Item : Renaud le Barbe-Bleue (Coi.) / Renaud, le tueur de femmes (Laf.)
Général
- Titre
- Renaud le Barbe-Bleue (Coi.) / Renaud, le tueur de femmes (Laf.)
- Traduction(s) titre(s)
- C’était la belle aux cheveux blancs (enq.)
- Description
Urbaine Jounault chante une version du traître noyé. On entend en arrière plan sa sœur Juliette Laurendeau qui se met à chanter avec elle.
Personnes
- Enquêteurs
- Martine Roy
- Pierre Morin
- Dominique Bernard
- Informateurs
- Juliette Laurendeau
- Urbaine Jounault
Indications géographiques et culturelles
Données d'archivage
- Cote
- UPOI_GDC_0006_0003_013
- Cote de l'item dans l'institution partenaire
- GDC 00002c piste 2 début – Item 4
Données techniques
- Durée estimée
- 00:03:49
Médias associés
Description
Genres
- Domaine(s)
- Chanson
Texte/Paroles
- Paroles
C’était la belle aux cheveux blancs, |
que le fils du roi avait emmenée. | bis
Le fils du roi a emmené, |
dans un pays très éloigné.| bisMais quand ils furent_à moitié chemin
la belle dit : - Oh que j’ai grand faim !
- Mangez, mangez belle votre main
jamais d'vot’ vie vous n’aurez faim.Mais quand ils furent_au milieu du bois,
la belle dit : - Oh que j’ai grand soif !
- Buvez, buvez belle votre sang
jamais d'vot’ vie vous n’aurez d'pain.Voyez là-haut, ce grand vivier,
là où trois belles dames j’y ai jetées.
Là, trois belles dames j’y ai jetées,
la quatrième ne va pas tarder.Mais quand ils furent_au bord du vivier,
faudrait belle vous déshabiller.
Ce n’est pas l’honneur d’un cavalier,
de voir les dames déshabillées.Quand l'bel amant entendit ces mots,
il s'couvra la vue de son manteau.
La belle passa par derrière lui,
dans le vivier elle l’a jeté.
La belle passa par derrière lui,
dans le vivier elle l’a plongé.Le bel amant s’est attrapé,
à une branche de laurier.
La belle tira son blanc épée,
coupa la branche de laurier.
La belle tira son blanc couteau,
coupa la branche, il tombe à l’eau.- La main, la main, belle la main,
nous nous unirons dès demain. -
Glissez, glissez monsieur au fond,
voir si vos trois belles dames y sont. -
Que diront-ils tous vos parents,
de vous voir arriver sans amant. - Je leur dirai que j’ai fait de toi,
ce que tu voulais faire de moi.
- La main, la main, belle la main,