Personne : Meunier Alain

Prénom
Alain
Nom
Meunier
Civilité(s)
M.
Alias

Rôles

Enquêteur

Naissance

Date de naissance
2019-12-03
Lieu de naissance
Cherves, Poitiers, Vienne, Nouvelle-Aquitaine, France métropolitaine, 86170, France

Décès

Date de décès
Lieu de décès
Biographie

Membre des gens de cherves

URI

Contributions

Enquêteur

Item Description
Chauffe du four : techniques pour chauffer le four et aliments M. Huet se sert du four pour montrer ce qu'il est possible d'y faire cuire tout en prenant le temps de bien expliquer la technique et les étapes à suivre afin d'obtenir un four bien chaud. Deux photographies se trouvent dans les transcriptions fournies par Pierre Morin.
Chauffe du four : fonctionnement du four et test du journal Les enquêteurs partagent un moment avec Xavier Huet, qui leur explique le fonctionnement du four et sa préparation afin d'obtenir une température adéquate. La suite de l'enregistrement se trouve dans l'item UPOI_GDC_0008_0008_003
Chauffe du four : dimension et cuisson d'aliments et type de chaleur. Faire monter son levain. M. Huet discute autour du four qui chauffe. À l'intérieur sont cuits des tartes, de la pâte à pain que des rôtis. M. Huet parle de divers thèmes tels que la difficulté de faire lever la pâte à pain l'hiver, la tâche ardue d'attraper un cochon en liberté ou encore le courage qu'avait sa grand-mère à s'occuper seule du four pour le faire chauffer et y cuire ses aliments. Suite et fin de l'item UPOI_GDC_0008_0008_002
Mazurka (enq.) (fragments) Marie Couillault fredonne une mazurka puis on entend quelques fragments entrecoupés de commentaires. Air en majeur.
Branle joué à la flûte (enq.) Après quelques commentaires au début sur l’éloignement du micro pour avoir moins de parasites, un branle est joué par deux flûtes qui font deux voix différentes.
Trois avant-deux de quadrille (enq.) Marie Couillault fredonne trois airs d’avant-deux de quadrille avec quelques commentaires sur la répétition du couplet du premier. Elle est accompagnée sur le premier par Joseph Bonnin. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0001
Berline (enq.) Marie Couillault chante une fois l’air puis elle le reprend ensuite avec Joseph Bonnin On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0003
Galop du quadrille (enq.) Marie Couillault fredonne l’air mais il est incomplet car il est entrecoupé de discussions autour de la danse. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0008 et UPOI_GDC_0007_0003_0005
Air de marche (doc.) Alors qu’on entend Marie Couillault discuter en fond, c’est Simone Bonnin qui chante cet air.
Bonjour cabaretière (enq.) Marie Couillault chante l’air en tralala sur la première partie et avec des paroles sur la deuxième. Il y a des discussions sur la polka piquée, dans le brouhaha ambiant, on ne distingue pas très bien ce qu’il se dit. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0010
Valse vienne (inf.) Marie Couillault chante l’air en tralala puis Joseph Bonnin le reprend ensuite avec une version un peu différente. On retrouve le même air dans UPOI_GDC_0007_0001_0011
Mazurka (enq.) Marie Couillault fredonne l’air complet une fois.
La gatinelle (enq.) Marie Couillault chante la première partie puis l’enquêteur lui pose des questions sur la danse. Elle lui fait la demonstration. Il questionne ensuite Joseph Bonnin qui ne se souvient pas de cette danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0013 et UPOI_GDC_0007_0001_0007 avec des informations supplémentaires. Dans UPOI_GDC_0007_0003_0007 il y a les paroles complètes.
Air de t’es saoul bonhomme (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala.
Air de scottich (enq.) Marie Couillault chante l’air au tralala.
L’autrichienne (enq.) Marie Couillault chante l’air avec les paroles.
La limousine (enq.) Marie Couillault chante un premier air puis quelqu’un chante, en fond, une autre version qu’elle reprend puis plusieurs personnes le reprennent en choeur.
L’avant-deux (enq.) Marie Couillault chante au tralala l’air de l’avant-deux, on entend des danseurs en fond.
