Personne : Enquêteur·rices en 1972-05 à Montreuil-Bonnin
- Prénom
- en 1972-05 à Montreuil-Bonnin
- Nom
- Enquêteur·rices
- Civilité(s)
- M., Mme
- Alias
Rôles
- Enquêteur
Naissance
- Date de naissance
- Lieu de naissance
Décès
- Date de décès
- Lieu de décès
- Biographie
Groupe d’enquêteur·rices composé de jeunes des Gens de Cherves, de la maison de jeunes de Croutelle et de celle de Montreuil-Bonnin. On semble reconnaître Martine Roy et Dominique Bernard (GDC)
- URI
Contributions
Enquêteur
Item | Description |
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Coutumes de Noël : bûche et pain | On entend les stagiaires qui sont dans la rue et qui demandent à une voisine pour entrer chez la dame qu’ils veulent enquêter. C’est là que la voisine leur dit qu’elle a 83 ans et qu’elle a une bonne mémoire. Les enquêteurs lui demandent si il y avait des coutumes pour Noël |
Evocation de comptines | Deux enquêtrices questionnent Mme Chataigneau à propos de comptines qu’elle pourrait connaître. Mme Chataigneau cherche mais ne se souvient pas, mis à part un fragment d’une poule sur un mur. |
Coiffes et tenues portées à la fin du XIXe siècle | Mme Chataigneau évoque les tenues vestimentaires qu’elle a pu voir chez les femmes et les hommes de son entourage, ainsi que les coiffes et bonnets des alentours de Gençay, là où elle a vécu. Elle invite les enquêtrices à entrer chez elle pour rencontrer son mari. |
Le grenadier et la fille laide (Coi.) | M. Chataigneau interprète la chanson de marche « C’était dans une jolie ville il y a de charmantes filles » dans laquelle les parents d’une jeune fille enceinte vont demander au cantonnier responsable de se marier, mais celui-ci refuse. |
J’ vais vous chanter un’ chansonnette (enq.) | M. Chataigneau interprète la chanson « J’vais vous chanter une chansonnette » dans laquelle un homme raconte ses rencontres avec des filles qui ont toutes un « n’importe quoi ». |
Les scieurs de long (Coi./Laf.) (fragment) | M. Chataigneau commence à chanter la chanson des scieurs de long mais ne se souvient plus de la totalité des paroles. |
Ah ! qu’ l’envie m’y démange (inc.) | M. Chataigneau interprète la gavotte de danse « Ah ! qu’ l’envie m’y démange ». |
Le déjeuner oublié ou la danse du troupeau (Coi.) / Les moutons égarés (Laf.) | M. Chataigneau interprète un fragment de la chanson « Quand j’étais chez mon père j’allais aux champs aux gorets » mais ne se souvient pas de la suite. |
Le bouc à José (enq.) | M. Chataigneau interprète quelques couplets de la chanson Le bouc à José, dans laquelle un homme et sa femme vont vendre leur bouc mais ne parviennent pas à le faire avancer. Il ne se souvient pas de l’ensemble des paroles |
Le bavardage des femmes (doc.) | M. Chataigneau interprète la chanson populaire de 1857 « Le bavardage des femmes » qui décrit le comportement bavard des femmes. Il s’arrête avant la fin. |
T’es saoul goret, t’as bu (doc.) | M. Chataigneau danse en chantonnant un air, ce qui fait rire les personnes présentes. Il chante ensuite la gavotte de danse « T’es saoul goret », en dansant. |
C’est la fille de la meunière (enq.) | M.et Mme Chataigeau interprète la gavotte de danse C’est la fille de la meunière. On entend des pas de danse, probablement de M. Chataigeau. La mazurka double est évoquée à propos d’un autre air. |
Si tu voulais chatouiller mon lézard (enq.) | Sur demande des personnes présentes, M. Chataigneau fredonne un air de scottish. Poussé par tout le monde, il la chante avec des paroles, en compagnie de sa femme : Si tu voulais chatouiller mon lézard. |
Le petit ageasson (Coi.) / L'ageasson (Laf.) | Mme Chataigneau évoque une offrande faite le jour de la fête-dieu. Puis M. Chataigneau interprète la chanson Au printemps la mère ajhasse dans laquelle une mère pie donne naissance à un petit. A la fin de la chanson, on entend M. chantonner un refrain qu’il avaient chanté à une mariée lors d’une noce. |
Pour bien la dansa vive la limousine (enq.) | M. Chataigneau interprète la gavotte de limousine « Pour bien la dansa vive la limousine ». On peut entendre des tests d’enregistrement à la fin de l’item. |
Ce n’est pas toi que nous voulons (enq.) | M. Soulard interprète la ritournelle de conscrits « Ce n’est pas toi que nous voulons ». On entend les enquêteurs rigoler à la fin de la chanson. Cette ritournelle était chantée par les conscrits lorsqu’ils allaient chez les filles de leur âge pour qu’elles leur donnent une poule. |
Histoire sur la guérison de bœufs par un sorcier | L’informateur évoque une vieille famille de Montreuil-Bonnin, la famille Chataignier, ainsi qu’une autre. Il raconte ensuite une histoire dans laquelle un sorcier parvient à faire en sorte que les bœufs d’un homme retrouvent leur appétit. Il donne son avis sur ce qu’il s’est réellement passé. Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension en permanence. Lors de l’enquête, Dominique Bernard avait relevé l’histoire de sorcier que raconte l’informateur. Ce relevé avait été revu par Pierrot quelques temps plus tard. |
Surnoms des gens du village | L’informateur évoque des surnoms de plusieurs personnes. Les grésillements et la dégradation de la bande empêchent une bonne compréhension des propos. |
Contes de menteries : les pas dans la nuit, le tir nettoyeur de cheminée, la moitié de lièvre | L’informateur raconte des contes de mensonges. La mauvaise qualité de la bande ne permet pas de comprendre ce qui est dit. La transcription provient du relevé effectué au moment de l’enquête |