Item : Le chant des échos (enq.)

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Général

Description

M. Rousseau interprète la chanson des échos, vieille chanson française parlant de naufrage et de la solitude des marins.

Indications géographiques et culturelles

Lieux
port-joinville
Contexte d'enregistrement
Chez l'habitant

Données d'archivage

Cote
UPOI_ATP_0002_0009_017
Cote de l'item dans l'institution partenaire
MUS1967.44.178

Données techniques

Durée estimée
00:04:03

Médias associés

Description

Genres

Domaine(s)
Chanson

Texte/Paroles

Incipit

Sous le ciel étoilé dans la montagne

Refrain

Je n'entends pas l'air des violons / Qui versent des flots d'harmonie

Paroles

Sous le ciel étoilé
Dans la montagne
Pauvre pâtre isolé
Et sans compagne
Dans tes sentiers perdus
Tout blancs de lune
Oh pâtre qu'entends-tu
Dans la nuit brune

Je n'entends pas l'air des violons
Qui versent des flots d'harmonie
Pour les heureux de la vie
Sous le beau luxe des grands salons
Mais j'entends dans la montagne
Ce rime langoureux et plus beau
C'est lorsque la nuit nous gagne
La chanson des echos

Au large sur la mer
Sous la rafale
Marin au regard clair
Qui mord le hâle
Sous ton canot abattu,
Tout blanc d’écume,
Ô marin qu’entends-tu,
Au fond des brumes?

Je n’entends pas l’air des violons
Qui versent des flots d’harmonie
Pour les heureux de la vie,
Sous le beau luxe des grands salons,
Mais mon vieux clocher qui sonne
Me fait rêver le soir au bord des flots,
Lorsque s'avance la tourmente
La chanson des échos

Dans ta tranchée, là-bas,
Tout sommeille
Après de durs combats,
Soldat qui s'éveille
Sous ton mur abattu
Plus rien ne bouge.
Ô soldat, qu’entends-tu
Dans la nuit rouge?

Je n’entends pas l’air des violons
Qui versent des flots d’harmonie
Pour les heureux de la vie,
Sous le beau luxe des grands salons,
Mais une rumeur de gloire
Me fait chanter là-haut,
C’est un chant de victoire
Que nous apportent les échos

Voix/Instruments