Item : Le portrait (Coi.) / Comment veux-tu que je t’embrasse (Laf.) (fin)
Général
- Titre
- Le portrait (Coi.) / Comment veux-tu que je t’embrasse (Laf.) (fin)
- Autre(s) titre(s)
- Grand dieu, comme je suis si heureux d’avoir ma blonde auprès de moi (inc.) (fin)
- Description
Olive Marche chante la suite de la chanson précédente : celle d'un homme qui peut faire un portrait de son amante.
Joe Kerfont chantait cette chanson.
Olive Marche tente de se souvenir d’une autre chanson. Suite de la chanson commencée à l’item MFLA_COR_0000_0003_005
Personnes
- Enquêteurs
- Mark Cormier
- Informateurs
- Olive Marche
- Stella Renouf
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- MFLA_COR_0001_0003_006
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- C3241-10 C3241-11
- Remarques concernant les données d'archivage
- - Document déposé au Centre scolaire et communautaire Sainte La Grand Terre, octobre 2010 par Ronald Labelle. - Inventaire et transcription par Steeve Ferron.
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:11
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
suite du MFLA_COR_0000_0003_005
Tu penses à rien qu'à ce qu'elle vienne
Qui sont pour toi tu veux que moiNon, non, non, non Ma chère
A toi je y pens'rai toujours
Je f'rai tirer un portrait de ton image |
Cent fois le jour t'embrassera | bisQuoi c'qu'ils diront tes camarades |
De toi embrasses ce te portrait | bis
Tu lui diras qu'c'est le portrait d'ta Nanette |
Celui qu'ton coeur a tant aimé | bisLe vingt et un du mois d’avril / chers camarades, il faut partir.
Il faut partir pour l’Angleterre / parce que le roi nous déclare la guerreA l'Angleterre, je suis arrivé, / cent coups de canons oh il fallu tirer
Dessus l'avant comme sur l'arrière / le sang coulait comme une rivièreOh lendemain matin, au point du jour, / le quartier-maître vient faire son tour
Le quartier-maître vient faire son tour / si y a personne de blessé à bordNon, non, non, non, mon quartier maître à l'aventure
Oui y a un p'tit quartier-maître qui était blessé
C'est un petit quartier-maître qui était blessé sur la dunetteOh bien mon maître, mon beau quartier-maître,/ a-vous d'regrets d'mourir ici
Le seul regret qu-j'ai d'mourir, / c'est d'mourir sans voir ma blondeOh quartier-maître, belle aventure, / j'allons la faire venir
Tant loin, tant loin, la voir venir / d'un mouchoir blanc ça c'est sûrTrop tard trop tard ma très chère blonde, / parce que ma blessure est trop profonde
Tu me voirais porter en terre / par quatre officiers d'la marine