Item : Ma femme c’est aujourd’hui (enq.)
Général
- Titre
- Ma femme c’est aujourd’hui (enq.)
- Description
Urbaine Jounault chante une chanson qui expose une dispute entre femme et mari qui surenchérissent des menaces.
Personnes
- Enquêteurs
- Martine Roy
- Pierre Morin
- Dominique Bernard
- Informateurs
- Urbaine Jounault
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0006_0003_007
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00002b piste 1fin – Item 8
Données techniques
- Durée estimée
- 00:02:31
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
Ma femme, c’est aujourd’hui / que commence la danse,
et je n'veux pas faire de bruit / à tout c’que je pense.
Depuis qu’nous sommes mariés / tous nos amours sont vides.
Tu vas au cabaret / pour y boire ta chopine.Hélas ! qu’est c’que j’entends / autour de mes oreilles.
C’est toi vilain gourmand / qui va boire ta bouteille.
Je t’ai vu hier au soir / avec la mère Jeannette,
tu prenais du tabac / dans sa tabaretière.Moirbleu que dis-tu là ? / Tu montes ma colère.
Je casse tous tes plats / et toutes tes soupières,
tes casseroles et tes pots / tes verres et tes assiettes ;
à grands coups de sabots / j’en ferai d'la poussière.Si tu casses mes plats / mes verres et mes assiettes,
j'ferai bin cor plus beau : / j'mets le feu dans ta couchette.
En parl'ra qui voudra / pour moi j'm’en soucie guère,
c’est toi vieux Nicolas / qui paiera les frais de l’affaire.Si tu brûles mon lit / je te l'colle sur la tête.
Promptement sors d’ici / car je prends ma baguette.
Tu portes les cotillons / moi je porte la culotte,
à grands coups de bâtons / je te dress'rai les côtes.Si tu prends un bâton / pour me cogner sur la tête,
je t’arrache les cheveux / pour me faire des jarretières.
En parl'ra qui voudra / pour moi j'm’en soucie guère,
c’est toi vieux Nicolas / qui paiera les frais de l’affaire.Un moment, halte là / ma petite Jeannette.
Avec tous tes embarras / c’est moi qui suis le maître.
Il n’y a plus de pardon / du coup rien ne m’arrête.
Je vais te mettre en prison / dans le toît à la chèvre.Mon mari, c’est assez / apaise ta colère.
Le vin du cabaret / ne me f'ra plus tourner la tête.
Embrassons-nous tous deux / j'te serai toujours fidèle
et pi n'me parle plus / d'me mettre avec ta chèvre.