Personne : Palvadeau Florentine

Prénom
Florentine
Nom
Palvadeau
Civilité(s)
Mme
Alias

Rôles

Informateur

Naissance

Date de naissance
1891-05-04
Lieu de naissance

Décès

Date de décès
1984-02-20
Lieu de décès
Biographie

Florentine Palvadeau est née à Barbâtre. Sa mère est de l'Epine et son père de Barbâtre (celui-ci chantait tout le temps). Elle travaille dans les champs. Son mari est marin et travaille à St Nazaire. Elle parle toujours patois mais chante en français. Elle sait lire et n'a jamais eu ses chansons écrites.
Date de naissance estimée : vers 1920

URI

Contributions

Informateur

Item Description
Quand i ai sortie de mon praï (inc.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand i ai sortie de mon praï" dans laquelle un homme revient de guerre et se rend compte que sa maîtresse est en train de se marier. Il arrive le jour du premier ban. Chanson de danse que Florentine Palvadeau appelle « La Danse ». Elle se danse en rang. L’informatrice dit la connaître depuis toujours. Elle rajoute qu’ « au pays on chante aux baptèmes, aux communions, à 4h » (enq.)
La Passion de Jésus-Christ (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "La Passion de Jésus-Christ" qui raconte un épisode biblique : la crucifixion de Jésus-Christ. Cette chanson était chanté pendant le vendredi Saint.
A 10 heures dans la plaine (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche à la dizaine "A 10 heures dans la plaine" dans lequel la belle promet à son amant doux de ne pas oublier l'heure du rendez-vous
Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle (inc.) Florentine Palvadeau interprète le chant "Sur les ponts d’Avignon j’entends chanter la belle" dans lequel une fille chante ses amours perdus. Dans les derniers couplets il est demandé à la mariée d'ouvrir la porte de la chambre, ce qu'elle ne peut pas faire car elle est couchée avec son mari. .
Chanteras-tu jolie bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Chanteras-tu jolie bergère" qui est une discussion entre un monsieur et une bergère. Il est question du chant de la bergère qui aime la danse, la contredanse et le vin, le monsieur cherche à savoir s'il est le seul à boire avec elle et s'il tient son coeur en gage.
Entre vous filles de Noirmoutier (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Entre vous filles de Noirmoutier" dans laquelle il est question des filles de Noirmoutier qui sont belles puis de la prise de l'armée d'Angleterre par leurs amants qui sont au service pour quatre ans. La chanson se poursuit avec un histoire de marchand de vinaigre qui va voir sa maîtresse et rencontre sur son chemin le curé et son vicaire à qui il demande de lire une lettre de sa maîtresse.
Quand j’étais chez mon père (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson en poitevin-saintongeais "Quand j'étais chez mon père" dans laquelle un garçon est envoyé aux landes pour garder ses moutons, le loup arrive et lui mange le plus beau. Il demande au loup de garder sa peau, le bout de sa queue pour différents usages.
Mon père veut m’y marier (enq.) Florentine Palvadeau interprète "Mon père veut m’y marier" où il est question d'une fille malmariée à un vieux bonhomme pas à son gré. Le vieux bonhomme va aux foire et au marché sans jamais rien rapporter à la fille sauf un bâton de vert pommier pour la battre.
Nous partons tous mes très chers camarades (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche « Nous partons tous mes très chers camarades » dans laquelle il est question de tromperie. Un amant s'arrache les cheveux en voyant sa mie pleurer du départ d'un autre de ces amants. La chanson est suivie d'une discussion entre Florentine Palvadeau et les enquêtrices qui cherchent à savoir comment se faisait la réponse sur cette chanson.
Mon père a fait faire un étang, son papa qui l'emmène (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a fait faire un étang, vous la voyez femme à présent (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
A l'ile d'Yeu (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "A l’Ile d’Yeu joli petit bourg" dans laquelle des couturières sans le sous vont chez le perruquier et demandent à se faire friser à crédit, il refuse et leur répond de vendre leurs robes pour avoir de l'argent
