Personne : Roy Martine

Prénom
Martine
Nom
Roy
Civilité(s)
Mme
Alias

Rôles

Enquêteur

Naissance

Date de naissance
Lieu de naissance

Décès

Date de décès
Lieu de décès
Biographie
URI

Contributions

Enquêteur

Item Description
Coutumes de Noël : bûche et pain On entend les stagiaires qui sont dans la rue et qui demandent à une voisine pour entrer chez la dame qu’ils veulent enquêter. C’est là que la voisine leur dit qu’elle a 83 ans et qu’elle a une bonne mémoire. Les enquêteurs lui demandent si il y avait des coutumes pour Noël
Evocation de comptines Deux enquêtrices questionnent Mme Chataigneau à propos de comptines qu’elle pourrait connaître. Mme Chataigneau cherche mais ne se souvient pas, mis à part un fragment d’une poule sur un mur.
Coiffes et tenues portées à la fin du XIXe siècle Mme Chataigneau évoque les tenues vestimentaires qu’elle a pu voir chez les femmes et les hommes de son entourage, ainsi que les coiffes et bonnets des alentours de Gençay, là où elle a vécu. Elle invite les enquêtrices à entrer chez elle pour rencontrer son mari.
Le grenadier et la fille laide (Coi.) M. Chataigneau interprète la chanson de marche « C’était dans une jolie ville il y a de charmantes filles » dans laquelle les parents d’une jeune fille enceinte vont demander au cantonnier responsable de se marier, mais celui-ci refuse.
J’ vais vous chanter un’ chansonnette (enq.) M. Chataigneau interprète la chanson « J’vais vous chanter une chansonnette » dans laquelle un homme raconte ses rencontres avec des filles qui ont toutes un « n’importe quoi ».
Les scieurs de long (Coi./Laf.) (fragment) M. Chataigneau commence à chanter la chanson des scieurs de long mais ne se souvient plus de la totalité des paroles.
Ah ! qu’ l’envie m’y démange (inc.) M. Chataigneau interprète la gavotte de danse « Ah ! qu’ l’envie m’y démange ».
Le déjeuner oublié ou la danse du troupeau (Coi.) / Les moutons égarés (Laf.) M. Chataigneau interprète un fragment de la chanson « Quand j’étais chez mon père j’allais aux champs aux gorets » mais ne se souvient pas de la suite.
Le bouc à José (enq.) M. Chataigneau interprète quelques couplets de la chanson Le bouc à José, dans laquelle un homme et sa femme vont vendre leur bouc mais ne parviennent pas à le faire avancer. Il ne se souvient pas de l’ensemble des paroles
Le bavardage des femmes (doc.) M. Chataigneau interprète la chanson populaire de 1857 « Le bavardage des femmes » qui décrit le comportement bavard des femmes. Il s’arrête avant la fin.
T’es saoul goret, t’as bu (doc.) M. Chataigneau danse en chantonnant un air, ce qui fait rire les personnes présentes. Il chante ensuite la gavotte de danse « T’es saoul goret », en dansant.
C’est la fille de la meunière (enq.) M.et Mme Chataigeau interprète la gavotte de danse C’est la fille de la meunière. On entend des pas de danse, probablement de M. Chataigeau. La mazurka double est évoquée à propos d’un autre air.
Si tu voulais chatouiller mon lézard (enq.) Sur demande des personnes présentes, M. Chataigneau fredonne un air de scottish. Poussé par tout le monde, il la chante avec des paroles, en compagnie de sa femme : Si tu voulais chatouiller mon lézard.
Le petit ageasson (Coi.) / L'ageasson (Laf.) Mme Chataigneau évoque une offrande faite le jour de la fête-dieu. Puis M. Chataigneau interprète la chanson Au printemps la mère ajhasse dans laquelle une mère pie donne naissance à un petit. A la fin de la chanson, on entend M. chantonner un refrain qu’il avaient chanté à une mariée lors d’une noce.