La poule (inf.) L’enquêteur demande à Marie Couillault qu’elle chante la poule. Elle chante le début d’un premier air puis se rend compte qu’elle se trompe alors elle reprend le bon air.
L’avant-deux (inf.) Marie Couillault chante en tralala l’air de l’avant-deux, on entend des danseurs en fond. On retrouve cette mélodie dans UPOI_GDC_0007_0001_0001 ; UPOI_GDC_0007_0002_0003 ; UPOI_GDC_0007_0002_0014. La pastourelle est annoncée au début de l’enregistrement,on le retrouve dans la piste suivante UPOI_GDC_0007_0002_0017.
La pastourelle (inf.) Marie Couillault chante l’air interrompu par quelques commentaires. Elle donne des indications à des danseurs. On retrouve le même air avec quelques précisions sur la danse dans UPOI_GDC_0007_0001_0002. La danse est annoncée sur la piste précédente, UPOI_GDC_0007_0002_0016 , où elle se trompe d’air.
Ah ! Mesdames voilà du bon fromage (enq.) Marie Couillault chante la très courte chanson Ah ! Mesdames voilà du bon fromage.
Allons ! Mesdames chassez les rats (enq.) Marie Couillault chante la chanson « Allons ! Mesdames chassez les rats"
En revenant des noces A la claire fontaine (Coi.) / A la claire fontaine (Laf.) Marie Couillault chante la chanson « En nous rendant de noces"
L’exposition de Paris (enq.) C’est Hilaire Bonnin qui chante. Il n’y a que le tout début car le magnétophone coupe.
Le m’ont emmni bin loin bin loin… (enq.) Marie Couillault chante la chanson « Le m’ont emmni bin loin bin loin"
La servante fardée (Coi.) / Le fard (Laf.) Marie Couillault chante la chanson. Le chant est un récit, c’est une farce qui raconte l’histoire d’une servante voulant être aussi belle que sa maîtresse, trompée par l’apothicaire.
Un pauvre enfant assis sur une pierre (enq.) Marie Couillault chante la chanson Un pauvre enfant assis sur une pierre.
La fille qui a trop fait la difficile (Coi.) / Souffrance des vieilles filles (pro parte) (Laf.) Après un commentaire, Marie Couillault chante la chanson A quinze ans j’étais gentille.
Sur les bords de la Rance (enq.) Après un commentaire sur son état de fatigue, Marie Couillault chante la chanson Sur les bords de la Rance.
Airs de galop (quadrille) (enq.) Avec quelques commentaires autour, Marie Couillault chante plusieurs airs de galop de quadrille. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0008 et UPOI_GDC_0007_0002_0005
Les vignerons avant le phylloxera Marie Couillault témoigne sur les vignerons avant le phylloxera.
Gatinelle : Sautez-don (enq.) Marie Couillault chante Sautez-don, un air de gatinelle et commente la danse. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0001_0007, UPOI_GDC_0007_0001_0013 et UPOI_GDC_0007_0002_0010
Elle a cassé son parapluie (enq.) Marie Couillault chante Elle a cassé son parapluie.
Ah ! Mesdames voilà du bon fromage (enq.) Marie Couillault chante Ah ! Mesdames voilà du bon fromage. On retrouve cet air dans UPOI_GDC_0007_0002_0019.
Coutume de mariage : casser le pot Marie Couillault raconte une coutume qu’on faisait lorsque le dernier membre d’une famille se mariait où l’on casse un pot rempli de dragés.
Formulettes de Mardi gras (enq.) Marie Couillault parle d’une formulette de mardi gras. L’enquêteur en formule une mais elle le coupe en disant une autre formulette
Un homme qui sifflait Marie Couillault parle d’abord d’un homme qui sifflait très bien, notamment des airs de danse. Elle ajoute ensuite que son fils Gérard siffle aussi très bien. Elle évoque ensuite une jeune fille qui savait chanter.
Je veux un capitaine (Coi.) / La belle veut marier un capitaine (Laf.) Marie Couillault chante la chanson Mon père avait 500 moutons.
L'engagement de la fille-soldat I Engagée pour rejoindre son amant (Coi.) Après avoir précisé que c’est une vieille chanson de sa grand-mère Marie Couillault chante La bonne Adèle.
Les deux amoureux dans la danse III (Le jeune et le vieux) (Coi.) / Les deux amoureux (le jeune et le vieux) (Laf.) Marie Couillault ne se souvient plus bien de la chanson « Sans mentir j’aimerais mieux », elle chante des bribes puis la fin.
La Perdriole (Coi./Laf.) Marie Couillault chante Le premier mois de l’année avec quelques hésitations mais les paroles sont complètes.
Adieu l’hiver morose (enq.) Marie Couillault chante Adieu l’hiver morose.