Mon père a fait faire un étang / les tambours qui nous mènent (enq-inc) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Mon père a fait faire un étang" qui raconte une histoire de chasse au canard sur un étang. C'est le fils du Roi qui tue le canard et on lui demande de l'argent en contrepartie et pour sa méchanceté. L'argent servira à faire un couvent.
Mon père a-t-une vigne (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père a une vigne" dans laquelle trois tailleurs des Sables viennent tailler une vigne jamais taillée, un des tailleurs ne peut pas tailler car sa maîtresse ne veut plus l'aimer car il lui a refusé un bouton de rose.
Quand j’étais chez mon père, enfant petit (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand j’étais chez mon père enfant petit" dans laquelle il est question de quelqu'un qu'on envoie chercher des nids, qui en trouve de caille, de perdrix et d'alouette.
Le marchand de velours (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Le marchand de velours" dans laquelle un père marie sa fille avec un marchand de velours qui ne parle que de son velours lors de la première nuit des noces. La fille jure de faire son mari cocu.
C’était un petit bonhomme guenillon (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’était un petit bonhomme guenillon" dans laquelle il est question d'un bonhomme qui a une belle fille, il l'envoie au bois pour cueillir la noisille, comme la noisille est haute la fille tombe et se plante une épine dans le doigts. La fille s'endort à cause de la douleur. Trois bourgeois passe et la regarde et le troisième dit qu'elle sera sa mie.
Chez mon père nous étions trois filles (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Chez mon père nous étions trois filles" qui raconte une volonté d'échange de mie entre trois tailleurs de vigne marié à trois filles dont une est plus gentille que les autres. Mais le tailleur marié à la plus gentille ne veut pas échanger.
C’est une dame et un curé (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "C’est une dame et un curé" dans laquelle une dame et un curé vont se promener le soir, la dame veut danser, le curé la jette sur son froment, vient le propriétaire qui se plaint qu'ils égrainent tout son froment.
Que Dieu donne à la mariée (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Que Dieu donne à la mariée" dans lequel on souhaite que dieu donne à tous une bonne année et à la mariée sa couronne, un époux, une pleine armoire de linge blanc, un plein tablier d'argent etc
En revenant de Paris la Rochelle (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "En revenant de Paris la Rochelle" dans laquelle un gars rencontre 80 demoiselles en revenant de Paris La Rochelle, il prend la plus belle sans choisir et la monte derrirère sa selle. Après avoir parcouru 100 lieux sans parler avec elle, elle demande à boire, il la conduit à la claire fotnaine où elle ne veut pas boire puis au logis de son père où elle boit à plein verre.
L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "L’autre jour je m’y promène le long d’un ruisseau coulant" dans laquelle un homme rencontre une bergère qui dort sur le jonc. Il lui prend son joli petit panier blanc. La bergère s'en plaint, il lui répond qu'il est riche marchand et qu'il va la payer. Elle dit que son panier n'est pas à vendre, que sa grand-mère lui a dit qu'il fallait le garder. Le marchand lui répond que sa grand-mère n'a pas toujours gardé son joli petit panier blanc non plus.
Dans le palais du roi (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Dans le palais du roi" dans laquelle il est question d'une flamande indécise sur le choix de son amoureux. Elle a le fils d'un couturier et un cordonnier. Elle choisi le cordonnier, qui lui fait des beaux souliers et lui propose de coucher ensembles dans un beau lit carré garnie de roses blanches.
Bonjour ma petite Marie (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Bonjour ma petite Marie" qui est un dialogue entre une fille et son amant. L'amant dit qu'il a entendu dire qu'elle n'était pas sage, elle lui assure qu'elle n'a de l'amitié que pour lui. Il lui répond qu'il ne lui envoyait plus de lettres pour lui faire savoir qu'elle était la délaissée. Elle lui répond qu'elle ne veut pas d'un jaloux sans argent.