Pour bien la dansa vive la limousine (enq.) M. Chataigneau interprète la gavotte de limousine « Pour bien la dansa vive la limousine ». On peut entendre des tests d’enregistrement à la fin de l’item.
Ce n’est pas toi que nous voulons (enq.) M. Soulard interprète la ritournelle de conscrits « Ce n’est pas toi que nous voulons ». On entend les enquêteurs rigoler à la fin de la chanson. Cette ritournelle était chantée par les conscrits lorsqu’ils allaient chez les filles de leur âge pour qu’elles leur donnent une poule.
J'ai des poul' à vendre / J’ai des pommes à vendre (réf.) Mme Ayrault et Jeanne Roy chantent deux versions différentes d'une même chanson. Il s'agit d'une chanson sur des pommes de couleur blanche ou rouge qui se retrouvent en grand nombre dans un grenier.
Conscrit faut pas pleurer (enq.)(fragment) Maximilien Roy interprète une chanson qui débute par "Conscrit il ne faut pas pleurer en quittant ton village". Il évoque aussi la chanson de la poulette.
Elle est morte la chèvre à Margot (enq.) Mme Marie-Eugénie Roy chante une courte phrase musicale sur la chèvre à Margot.
L'avocat gourmand / J’aime pas ça (réf.) (début) Madame Odette Bernard chante le début de la chanson de l’avocat dans laquelle celui-là va à la foire puis dans une auberge. Elle explique ensuite qu'il existe une autre version avec des mots qui changent et chante cette seconde version. Dans la seconde version, l'avocat s'étouffe avec une arête de poisson. Fin de la chanson dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_006
L'avocat gourmand / J’aime pas ça (réf.) (fin) Odette Bernard chante la suite de la chanson de l'avocat entendue dans l'item précèdent. A la fin de l'enregistrement elle explique que deux versions existent. Ambiance de veillée en fond sonore. Suite de la bande GDC00038 - Veillée à Cherves. Le début de la chanson est dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_005
L'avocat gourmand / J’aime pas ça (réf.) (début de la seconde version) Mme Roy interprète le début d’une seconde version de la chanson de l'avocat en compagnie du choeur des personnes présentes lors de la veillée. La chanson de l'avocat évoque un avocat qui part à Paris avant de se rendre dans une auberge pour y manger. Mme Roy a du mal à se souvenir des paroles ainsi que de la mélodie. Il est précisé que cette version ne se danse pas, qu'elle devrait être plus rapide et plus sauté. Suite et fin de la chanson dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_008
L'avocat gourmand / J’aime pas ça (réf.) (fin de la seconde version) Mme Bernard interprète la fin d’une seconde version de la chanson de l'avocat en compagnie du choeur des personnes présentes lors de la veillée. La chanson de l'avocat évoque un avocat qui part à Paris avant de se rendre dans une auberge pour y manger. Fin de la chanson débuté dans l'item UPOI_GDC_0008_0001_007.
Chauffe du four : techniques pour chauffer le four et aliments M. Huet se sert du four pour montrer ce qu'il est possible d'y faire cuire tout en prenant le temps de bien expliquer la technique et les étapes à suivre afin d'obtenir un four bien chaud. Deux photographies se trouvent dans les transcriptions fournies par Pierre Morin.
