Item : Corbleu Marion (enq.)
Général
- Titre
- Corbleu Marion (enq.)
- Autre(s) titre(s)
- Les répliques de Marion (ref.)
- Traduction(s) titre(s)
- Morbleu ventrebleu tonnerre de bleu, dis-moi donc toi belle Marion (inc.)
- Description
Joseph Boucard et André Raimondeau (dit Dadaï) interprètent en alternance la chanson "Les répliques de Marion" qui raconte une discussion / dispute ente un homme et une femme, l'homme accuse la femme de le tromper et elle essaye de s'en défendre.
Personnes
- Informateurs
- Joseph Boucard
- André Raimondeau
Indications géographiques et culturelles
- Contexte d'enregistrement
- Chez l'habitant
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_ATP_0004_0007_013
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- MUS1956.10.144
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:02
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Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Refrain
Morbleu ventrebleu tonnerre de bleu, Dis-moi donc toi belle Marion, nom de bleu […] Morbleu […] Nom de bleu […] Oh Sainte Vierge oh ma patronne, oh mon mari, oh mon bel ami, oh mon dieu […] Mon dieu […] J'aime dieu
- Paroles
Morbleu ventrebleu tonnerre de bleu,
Dis-moi donc toi belle Marion,
Nom de bleu
Où étais hier au soir
Morbleu
Y avait plus moyen de te voir.
Nom de bleuOh Sainte Vierge oh ma patronne,
Oh mon mari, oh mon bel ami, oh mon dieu
J'étais à la claire fontaine
Mon dieu
A laver tes bas de laines.
J'aime dieuMorbleu ventrebleu tonnerre de bleu,
Dis-moi donc toi belle Marion,
Nom de bleu
A qui sont ces souliers tous neufs
Morbleu
Qui sont auprès de notre lit ?
Nom de bleuC'était les souliers de tes noces.
Qui était ce personnage, qui était couché à ma place ?
Oh Sainte Vierge oh ma patronne,
Oh mon mari, oh mon bel ami, oh mon dieu
Ce n'était point un personnage,
Mon dieu
C'était une fille de mon village.
J'aime dieuDepuis quand dans ce pays, les filles ont-elles de la barbe aux visages ?
C'est qu'elle avait mangé des mûres, elle s'était barbouillé le visage.
Dans le mois de janvier et février, y a-t-il des mûres dans le murier ?
Tu sais bien que dans le jardin de ton père ils en conserve tout l'hiver.
Tu veux donc faire porter des cornes sur la tête de ton homme.
Pardonne moi cette offense, je t'en ferai bien porter d'autres !