Une fois disait un guerrier à l'intéressante Imogine (inc.) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Imogine" qui raconte le départ d'un guerrier pour la Palestine. Il dit à Imogine pleurant qu'elle aura bientôt un autre amant. Elle lui dit qu'elle ne l'oubliera jamais et lui sera toujours fidèle. Florentine Palvadeau ne se souvient pas des paroles à partir du quatrième couplet et dit qu'elle ne peut pas chanter cette chanson.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_028 pour avoir la chanson en entier.
C’était un moine que d’amour il vivait (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "C’était un moine que d’amour il vivait" dans laquelle il est question d'un moine qui a une maîtresse. Il la trouve en train de pleurer car elle a son ouvrage à faire et ses vaches à tirer. Le moine y va à sa place mais la vache ne le laisse pas faire et lui donne des coups.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) Florentine Palvadeau interprète la chanson "Serais-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère se demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'Atlantique.
Serai-je donc toujours bergère (enq.) (fragment) Florentine Palvadeau interprète le début de la chanson "Serai-je donc toujours bergère" dans laquelle une bergère ne demande où elle va mener ses moutons paître. Elle les emmène là-haut sur la montagne où elle croyait être seulette. Un berger vient et elle lui peigne tant sa chevelure que ses moutons s'égares. Elle a peur d'être battue, il lui répond qu'il a trois vaisseaux sur l'atlantique. Voir item UPOI_ATP_0004_0001_029 pour avoir la chanson en entier.
Pour un lundi matin (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Pour un lundi matin" qui raconte une tentative de parricide qui échoue. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Et sans oublier mes peines je ne vois plus mon berger (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Et sans oublier mes peines, je ne vois plus mon berger" qui raconte une histoire d’adultère entre un berger et sa belle. Le berger l’abandonne pour aller avec une autre bergère.
Marinier de bonne mine (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Marinier de bonne mine" qui est une chanson d’amour entre un marinier et une fille. Le marinier vient la voir dans sa chambre la nuit, l’alouette les trompe en chantant le jour trop tôt. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
C'es en passant par les chalets (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "C'est en passant par les chalets" dans laquelle le fils du Roi ramasse le panier d’une fille. Elle veut qu’il le lui rende tout de suite de peur de la jalousie de son amant.
C'était pour un joli dimanche (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "C'était par un joli dimanche" dans laquelle un rossignol et une alouette parlent des amours de quelqu’un qui est dans un navire au milieu de la mer. Ce navire fait naufrage. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Mon père a un cheval (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père a un cheval" dans laquelle quelqu’un casse et perd sa ceinture en chevauchant un cheval.
Colin et la belle (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Colin et la belle" dans laquelle Colin et une fille vont jouer au bois, l’un aux dés, l’autre aux cartes. Colin veut battre la belle, on l’accuse ensuite de vol de chevaux. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Un beau matin au lointain du rivage (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Un beau matin au lointain du rivage" qui raconte la mort de Rosine, morte car elle croyait être abandonnée par son amant. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Un beau matin au lointain du rivage (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Un beau matin au lointain du rivage" qui raconte la mort de Rosine, morte car elle croyait être abandonnée par son amant. Florentine Palvadeau chante un couplet oublié de la chanson (cf. item UPOI_ATP_0004_0015_008).
La ville de Lyon (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "La ville de Lyon" dans lequel le Roi essaie de faire venir une jolie fille chez lui en lui offrant à boire mais celle-ci refuse. Florentine Palvadeau l'a apprise en ramassant du foin avec un vieux qui chantait.
C'était une couturière revenant de journée (inc.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "C'était une couturière revenant de journée" dans laquelle une couturière rencontre trois jeunes matelots qui chantent pour la faire monter dans leur bateau et lui voler son anneau d’or.