Chauffe du four : fonctionnement du four et test du journal Les enquêteurs partagent un moment avec Xavier Huet, qui leur explique le fonctionnement du four et sa préparation afin d'obtenir une température adéquate. La suite de l'enregistrement se trouve dans l'item UPOI_GDC_0008_0008_003
Chauffe du four : dimension et cuisson d'aliments et type de chaleur. Faire monter son levain. M. Huet discute autour du four qui chauffe. À l'intérieur sont cuits des tartes, de la pâte à pain que des rôtis. M. Huet parle de divers thèmes tels que la difficulté de faire lever la pâte à pain l'hiver, la tâche ardue d'attraper un cochon en liberté ou encore le courage qu'avait sa grand-mère à s'occuper seule du four pour le faire chauffer et y cuire ses aliments. Suite et fin de l'item UPOI_GDC_0008_0008_002
La plus aimable à mon gré (Coi.) / C’est la plus belle de céans (Laf.) Urbaine Jounault interprète une version de la plus belle à mon gré, chanson qui accompagne une danse qui forme des couples. On retrouve dans les paroles la figure de la bergère. L’enregistrement est entrecoupé mais on peut tout de même en distinguer une version avec des paroles complètes. Notes de Pierre Morin dans son fichier de transcription : Sur la première partie une farandole de danseurs passe sous un pont formé de deux personnes. Les danseurs se mettent ensuite en rond avec celle qui mène la farandole au milieu, elle choisit ensuite un garçon. Le couple s’exécute et forme ensuite le prochain pont et la danse recommence.
Mère mariez-moi cet an (Coi.) Urbaine Jounault chante un chanson qui livre un dialogue entre une fille et sa mère. La fille souhaite se marier avec l’homme qu’elle aime, la mère lui expose plusieurs prétextes contre (il n’a pas de fortune, il sera ivrogne, il la tromperait…) et la fille répond à chaque fois en trouvant des arguments qui s’y opposent. La chanson n’est pas tout à fait fluide, Mme Jounault met parfois un peu de temps à se remémorer les paroles et les enquêteur.rice.s l’aident.
La belle qui veut épouser un négociant (Coi.) Urbaine Jounault interprète une chanson qui énonce tous les métiers d’un futur époux. Chaque couplet dévoile les raisons de refuser le menuisier, le cordonnier et d’autres métiers d’artisanat. La belle finira par choisir un négociant.
Mon père me donne en mariage (enq.) Urbaine Jounault chante une une chanson très courte qui parle des offrandes dans un mariage. On retrouve cette chanson dans une version plus longue dans la troisième enquête auprès d’elle.
Voici le printemps ou Le refus de changer de maîtresse (Coi.) Urbaine Jounault interprète une version de la chanson le bon vin m’endort dont il existe de multiples versions.
Le vieillard au bâton de vert pommier (Coi.) / La mariée battue (Laf.) Urbaine Jounault chante une chanson de mal mariée : une fille se plaint à sa mère d’être mariée avec un vieillard qui veut la battre.
Quand la bergère s’en va-t-aux champs (Coi.) / La bergère facile (Laf.) Urbaine Jounault chante Quand la bergère s’en vait au champs qui parle de la rencontre entre une bergère et un cavalier. La bergère fini par annoncer à sa mère qu’elle accepte les avances. C’est la fin d’une bande avant les deux derniers couplets, Pierre Morin a dû lui demander pour enregistrer la suite après avoir remis une autre bande. Il y a des problèmes de coupures sur ces deux derniers complets, ils sont entrecoupés. Suite de deux pistes différentes sur deux bandes distinctes.
Avant-deux de quadrille (enq.) Il s’agit d’un avant-deux de quadrille turlutté avec quelques paroles.
En avant-deux les gens do peux (inc.) Il s’agit d’une gavotte de danse. Urbaine Jounault propose des paroles en poitevin-saintongeais puis refait la mélodie en tralala. Elle propose ensuite des paroles en français qui semblent être une autre variante locale avec les noms de personnes du coin en reprenant ensuite en tralala comme si l’alternance paroles/tralala était structurelle.
Moe qu’ietet dans la debine (enq.) Urbaine Jounault interprète Moe qu’ietet dans la debine, une chanson en poitevin-saintongeais.
La chèvre au Parlement (Coi./Laf.) Urbaine Jounault interprète , Chez nous iaviont in’ grand’ chèvre une chanson en poitevin-saintongeais.
