
Vient dans mes bras lui dis-je Madeleine
Car moi je t'aime et je veux t'épouser
Je te le dis et te le redis encore
Tu m'as charmé de toi je suis aimé
Et c'est toi seule toi seule que j'adore
Oh dis moi oui pour calmer ma douleur

En voyant cette enfant si jeune et si jolie
Je lui dis en tremblant si tu veux ma chérie
Etre à moi pour toujours je ferai bien des choses
Et je t'épouserai
Quand reviendront les roses

Le lendemain elle consent au mariage
Trois mois après je devins son époux
J'étais heureux car elle était très sage
J'étais heureux et j'en devenais fou
Fou de douleur ma destinée cruelle
Je la perdis dès son premier bébé
Et ma douleur pour moi fut éternelle
Car mon bonheur n'a pas longtemps duré

En quand revient l'été la nature est jolie
Me rappellent les baisers de ma femme chérie
En voyant cet enfant ce bébé frais rose
Me font rappeler le temps
Où fleurissaient les roses

Voix/Instruments