Dans les faubourgs de Guérande / il y a une maison (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "La barbière" dans lequel un homme va à Guérande chez une barbière et croit que celle ci est amoureuse de lui. Sa barbe change 3 fois de couleurs pendant qu’elle lui fait la barbe. Florentine Palvadeau a appris cette chanson chez elle ("chez nous") dans les champs.
Mon amant m'abandonne (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon amant m'abandonne" dans laquelle une femme fait des commentaires sur la nouvelle maîtresse de son amant et sur ce qui va lui arriver. Chant de danse à répouner, apprise à Barbâtre (sa mère de l'Epine ne la chantait pas).
Mon père veut m'y marier (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Mon père veut m'y marier" dans laquelle une fille est mariée à un vieux bonhomme point à son gré qui la bat.
Napoléon le grand s'en va visiter ses camps (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Napoléon le Grand s'en va visiter ses camps" dans lequel Napoléon teste la loyauté de ses soldats en allant visiter ses camps incognito. Florentine Palvadeau a appris cette chanson du Père Bazeau (du Bocage) qui aurait 100 ans en 1956.
Derrière chez moi ah devinez ce qu'il y a (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant à la marche "Derrière chez moi ah devinez ce qu'il y a".
Le 10 octobre est arrivé (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Le 10 octobre est arrivé" qui raconte le naufrage d’un navire norvégien au large de Noirmoutier.
C'était pour un dimanche au soir (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "C'était pour un dimanche au soir" dans lequel deux amants se retrouvent en secret la nuit pour faire l’amour et prendre une collation.
Mon père n'avait que moi de fille (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Mon père n'avait que moi de fille" dans lequel une fille malmariée à un vieux bonhomme part de son foyer et rencontre son amant du temps passé à qui elle cherche à vendre son cœur.
Là-bas sur ces côtes, la belle s'endormit (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Là-bas sur ces côtes, la belle s'endormit" dans laquelle une fille s’endort et se réveille surprise avec une rose dans la main que son amant lui a déposé sans qu’elle s’en rende compte. Chanson apprise de sa tante Elise Palvadeau de Barbâtre, (66 ans en 1956).
Dans mon joli jardin (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Dans mon joli jardin, il y a une amande" qui raconte un meurtre. Un moine cherche à embrasser une fille qui veut être nonne et celle-ci le tue. Chanson apprise d'une vieille femme de Barbâtre.
Quand le château d'amour fût pris (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Quand le château d'amour fût pris" dans laquelle des gendarmes veulent emmener les filles du château qu’ils ont pris. La mère des filles préférerait un gendre paysan plutôt que gendarme.
Filles qui avez des amoureux (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "Filles qui avez des amoureux" dans laquelle une fille se moque d’un gars. Elle danse avec deux garçons, un qui aura son cœur et l’autre qui peut aller voir ailleurs.
Quand le marin revient de guerre (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "Quand le marin vient de la guerre" qui raconte le retour d’un marin de la guerre. Il va à l’auberge boire du vin blanc et l’hôtesse ne reconnaît pas qu’il est son mari. Il lui reproche de l’avoir trompé pendant son absence.
A Saint-Nazaire y a-t-une brune (enq.) Florentine Palvadeau interprète une chanson de danse "A Saint-Nazaire y a une brune qui voudrait bien faire sa fortune" dans laquelle une fille cherche à se marier avec un garçon marinier mais elle est refusée.
A l'âge de 15 ans j'ai ravi une brune (enq.) Florentine Palvadeau interprète un chant de table "A l'âge de 15 ans j'ai ravi une brune" qui raconte la mort d’une fille que son amant vient voir mourir. Florentine Palvadeau a appris cette chanson de sa mère.
Me suis levée de grand matin (inc.) Florentine Palvadeau interprète un chant de danse "Me suis levée de grand matin" dans laquelle une personne va dans son jardin pour cueillir la rose et le thym. Un oiseau se pose sur sa main et lui parle en latin, il lui dit que les femmes et les filles ne valent rien.