Le moine mis à coucher avec la fille aînée (Coi.) / Le bonhomme mouillé à l’hôtel ; Le bonhomme mouillé : les souliers ; Le pauvre homme et la dame (Laf.) Urbaine Jounault chante une chanson en poitevin-saintongeais. Elle raconte l’histoire d’un marchand qui rencontre une femme qui veut le donner à sa fille mais celle-ci refuse.
A la foère d’Amailloux (enq.) Cet item est très court, Urbaine Jounault chante uniquement le tout début de la chanson.
La fille de Parthenay (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante une chanson sur une fille volage de Parthenay et sur la vision qu’en ont ses parents.
C’est le temps où la bergère (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson de bergère aux champs qui parle du printemps.
La bergère aux cinq cents moutons (Coi.) / Mon père avait cinq cents moutons (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de mon père avait cinq cents moutons.
Et puis dame c’est tout (enq.) Urbaine Jounault chante une forme brève que le chanteur chantait lorsqu’il en avait marre d’être sollicité, pour terminer.
Le petit mari - Le mari perdu et retrouvé ; Les mésaventures du petit mari ; La jeune mariée qui chasse son mari du lit (Coi.) / Le petit mari ; Le nouveau marié piqué (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de mon père m’a mariée à un vieillard point à mon gré où le vieillard se fait manger par le coq puis par le chat.
La danse des bourguignons (enq.) Urbaine Jounault chante une gavotte de danse. Dans sa transcription, Pierre Morin nous explique la danse correspondante : sur la première partie, les danseurs évoluent en couple en pas de polka sur un cercle ou dans le désordre. Sur la deuxième partie ils se tapent le derrière sur celui d’un autre couple après avoir fait un tour sur eux-mêmes.
La paskovia (enq.) Urbaine Jounault chante l’air de la paskovia. Elle indique sur le premier thème que les danseurs se donnent la main. Dans sa transcription, Pierre Morin précise que sur le premier thème musical ils vont côte à côte en se tenant par une main plutôt levée au niveau de l’épaule. Sur le deuxième thème, les danseurs se lâchent et à petits pas ils font un tour puis se saluent dans un sens et dans l’autre deux fois (on peut également le faire à quatre en alternant les personnes que l’on salue). Ils repartent ensuite en se redonnant la main, ce peut être dans l’autre sens.
Voyez-vous ce p'tit galopin (enq.) Urbaine Jounault chante cette gavotte de danse qui est une mazurka.
Notre saint père le pape (enq.) Urbaine Jounault nous propose une gavotte de danse à propos du pape qui aime les filles et les garçons sur l’air de l’autrichienne.
Jean Brisquet (enq.) Urbaine Jounault chante sa version de Jean Brisquet. Elle commence par deux couplets avec des paroles puis une deuxième partie mélodique en tralala.
Colin était du village (enq.) Urbaine Jounault essaie ici de se rappeler des paroles de Colin était du village. Les paroles données sont très parcellaires, mais elle raconte que l’on oubliait fréquemment les paroles et que ça en devenait amusant car on remplaçait les paroles en imitant le bruit du chalumeau comme lors du refrain.
En passant par la Lorraine ou C'était Anne de Bretagne (Coi.) / En passant par la Lorraine (Laf.) Urbaine Jounault chante cette chanson qui reprend l’histoire d’Anne de Bretagne ou de En passant par la Lorraine mais sans évoquer aucun des deux. Cette version comporte un refrain.
Le rossignol et son latin ou Gentil coquelicot (Coi.) / La belle au jardin (Laf.) Urbaine Jounault chante une chanson qui reprend la thématique des garçons qui ne valent rien contrairement aux filles.
Pis a sent l’bouc (enq.) Urbaine Jounault chante cette chanson qui reprend les plaintes d’un mari à propos de sa femme, il cite tous les inconvénients, tout en disant pourtant qu’ils lui plaisent. Cette chanson est entièrement construite sur l’ironie.
