Le père et la mère de Louis Martin chantaient à la veillée pendant qu’ils cassaient les noix récoltées pour en faire de l’huile.
L’informateur évoque un premier journal qui est apparu avant Le “Subiet” lorsqu’il avait 12 ans. Il l’achetait car aimait le patois et en avait appris un monologue composé par un jeune homme de la Vallée, une histoire authentique, qu’il chante encore.
Louis Martin est allé à l’école jusqu’à 13 ans et a obtenu son certificat d’études.
Il compose encore des chansons et les écrit. Il a dernièrement envoyé une nouvelle chanson “Une dame de Pont-l'Abbé”.