Item : C'était pour un lundi matin (enq.)
Général
- Titre
 - C'était pour un lundi matin (enq.)
 
- Autre(s) titre(s)
 - Le marié est désormais le maître (ref.)
 
- Description
 Joseph Ricolleau interprète "C'était pour un lundi matin" qui raconte le départ de la mariée de chez son père pour aller à la messe. Son amant lui dit qu'il est désormais son maître. Les enquêtrices précisent que c'est la chanson de cortège de la mariée, de la maison de la mariée à l'église.
Personnes
- Informateurs
 
Indications géographiques et culturelles
- Langues
 - Français
 
- Contexte d'enregistrement
 - Chez l'habitant
 
Données d'archivage
- Cote
 - UPOI_ATP_0004_0011_005
 
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
 - MUS1956.10.190
 
Données techniques
- Durée estimée
 - 00:02:54
 
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
 - Chanson
 
Texte/Paroles
- Paroles
 C'était pour un lundi matin (bis)
Que son père l'amène à la messe. (bis)Les tambours et les violons / qui accompagnent la mariée.
Mais quand ça fût sur les 10 heures (bis)
La mariée baissait la tête / c'était de peur qu'on la connaisse.Mais quand ça fût sur les 11 heures / la mariée paraît chagrine.
Son mari lui a demandé (bis)
Qu'avez-vous donc ma douce amie ? / Que vous paraissez si chagrine ?Amant je voudrais m'en aller / tout droit au logis chez mon père.
Chez ton père, belle, tu n'iras pas. (bis)
Chez ton père tu étais maîtresse / mais à présent je suis ton maître.