Pierre le bossu (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson à propos de la rencontre entre le bossu et la boiteuse qui décident de se marier ensemble.
Le billet partagé (Coi.) Urbaine Jounault chante une version du billet partagé.
Dans ton lit (enq.) Urbaine Jounault chante des paroles peu communes sur un air de scottich bien connu dans le Poitou : Ton petit chien. Dans une autre enquête Urbaine Jounault reprend cet air sous le titre de la berceuse. Cet air est également joué actuellement sous le nom de Ton petit chien.
Chez nous dans le temps (enq.) Urbaine Jounault chante Chez nous dans le temps, une polka galopante, accompagnée par sa sœur Juliette Laurendeau.
Un, deux, trois, quatre (enq.) Urbaine Jounault chante cette forme brève qui expose un jeu dansé.
Les regrets des parents qui marient leur fille (Coi.) / La mère pleure aux noces (Laf.) Urbaine Jounault chante une chanson à propos d’un mariage qui s’annonce d’ores et déjà malheureux pour la fille. On retrouve dans la chanson plusieurs symboles des chansons traditionnels : le pont de Nantes, la Saint-Jean, le rossignol.
Tu m’écris (enq.) Dans cet item, Urbaine Jounault chante le premier couplet d’une chanson populaire à propos d’une rupture amoureuse.
La mort du colonel (Coi./Laf.) Urbaine Jounault et sa sœur Juliette Laurendeau chantent ensemble une version de La mort du colonel.
Ma femme c’est aujourd’hui (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson qui expose une dispute entre femme et mari qui surenchérissent des menaces.
Le soldat qui trouve sa mie morte (Coi.) / Le retour du soldat : sa blonde morte ; Le jeune voyageur inconsolable (Laf.) Urbaine Jounault chante une version du soldat qui trouve sa mie morte alors qu’il vient lui rendre visite pendant un congé.
En revenant de la veillée (enq.) Urbaine Jounault chante cette chanson qui est une composition, elle relate une discussion entre Lisette et sa mère à propos des garçons.
Dans mon pays il y a (enq.) Urbaine Jounault chante Dans mon pays il y a qui raconte une histoire d’amour entre une couturière et un boulanger qui couchent ensemble.
Enfin nous te tenons (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson qui relate un dialogue entre une souris et une petite fille.
Elle avait vingt ans de courage (enq.) Urbaine Jounault chante uniquement le premier couplet d’une chanson d’amour.
Renaud le Barbe-Bleue (Coi.) / Renaud, le tueur de femmes (Laf.) Urbaine Jounault chante une version du traître noyé. On entend en arrière plan sa sœur Juliette Laurendeau qui se met à chanter avec elle.
Mon père a fait bâtir maison I ou Le pâté de trois pigeons (Coi.) / Le pâté de trois pigeons (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de Mon père a fait bâtir maison, elle précise qu’elle chantait ça quand elle allait se promener. Dans l’item suivant il y a une autre version de cette chanson.
Mon père a fait bâtir maison I ou Le pâté de trois pigeons (Coi.) / Le pâté de trois pigeons (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de Mon père a fait bâtir maison. A la fin de l’item on entend qu’elle reprend une autre chanson mais celle-ci est coupée. Dans l’item précédent il y a une autre version de cette chanson.
Les garçons du village ne savent point faire l'amour ou L'engagé pour Bourbon (Coi.) / Je me lève à l’aurore du jour (pro parte) (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de Les garçons du village ne savent point faire l'amour.
Et pi v’la l’bout (enq.) Urbaine Jounault chante une forme brève.
La foire aux maris (enq.) Urbaine Jounault chante La foire aux maris, une chanson de rue pour filles à marier.
Le moulin de mon grand-père (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson populaire. Elle précise à la fin qu’il y a quatre couplets mais elle ne s’en souvient plus et ne chante que les deux premiers. On entend à la fin sa sœur Juliette Laurendeau lui souffler des paroles mais la suite ne lui revient pas en mémoire.
Le canard blanc (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante Derrière chez nous il y a un étang.
Le pauvre soldat qui revient de guerre (Coi.) / Le retour du mari soldat : trois enfants (Laf.) Urbaine Jounault chante Pauvre soldat se rendant de guerre qui raconte l’histoire d’un soldat qui revient de son service et qui retrouve sa femme mariée avec un autre. Il meurt alors de chagrin.
Mon père me donne en mariage (enq.) Urbaine Jounault chante Mon père me donne en mariage, la chanson fait rire l’assemblée. On retrouve cette chanson dans une version plus courte dans la première enquête.
Colin était du village (enq.) Urbaine Jounault chante Colin était du village. On retrouve cette chanson dans d’autres enquêtes avec des versions différentes.
Jeu avec du charbon (doc.) Urbaine Jounault raconte un jeu avec un banc et du noir de charbon.
On donnait des gages (enq.) Juliette Laurendeau, la sœur d’Urbaine Jounault explique un jeu. Ce jeu s’apparente au cache-mimi.
La lune se lève (enq.) Urbaine Jounault raconte un court jeu de veillée qui est un jeu de sous-entendus.
Un gorét sprmène (enq.) Urbaine Jounault récite une forme brève.
Chez nous dans le temps (enq.) Urbaine Jounault chante Chez nous dans le temps, une polka galopante qui alterne des paroles et du tralala.
Où vas-tu belle boiteuse (Coi.) / Boiteux hermite ; Petite boiteuse (Laf.) Urbaine Jounault chante une version de Où vas-tu belle boiteuse.
La tour prends garde (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante La tour prends garde et donne quelques explications sur la danse qui lui correspond.
Quand la Mer Rouge apparut (Coi.) / Notre grand-père Noé (Laf.) Urbaine Jounault chante une courte chanson, il s’agit d’une version de Quand la mer rouge apparut.
Monsieur le curé cirez vos bottes (doc.) Urbaine Jounault chante une gavotte de danse qui alterne une partie avec des paroles et une partie en tralala. Cela semble être un air à danser.
Enfin nous te tenons (enq.) Urbaine Jounault chante Enfin nous te tenons qui est un dialogue entre un oiseau et des enfants qui l’ont attrapé mais qui le relâchent à la fin de la chanson.
Le moulin de mon grand-père (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson populaire qui relate des souvenirs avec des grand-parents.
J’faisons noutre toilette (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson à moitié en poitevin-saintongeais et à moitié en français qui parle d’une rencontre amoureuse avec le terme récurrent de « sabiots d’bois ». Il y a une partie en tralala sur laquelle elle précise qu’on tape des pieds.
Le chasseur fatigué (Coi.) Urbaine Jounault chante Ah ! Que la chasse est belle qui parle d’un chasseur amoureux dont la belle refuse les avances.
Colin était du village (enq.) Urbaine Jounault chante Colin était du village dans une version complète.
E pi trjhou Jhul disait (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson à moitié en français et à moitié en français qui parle de Lucie qui n’est pas satisfaite de son mari Jhul qui a trop peur. Elle précise à la fin qu’elle pense avoir sauté des couplets.
Je suis le rémouleur (enq.) Urbaine Jounault chante le premier couplet et le refrain d’une chanson de rémouleur dans lesquels celui-ci vente les mérites de son métier et de sa meule. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation de chansonniers du 19ème siècle.
Tout le long du chemin (inc.) Urbaine Jounault chante le début d’une chanson sur un rémouleur mais elle s’arrête en disant : « Non c’est pas ça».
Tout en passant par la ville (enq.) Urbaine Jounault chante un chant de rémouleur mais il n’y a que des bribes, la chanson est incomplète et il est difficile d’en comprendre la structure. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation et que souvent la chanson était accompagnée de mimes du rémouleur. On retrouve la chanson dans une version différente dans l’enquête suivante.
La fille au cresson (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante l’histoire du galant qui rencontre Jeanneton et avec qui il va à la fontaine cueillir du cresson.
Je suis le rémouleur (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson de rémouleur qui s’intitule Je suis le rémouleur. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation chanté par un chansonnier du 19ème siècle.
Tout en passant par la ville (enq.) Urbaine Jounault chante Tout en passant par la ville dans une version avec deux couplets et un refrain. Pierre Morin précise dans sa transcription qu’il s’agit d’un chant de corporation et que souvent la chanson était accompagnée de mimes du rémouleur.
Qu’est-ce qui passe ici si tard (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante les deux premiers couplets de la chanson Pan pan pan pan, ensuite la bande coupe mais elle a donné la fin des paroles aux enquêteur.rice.s. On entend au début de l’item un très court passage d’une discussion où Juliette Laurendeau intervient sur quelque chose qu’elle faisait sur ses genoux avec ses mains.
L'amant confesseur (Coi./Laf.) Urbaine Jounault chante l’histoire d’un galant qui se fait passer pour un prêtre confesseur pour vérifier que sa belle n’aime bien que lui.
J’ai rencontré ma mignonnette (enq.) Urbaine Jounault chante J’ai rencontré ma mignonnette à moitié en français et à moitié en poitevin-saintongeais.
Que les amants sont insouciants de se mettre en ménage (Coi.) / Adieu de la mariée à ses parents (Laf.) Urbaine Jounault chante Là-haut sur la montagne. Elle dit à la fin qu’elle ne se souvient plus ce, qui laisse imaginer que la chanson a d’autres couplets.
A qui la dansera la mieux (enq.) Urbaine Jounault chante une chanson à propos de la danse de la guimbarde qui correspond à la danse du même nom. Notes de Pierre Morin : « On danse en pas ternaires sur le couplet. On lève la jambe alterné pas ternaire sur le refrain ; on frappe les mains sous la jambe levée. Pouvait se faire avec ou sans bâton par deux. »
Piquez belle Madeleine (enq.) Urbaine Jounault chante Piquez belle Madeleine, une gavotte de polka piquée.
La berceuse (inf.) Urbaine Jounault chante une scottich, en tralala puis après avec des paroles. Elle explique que pour la danse "on tourne en berçant". Dans une autre enquête Urbaine Jounault reprend cet air avec plus de paroles sous le titre Dans ton lit. Cet air est également joué actuellement sous le nom de Ton petit chien.
Il a fort bien chanté (enq.) Urbaine Jounault chante une courte ritournelle pour féliciter un bon chanteur qui dit qu’il faut boire à sa santé.
T’as ben dit (enq.) Urbaine Jounault chante une ritournelle pour féliciter un chanteur après qu’il ait chanté.
Les répliques de Marion (Coi.) / Corbleur, sambleur, Marion (Laf.) Urbaine Jounault chante un dialogue entre deux amoureux. La chanson comporte beaucoup de refrains imbriqués.
Avant-deux du quadrille (enq.) On entend Hilaire Bonnin qui chante l’air, mais l’air est difficile à déterminer. Lorsque Marie Couillault se joint à lui, l’air est clair. Lorsqu’elle a fini, Hilaire et Marie font comprendre que l’air se joue deux fois complètes. On entend la voix de Jacques Bonnin (membre des Gens de Cherves).
La pastourelle (inf.) Marie Couillault chante l’air, elle précise à la fin qu’il faut le faire deux fois.
Rapidité de danse des quadrilles Les informateurs discutent à propos de la manière de danser les quadrilles. L’enregistrement est de mauvaise qualité ce qui rend parfois le propos inaudible.
La berline (inf.) Suite à la demande de l’enquêtrice, Marie Couillault chante l’air de la berline, elle précise que ça se dansait avec un pas de polka avant de reprendre l’air une deuxième fois.
La danse à l’ours (inf.) Plusieurs témoins et des gens de Cherves dansent la danse à l’ours qu’ils chantent en même temps. Marie Couillault confirme.
Explications de la danse Jean Brisquet Marie Couillault chante l’air de Jean Brisquet et avec les autres témoins, elle explique la danse. Les explications sont partielles à cause de coupe de la bande et du brouhaha par moment mais aussi car les témoins ont des souvenirs manquants.
La gatinelle (inf.) (fragments) Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air puis les témoins discutent de la danse par bribes. On devine que Simone danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0010 et UPOI_GDC_0007_0001_0013 avec des informations supplémentaires. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Galop du quadrille (inf.) (fragments) L’enregistrement commence avec Martine Roy qui essaye de reproduire un air qu’elle a entendu. Marie Couillault chante ensuite le galop du quadrille. Il n’y a que des fragments, il est difficile d’en comprendre la mélodie en entier. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0003_0005 et UPOI_GDC_0007_0002_0005
La gigouillette Marie Couillault chante l’air de la gigouillette au tralala. La bande contient quelques bruits parasites mais la mélodie est intelligible.
Polka piquée (enq.) Marie Couillault et Simone Bonnin chantent l’air au tralala sur la première partie et avec des paroles sur la deuxième. A la fin, elles parlent d’une scottich qu’elles n’arrivent pas à retrouver. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0007, où Pierrot Morin lui donne le nom de Bonjour cabaretière.
Valse vienne (inf.) Marie Couillault chante l’air, apparemment des témoins la dansent en mazurka, alors elle précise à la fin qu’il s’agit d’une valse vienne. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0002_0008
Début d’un air de mazurka (enq.) Marie Couillault chante au tralala l’air d’une mazurka mais la bande coupe, il manque la fin.
Danse de la gatinelle : contexte et danse Marie Couillault explique comment se danse la gatinelle et dans quel contexte elle était dansée. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0007 et UPOI_GDC_0007_0002_0010. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Air de scottich (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala, on entend des danseurs en fond.
L’autrichienne (enq.) Marie Couillault chante la chanson. Elle ajoute à la fin que c’est plutôt les jeunes qui chantaient ça. On retrouve cet air sur UPOI_GDC_0007_0002_0013
Limousine (inf.) Marie Couillault chante l’air au tralala. Elle précise à la fin que c’est une limousine. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0014.
Fragments d’explication d’une danse où l’on saute A cause des coupures les paroles des témoins n’apportent rien de précis sur cette danse où semble-t-il on saute.
Histoire sur la guérison de bœufs par un sorcier L’informateur évoque une vieille famille de Montreuil-Bonnin, la famille Chataignier, ainsi qu’une autre. Il raconte ensuite une histoire dans laquelle un sorcier parvient à faire en sorte que les bœufs d’un homme retrouvent leur appétit. Il donne son avis sur ce qu’il s’est réellement passé. Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension en permanence. Lors de l’enquête, Dominique Bernard avait relevé l’histoire de sorcier que raconte l’informateur. Ce relevé avait été revu par Pierrot quelques temps plus tard.
Surnoms des gens du village L’informateur évoque des surnoms de plusieurs personnes. Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension des propos.
Contes de menteries : les pas dans la nuit, le tir nettoyeur de cheminée, la moitié de lièvre L’informateur raconte des contes de mensonges. La mauvaise qualité de la bande ne permet pas de comprendre ce qui est dit. La transcription provient du relevé effectué au moment de l’enquête
Si l'on me bat, je m'en irai (enq.)(fragment);Rengaine pour se moquer de quelqu'un qui est malade (enq.) Mme Roy recherche puis chante un fragment de chanson ayant pour refrain « Devenez-vous promenez-vous ». Elle évoque également une regaine qui était pronnoncée lorsque quelqu’un disait qu’il était malade mais ne l’était pas en réalité.